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Un matin, la narratrice s'en va attendre sur un quai de gare un homme qu'elle ne connaît pas. Elle a envie de nouer une conversation plus intime avec cet étranger qui, le mercredi, dans un café proche du Jardin des Plantes, évoque inlassablement Ferrare. Il ne vient pas. En l'attendant des images de son passé lui reviennent peu à peu.
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Au hasard d'un déménagement de sa mère, la narratrice retrouve la montre de son père, mort il y a trente ans. En la remettant en marche, la narratrice se met elle-même en mouvement : en suivant une impulsion implacable, elle visite des maisons, comme pour retrouver le lieu d'un rendez-vous manqué. Un roman des origines, où les fils de la vie se dénouent pour enfin connaître l'apaisement.
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Durant plusieurs mois de l'année 2008, les deux romancières rassemblent les témoignages de vie, les souvenirs d'enfance et d'errance de sans papiers incarcérés.
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Au hasard d'un déménagement de sa mère, la narratrice retrouve la montre de son père, mort il y a trente ans. En la remettant en marche, la narratrice se met elle-même en mouvement : en suivant une impulsion implacable, elle visite des maisons, comme pour découvrir le lieu d'un rendez-vous manqué. Un roman des origines, où les fils de la vie se dénouent pour enfin connaître l'apaisement.
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Sans nouvelles de Gyl qu'elle avait naguère aimé, la narratrice part sur ses pas. Dans le Transsibérien, à la faveur de ses rencontres, des paysages qui défilent et de ses lectures, elle laisse vagabonder ses pensées qui la renvoient sans cesse à la vieille dame qu'elle a laissée à Paris. Clémence Barrot doit l'attendre sur son canapé rouge au fond de l'appartement d'où elle ne sort plus guère.
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La silhouette libre et rebelle de Marion du Faouët, « Robin des bois » bretonne qui, dans les premières années du XVIIIe siècle, prenait aux riches pour redistribuer aux pauvres, a toujours fasciné Michèle Lesbre. Parce qu'une femme aux cheveux roux prénommée Marion, qui avait élu domicile dans une boutique désaffectée en bas de chez elle, a soudain disparu, les traits de l'autre Marion, la « chère brigande », se superposent à ceux de la SDF parisienne. L'écrivain décide alors de partir sur les traces de l'insoumise bretonne, qui mourut sur le gibet à trente-huit ans, lui adressant, pour conjurer l'injustice du monde et sa propre impuissance, une longue lettre. À la faveur du trajet en train vers Quimper, les souvenirs d'une autre époque de sa vie resurgissent, quand, jeune militante, elle manifestait contre la guerre d'Algérie ou, institutrice, elle apprenait à lire aux enfants. La vie de Marion agit comme un miroir tendu à ses utopies et à ses révoltes passées : à dix-huit ans, Marion, elle, créait une bande de brigands. Avec des comparses recrutés parmi ses proches, elle allait écumer les bois et redresser les torts. Le Faouët, les monts d'Arrée, Quimper : tous ces lieux, où Marion a vécu et que l'enquêteuse arpente, ravivent la vaillance et l'impétueuse générosité de son héroïne. Michèle Lesbre, dans ce texte lumineux, laisse sonner le rire frondeur d'une gamine formée à l'école de la vie, d'une grande amoureuse et d'une femme qui a lutté à sa façon contre une misère choquante. Une belle manière de nous parler d'elle, de nous, du monde dans lequel nous vivons. Sa lettre s'achève ainsi : Dors tranquille, chère brigande, tu m'as sauvée pendant quelques jours de notre démocratie malade, des grands voleurs qui, eux, ne sont presque jamais punis parce qu'ils sont puissants, de ce monde en péril. Tu n'étais pas un ange, mais les anges n'existent pas.
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Suite à la redécouverte du roman de Murger Scènes de la vie de bohème, qui a marqué son enfance puisque ce livre trônait sur le bureau de son père, la narratrice embarque pour un lent voyage en quête de la figure paternelle. Rythmée par des rencontres et des étapes, sa flânerie la porte vers le passé de son père : un jeune homme insouciant qui rêvait de la vie de bohème.
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Quand Laure, la narratrice, se décide à ouvrir les cartons que lui a légués son ami Léo, devenu homme de théâtre, elle y découvre, parmi les textes qu'ils avaient travaillés ensemble pour la troupe du lycée, un exemplaire de "La chartreuse de Parme". Elle se rappelle alors que, sur une plage de Normandie, un homme l'avait enjointe d'aller à Parme et d'y lire ce roman de Stendhal. ©Electre 2019
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Avant que le vieil homme ne se jette sur la voie en lui adressant son dernier sourire, la narratrice partait rejoindre l'homme qu'elle aime à l'hôtel des Embruns. Tout a basculé aussi pour elle. Au lieu de se rendre à la gare, cette femme s'enfonce dans les rues de Paris pour une longue errance nocturne.
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