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La Grande Armée de Napoléon s'est emparée de Moscou, abandonnée par ses habitants et incendiée par de nombreux saboteurs. Dans une ville dangereuse et en proie aux flammes, Napoléon, qui pense avoir gagné la guerre, attend l'officialisation de la capitulation d'Alexandre Ier. Mais le Tsar et son fameux général Koutouzov refusent l'idée même de négociations.
Napoléon doit se résoudre à rebrousser chemin. Ses troupes vont se faire surprendre par l'hiver et ses moins 30° C. La Grande Armée et les nombreux civils qui l'accompagnent sont décimés par ces conditions extrêmes et les attaques des cosaques... Elle risque aussi de se faire piéger par les manœuvres de l'armée russe au moment de traverser la Berezina…
Guerre en 3D
Après "Au nom d’Athènes" et "Le destin de Rome", le nouveau docu-fiction de Fabrice Hourlier revisite un des épisodes les plus apocalyptiques de l'épopée napoléonienne. Entre les errements mégalomanes de l'empereur et une stratégie russe parfois déroutante, cette campagne quasi-suicidaire aligne les hauts faits devenus des morceaux de bravoure pour toute narration historique : la lente agonie de la Grande Armée sur les routes russes, l'incendie de Moscou, la traversée dantesque de la Berezina. Mais l'originalité du film consiste à montrer cette expédition punitive (pour quel camp, au final ?) telle qu'on ne l'a jamais vue grâce aux moyens les plus sophistiqués. Outre les images de synthèse dans les séquences de fiction, le film bénéficie du stop motion, technique inédite en docu-fiction. Figeant le temps et l'action au sein d'images en 3D, elle permet à la caméra d'explorer avec une acuité nouvelle des scènes de bataille fourmillantes. Mêlant interview d'historiens, animations de plans ou de maquettes avec une esthétique composite, Napoléon, la campagne de Russie donne une nouvelle dimension au docu-fiction, qui s'affirme comme un spectacle total.
1811. La Russie et la France sont alliées, mais Napoléon reproche au tsar Alexandre Ier sa politique commerciale favorable aux Anglais. Voulant à terme affaiblir ses ennemis jurés d'outre-Manche, Napoléon prépare une guerre punitive contre la Russie qu'il espère ramener à la raison en deux mois.
Juin 1812 : la plus grande armée jamais vue dans l'histoire européenne pénètre sur la terre des tsars. Mais les Russes refusent le combat et reculent, pratiquant la politique de la terre brûlée pour épuiser et affamer l’envahisseur. Napoléon n'écoute pas son conseiller Caulaincourt qui lui affirme que les Russes veulent enliser ses troupes pour les faire tomber dans le piège ultime : l'hiver.
Guerre en 3D
Après Au nom d’Athènes et Le destin de Rome, le nouveau docu-fiction de Fabrice Hourlier revisite un des épisodes les plus apocalyptiques de l'épopée napoléonienne. Entre les errements mégalomanes de l'empereur et une stratégie russe parfois déroutante, cette campagne quasi-suicidaire aligne les hauts faits devenus des morceaux de bravoure pour toute narration historique : la lente agonie de la Grande Armée sur les routes russes, l'incendie de Moscou, la traversée dantesque de la Berezina. Mais l'originalité du film consiste à montrer cette expédition punitive (pour quel camp, au final ?) telle qu'on ne l'a jamais vue grâce aux moyens les plus sophistiqués. Outre les images de synthèse dans les séquences de fiction, le film bénéficie du stop motion, technique inédite en docu-fiction. Figeant le temps et l'action au sein d'images en 3D, elle permet à la caméra d'explorer avec une acuité nouvelle des scènes de bataille fourmillantes. Mêlant interview d'historiens, animations de plans ou de maquettes avec une esthétique composite, Napoléon, la campagne de Russie donne une nouvelle dimension au docu-fiction, qui s'affirme comme un spectacle total.
Depuis 1803, Napoléon rêve d'envahir l'Angleterre. Une ambition pour laquelle l'Empereur a transformé le petit port de Boulogne-sur-Mer en une gigantesque place forte où stationnent 150 000 soldats. Afin de réussir le débarquement, il cherche à attirer les forces navales anglaises loin de la Manche. Après quelques vaines tentatives pour emmener les flottes de Collingwood et Nelson vers les Antilles, l'amiral de Villeneuve se laisse enfermer devant Cadix, au large du cap Trafalgar, pour y attirer les Anglais. Mais il reçoit bientôt un contrordre et doit se porter en Méditerranée. Deux jours après leur sortie de la rade, le 21 octobre 1805, les navires français commandés par Villeneuve sont interceptés par vingt-sept navires anglais dirigés par le flamboyant amiral Nelson. Une saisissante histoire militaire et humaine avec un face-à-face entre deux amiraux que tout oppose.
Toulon, le 19 mai 1798. 40 000 soldats, 10 000 marins et 167 scientifiques et artistes – dont les renommés Monge, Berthollet et Denon – se lancent à l'assaut des flots. Parmi eux, de nombreux étudiants des grandes écoles, tels les polytechniciens Édouard de Villiers et Jean-Baptiste Prosper Jollois. Bonaparte, qui s'est illustré en Italie, s'empare de Malte avant de débarquer dans la tempête à Alexandrie. Ce brillant général en chef, qui se proclame "fils du prophète et de la Révolution venu délivrer les Égyptiens de la tyrannie des mamelouks", projette une installation durable, afin de barrer la route des Indes aux Anglais et de propager l'esprit des Lumières. Après la prise triomphale du Caire, les Français subissent une attaque cataclysmique dans la baie d'Aboukir : leur flotte est coulée par l'amiral Nelson, anéantissant tout espoir de retour. Malgré ce revers, le 21 août, Bonaparte fonde l'Institut d'Égypte, organisé en quatre sections : mathématiques, physique, économie politique, littérature et arts. Mais si la visite en grande pompe de la pyramide de Kheops accouche du premier chantier archéologique au monde, les savants français se consacrent surtout au soutien logistique de l'armée : fabrication de poudre, de bière, clarification des eaux du Nil, projet de percement de l'isthme de Suez… Ils doivent même prendre les armes lors de l'insurrection des Cairotes, le 21 octobre 1798.
La Grande Guerre vue du ciel, aux côtés des pilotes qui ont marqué l'histoire de l'aviation militaire. Signée Fabrice Hourlier, une immersion à la fois intime et épique réalisée à partir d'étonnantes reconstitutions en 3D.
Haut vol
Au travers de leurs propres récits et de l'éclairage d'historiens, Fabrice Hourlier, comme il l'a fait auparavant pour de nombreuses autres batailles ("Bonaparte", "la campagne d'Égypte", "Au nom d'Athènes"), retrace de façon saisissante les destins croisés de six pilotes d’exception. D'origines et de milieux différents, ces chevaliers du ciel sont devenus fameux dans le monde entier, notamment grâce à leurs exploits dans les airs. À l'aide d'impressionnantes reconstitutions en 3D commentées par leurs "témoignages" (des extraits de leurs mémoires dits par des comédiens incrustés dans l'image), le film nous fait revivre depuis le ciel les terribles batailles de Verdun et de la Somme, qui ont propulsé l'aéronautique dans une nouvelle ère.
Première partie : 1914 - 1916
Deuxième partie : 1917-1918