Se pencher sur l'histoire de ceux qui ont choisi la France pendant la guerre d'Algérie, c'est réveiller de douloureuses blessures. Des deux côtés de la Méditerranée. À ces hommes et à ces femmes, on a refusé le droit le plus élémentaire : celui du nom. Comment une communauté peut-elle assurer sa pérennité sans cet élément fondamental ? Qu'en disent, après plus de trente ans, les principaux intéressés ?