Sur le même principe que Aline et les autres, Delisle s'est fendu d'un répertoire masculin. Si son parti pris a changé, son regard, lui, reste acerbe comme au premier jour. Les hommes en prennent autant pour leur grade que les femmes : immatures, pauvres cloches d'êtres humains, ils se démènent tant bien que mal pour sauver les apparences.