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C'est dans La légende de la mort chez les Bretons armoricains d'Anatole Le Braz, paru à la fin du XIXe siècle, que huit histoires et autres contes mettant en scène des revenants, des capitaines, des naufragés... ont été choisis, avant d'être adaptés pour les enfants.

1895. Anatole, un écrivain en quête de légendes, accoste sur l'île d'Ouessant, pour y apprendre la vérité sur une malédiction qui poursuit une famille de marins de génération en génération.

Adaptation du roman d'Anatole Le Braz. Cloîtré dans un phare au large de la pointe du Raz, Goulven Dénès raconte ce qui l'a poussé à commettre un crime incroyablement cruel...

Cloîtré dans un phare au large de la Pointe du Raz, Goulven Dénès confesse les évènements qui l'ont conduit à devenir un meurtrier. Qui a-t-il donc emprisonné dans une des pièces du phare, et pourquoi ? Tels sont les secrets du gardien du feu...

Ce classique de la littérature bretonne est constitué d'une somme de récits poétiques et surréalistes, collectés par A. Le Braz à la fin du XIXe siècle.

Dans la Bretagne du siècle dernier, l'île d'Ouessant est une terre de légendes et de sortilèges. On y évoque les sirènes, douze vierges belles comme des anges mais perverses comme des démons, dont les chants étaient autant d'appels d'amour, propres à séduire les jeunes hommes. On raconte aussi qu'un îlien en pêcha une dans ses filets. Elle le fit roi de la mer, les vagues lui apportaient les poissons et les épaves, les vents et les courants lui obéissaient, mais la malédiction des sirènes fut implacable et se poursuit encore sur tous ses descendants.