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Tome :
2
1 306 400 euros ; soit le montant global des sommes perçues indûment par le couple Fillon depuis 1981, selon les enquêteurs.Cet argent a le goût de la défaite en 2017, pour la droite française.De la débâcle, plutôt.Après La Haine. Les années Sarko, voici donc le second tome de notre fresque politique, relatant cette fois la période 2014-2019.L'affaire Fillon sera jugée à partir de février 2020, les dossiers Bygmalion, Azibert et d'autres encore suivront bientôt. La droite ne s'en remettra pas, déballage de linge sale garanti. Car tous ces scandales politico-judiciaires sont nés de guerres fratricides, notre enquête l'atteste. Elle est nourrie de témoignages sans filtre, de documents exclusifs et, aussi, de spectaculaires révélations.C'est la fin d'une époque, de fureur et de sang, laissant la droite française vitrifiée.Apocalypse Now.  Gérard Davet et Fabrice Lhomme sont grands reporters au journal Le Monde. 
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Dix ans après Sarko m'a tuer.Cinq ans après « Un président ne devrait pas dire ça… »Voici le nouveau livre politique de Gérard Davet  et Fabrice Lhomme, grands reporters au journal Le Monde.Après Sarkozy et Hollande, ils ont enquêté sur Emmanuel Macron. Plus de cent dix témoins de premier plan parlent, à visage découvert, crûment.Ils confient aussi leurs documents.Les auteurs racontent le pouvoir solitaire d'un homme suprêmement habile, éperdu de lui-même. Ils révèlent les dessous de la conquête de l'Élysée, puis l'exercice de la toute-puissance, et la vaine quête d'une idéologie.La trahison a enfanté le néant.
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Ils devaient répondre à une question, sensible  : l'islamisation de la Seine-Saint-Denis est-elle un fait ou une fake news  ?Cette enquête choc est née du désir des grands reporters du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme de former une cellule d'investigateurs, baptisée «  Spotlight  », avec l'appui des éditions Fayard et, pour cette première année, du Centre de formation des journalistes (CFJ).Ivanne Trippenbach, Célia Mebroukine, Romain Gaspar, Hugo Wintrebert et Charles Delouche, jeunes journalistes, ont cherché «  la  » réponse, avec leurs doutes parfois, leur sincérité toujours.Leurs découvertes  ? Une «  université  » islamique infiltrée par un réseau djihadiste, un dépôt de la RATP où la pratique religieuse, officiellement interdite, devient la norme, des élus prêts à toutes les compromissions, des fonctionnaires désemparés, de l'argent qui coule à flots en toute opacité, un communautarisme en pleine expansion…L'islamisation progressive du 9-3 est bien une réalité.En voici la preuve. 
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Un président ne devrait pas dire ça… »Cette phrase, François Hollande nous l'a lâchée, un jour d'exaspération. Il s'agaçait, alors, de voir la presse ausculter de trop près sa relation avec ses femmes, Ségolène, Valérie, Julie…Nous avons passé cinq années dans le sillage du chef de l'État, en sa compagnie, sans conseiller, sans témoin. Juste lui et nous. Avec une double exigence : pas de langue de bois, encore moins de propos « off the record ». C'était la condition impérative. Pas de relecture, non plus, de ses « confessions », évidemment, et le recueil de confidences de ses proches : Manuel Valls, Bernard Cazeneuve, Stéphane Le Foll…L'idée, née en 2011, était d'écrire la suite de Sarko m'a tuer, livre dans lequel nous décrivions un pouvoir sarkozyste flirtant avec la ligne jaune. Hollande avait juré qu'il prendrait le contre-pied de son meilleur ennemi, encore fallaitil le vérifier.Pour cela, nous avons plongé au coeur du pouvoir élyséen, exploré la face cachée de la présidence. Ou plutôt du président. Nous l'avons confronté à ses contradictions, questionné sur sa vie privée, sa politique économique, ses promesses non tenues, sa vision de l'islam, de l'extrême droite, des écologistes, de Macron… Et de Sarkozy bien sûr.Une immersion inédite dans le cerveau d'un homme de pouvoir qui s'est confié avec une franchise parfois déconcertante, revisitant les moments forts d'un quinquennat aux allures de chemin de croix, dont nous révélons les secrets. Ni censure, ni autocensure. Jamais un responsable politique, a fortiori un président de la République, ne s'était livré avec une telle liberté de ton. Plusieurs fois, il nous a dit : « Il se trouve que je suis président… » Comme s'il n'y croyait pas. Le président « normal » a accouché d'une présidence anormale.Il n'aurait pas dû « dire ça » ? Pas sûr.En tout cas, nous, nous devions l'écrire.
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