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Ce poème, qui rappelle les hymnes éternels de l'Orient ancien, évoque le dépérissement des êtres et leur désir d'éternité.
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En quarante ans de carrière, le vibrant Marcel Khalifé a régulièrement chanté les vers du Palestinien Mahmoud Darwich (1942-2008) et lui doit certains de ses grands succès (Rita, Passport...). Le compositeur libanais met aujourd'hui en musique Andalusia of love, un long poème en prose écrit par Darwich dans ses dernières années. Cette parabole amoureuse, dont le titre est une référence à un âge d'or de la coexistence religieuse, fait écho à l'engagement humaniste et pacifiste qu'ont toujours partagé les deux artistes. Le chant grave et dépouillé de Khalifé l'incarne à sa manière, poignante et spirituelle. Au sein de son quartet Al Mayadine, il reste fidèle à sa ligne instrumentale moderniste, avec le piano si particulier (en lieu et place du violon, plus traditionnel dans le monde arabe) de son fils Rami Khalifé pour soutenir les harmonies de son oud et du qanun. Ce dernier glisse des accents détimbrés, s'essaie à des emballements très contemporains, suivi par son frère cadet, Bachar Khalifé, aux percussions. Une forte réverb sonore accentue le lyrisme oriental du poème, mais le trio familial, toujours soudé, n'a nul besoin de cette emphase pour faire surgir les émotions. Telerama
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"J’avais rencontré Mahmoud à de nombreuses reprises, à Paris mais principalement à Ramallah. Je savais son aversion pour les cérémonies, les protocoles, les hommages en tout genre. Je connaissais son amour du verbe, sa passion démesurée pour la musique des mots. Et la musique. Et les mots. J’aimais à l’infini sa poignante solitude. Celle du matin. Celle de la nuit. Celle du café. Alors j’ai attendu d’en avoir fini avec les souvenirs du poète. Fini avec les paroles. J’ai attendu la fin de tout cela. J’ai attendu d’en avoir fini avec la mort du poète. Pour enfin recommencer à lire le poète. Avec, comme une première fois, ce sentiment de beauté aveuglante mêlée à de la cendre encore chaude. » P.Rouabhi
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