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Soixante-dix ans après le pronunciamento de Franco, ce livre reconstitue le climat politique de l'époque, éclairant les causes culturelles, sociales, politiques et géopolitiques de ce qui fut une tragédie nationale ainsi qu'une répétition générale de la Seconde Guerre mondiale. Il dresse le récit des opérations militaires et met à profit les nouveaux témoignages et les archives soviétiques.
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Antony Beevor nous propose le récit de la chute de Berlin qui consacre, en 1945, l'effondrement du Troisième Reich et du rêve hitlérien de domination mondiale. Appuyé sur des archives très souvent inédites, c'est un document historique capital, mais aussi un grand récit tragique et poignant, où l'on voit se déchaîner, portées à leur paroxysme, toutes les passions humaines, où l'orgueil rejoint la folie, la ruse côtoie la bêtise, l'héroïsme cohabite avec la peur, l'abnégation avec la cruauté.
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Si le Débarquement fut un moment fort de la campagne de France, la bataille de Normandie qui s'ensuivit fut autrement plus longue, difficile et émaillée d'atrocités. L'auteur montre que le désordre, l'improvisation et les erreurs stratégiques et tactiques ont failli coûter leur victoire aux Alliés.
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Le récit de la chute de Berlin qui consacre en 1945 l'effondrement du troisième Reich et du rêve hitlérien de domination mondiale, appuyé par des archives inédites.
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Synthèse sur tous les théâtres d'opérations de ce conflit mondial, de l'Extrême-Orient à l'Europe et du Pacifique et l'Afrique.
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Plus de soixante-dix ans après le soulèvement militaire contre la République qui marqua le début de la guerre d'Espagne, Antony Beevor nous propose, sur ce sujet encore brûlant, un livre capital. La terreur rouge, la terreur blanche, les règlements de comptes dans chaque camp, les interventions étrangères, intéressées (les Soviétiques et les nazis) et désintéressées (les Brigades internationales) sont racontés ici à la lumière, notamment, d'archives soviétiques et allemandes récemment rendues accessibles. Ce livre éclaire bien des zones d'ombre d'une guerre particulièrement cruelle qui devait sonner le glas des espérances et montrer le vrai visage des totalitarismes prêts à se déchaîner en Europe.
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Novembre 1944. La guerre semble perdue pour une Allemagne prise en étau entre les Russes sur la Vistule et les Alliés à sa frontière occidentale. Hitler se convainc qu'une contre-offensive éclair en Belgique pourra faire éclater la coalition anglo-américaine et lui donner le temps de déployer ses armes secrètes.
Une concentration militaire de grande ampleur est organisée en secret dans les Ardennes belges, là où le front tenu par les Américains est le plus vulnérable. Le 16 décembre, sous la poussée inattendue et brutale de deux armées de panzers, le front est enfoncé sur cinquante kilomètres. Nombre d'unités américaines se replient en désordre, mais d'autres résistent héroïquement dans des températures qui tombent à moins 22 degrés avant Noël. Plusieurs unités américaines sont encerclées à Bastogne, alors que le mauvais temps empêche toute opération aérienne de ravitaillement ou de renfort.
Froid glacial, pénurie de vivres, massacres de prisonniers, cadavres piégés, représailles contre les civils, combats rapprochés, amputations à la chaîne, snipers, 5e colonne : du 16 décembre 1944 au 4 février 1945, les Ardennes sont
le théâtre d'une guerre totale qui mettra hors de combat 80 000 soldats américains
et sensiblement le même nombre du côté allemand.
En pure perte. Ayant sacrifié ses meilleures unités et ses dernières réserves contre une armée dont il a gravement sous-estimé les ressources matérielles
et morales, Hitler a joué son va-tout et perdu.
Une fois de plus, Antony Beevor excelle à multiplier les points de vue. Son récit alterne en permanence entre les niveaux politique, stratégique, tactique et ndividuel. Nourri d'une documentation impressionnante, il nous fait vivre cette lutte à mort telle que la vécurent les états-majors, les officiers sur le terrain et les hommes du rang – des deux côtés –, sans oublier les civils, avec cette empathie dépourvue de jugement moral qui est sa marque de...
Une concentration militaire de grande ampleur est organisée en secret dans les Ardennes belges, là où le front tenu par les Américains est le plus vulnérable. Le 16 décembre, sous la poussée inattendue et brutale de deux armées de panzers, le front est enfoncé sur cinquante kilomètres. Nombre d'unités américaines se replient en désordre, mais d'autres résistent héroïquement dans des températures qui tombent à moins 22 degrés avant Noël. Plusieurs unités américaines sont encerclées à Bastogne, alors que le mauvais temps empêche toute opération aérienne de ravitaillement ou de renfort.
Froid glacial, pénurie de vivres, massacres de prisonniers, cadavres piégés, représailles contre les civils, combats rapprochés, amputations à la chaîne, snipers, 5e colonne : du 16 décembre 1944 au 4 février 1945, les Ardennes sont
le théâtre d'une guerre totale qui mettra hors de combat 80 000 soldats américains
et sensiblement le même nombre du côté allemand.
En pure perte. Ayant sacrifié ses meilleures unités et ses dernières réserves contre une armée dont il a gravement sous-estimé les ressources matérielles
et morales, Hitler a joué son va-tout et perdu.
Une fois de plus, Antony Beevor excelle à multiplier les points de vue. Son récit alterne en permanence entre les niveaux politique, stratégique, tactique et ndividuel. Nourri d'une documentation impressionnante, il nous fait vivre cette lutte à mort telle que la vécurent les états-majors, les officiers sur le terrain et les hommes du rang – des deux côtés –, sans oublier les civils, avec cette empathie dépourvue de jugement moral qui est sa marque de...
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La révoluion Russe de février 1917, puis le coup d'État d'octobre et la guerre civile qui s'ensuivit furent des événements parmi les plus déterminants de l'Histoire contemporaine. Ils ne furent même pas à proprement parler russes, car ils mirent aux prises de multiples parties prenantes, chacune ayant une cause par culière à défendre – nationale, ethnique ou de classe.En 1917, quand la Russie impériale, archaïque et vermoulue, sapée aussi par sa gestion calamiteuse de la guerre, se désagrège, Lénine et ses bolcheviks s'emparent du pouvoir par la ruse, la terreur, et par un sens de l'organisation hors du commun. Pendant trois ans, la Russie va connaître une guerre civile d'une férocité inimaginable. Dès 1918, Lénine décrète la Terreur rouge : tout aristocrate, tout bourgeois doit être sommairement exécuté en tant qu'ennemi de classe. De leur côté les Blancs sont minés par les désaccords politiques et desservis par les exactions commises par leurs cosaques.La propagande du camp victorieux a tout fait pour déformer et reconstruire ce conflit sous la forme d'une geste héroïque. Il est restitué ici pour ce qu'il fut, à savoir sans aucun doute, avec ses six à dix millions de morts, l'un des plus barbares de l'ère moderne. L'exploitation d'innombrables archives inédites a permis à Antony Beevor de nous raconter et de nous expliquer, comme jamais auparavant, ce cercle vicieux de la terreur qui a exacerbé les tensions politiques dans le monde entier et abouti à la Guerre d'Espagne et à la Seconde Guerre mondiale.
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C'est avec une terrible soif de vengeance, après les exactions commises par les allemands en Russie, que l'Armée rouge atteint les frontières du Reich en janvier 1945, puis s'approche inexorablement de Berlin, « l'antre de la bête fasciste ». Et cette vengeance sera effroyable : villes et villages anéantis, civils écrasés par les chenilles des chars, meurtres en série, pillage systématique. Des centaines de milliers de femmes et d'enfants périssent, souvent de faim ou de froid, et plus de sept millions de personnes s'enfuient vers l'ouest pour tenter d'échapper à la mort et à la terreur. Le viol devient systémique, de sorte que pas moins de deux millions d'Allemandes en sont victimes – chiffre corroboré par les rapports secrets que le NKVD envoie à Moscou.Pour avoir révélé dans ce livre l'ampleur du phénomène, Antony Beevor fut accusé de diffamer l'Armée rouge et déclaré persona non grata en Russie par Vladimir Poutine. Hitler, confiné dans son bunker souterrain, à moitié fou, veut orchestrer le Götterdämmerung d'un peuple allemand qu'il estime n'avoir pas été à la hauteur du destin qu'il lui assignait. Les Berlinois paieront de leur vie par dizaines de milliers le fanatisme suicidaire du Führer, tandis que Staline prépare déjà l'après-guerre en cherchant à mettre la main sur l'arme nucléaire que préparait le Reich dans un laboratoire secret dans la banlieue sud de Berlin.S'appuyant sur des archives souvent inédites, Antony Beevor nous livre non seulement un document historique capital, mais aussi un grand récit tragique et poignant, où l'on voit se déchaîner, portées à leur paroxysme, toutes les passions humaines.
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Le 17 septembre 1944, le général Kurt Student, créateur des forces aéroportées allemandes, entend le rugissement crescendo d'un grand nombre de moteurs d'avions. Il sort sur la terrasse de la villa qu'il occupe et qui domine le plat pays du sud des Pays-Bas pour regarder passer l'armada de Dakota et de planeurs qui convoient les 1re division parachutiste britannique et les 82e et 101e divisions aéroportées américaines. Ce n'est pas sans une pointe de jalousie qu'il contemple cette démonstration de force aéroportée. Market Garden, le plan du maréchal Montgomery consistant à donner le coup de grâce à l'Allemagne nazie en capturant les ponts hollandais donnant accès à la Ruhr était audacieux. Mais avait-il la moindre chance de réussir ? Le prix à payer quand il s'avéra un échec fut effroyable, en particulier pour les Néerlandais qui avaient tout fait pour aider leurs libérateurs éphémères. Les représailles allemandes furent cruelles et sans pitié, et ce jusqu'à la fin de la guerre. Quant à Arnhem et Nimègue, villes cartes-postales au coeur de l'Europe civilisée, elles se retrouvèrent, à l'arrêt des combats, dévastées et jonchées des cadavres d'innombrables jeunes soldats qui avaient payé de leur vie l'hubris de leur haut commandement. En puisant dans une documentation prodigieuse et parfaitement maîtrisée composée pour beaucoup d'archives inexploitées hollandaises, britanniques, allemandes, américaines et polonaises, Antony Beevor nous fait vivre la terrible réalité d'une bataille dont le général Student lui-même prédit avec lucidité qu'elle donnerait à l'Allemagne sa « dernière victoire ». Son récit implacable, qui alterne les gros plans et les vues d'ensemble, nous plonge au coeur même de la guerre, et rend hommage à des milliers de héros anonymes que l'Histoire a oubliés.
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80e ANNIVERSAIRE DE LA LIBÉRATIONCette histoire s'ouvre dans l'enthousiasme et le sang versé lors de la libération de Paris, à la fin du mois d'août 1944. Elle mêle les attentes des premiers « beaux jours » après quatre années terribles, la fureur des règlements de comptes annonçant l'épuration, les arrangements pour survivre au quotidien dans une économie dévastée et les débuts d'une âpre lutte idéologique pour le pouvoir entre Français, sous l'influence permanente quand ce n'est pas l'ingérence des Britanniques, des Américains et des Soviétiques via le PCF. L'économie renaît de ses cendres grâce au plan Marshall, et la Rive gauche devient la Mecque d'une nouvelle génération d'intellectuels de gauche, tandis que les milieux conservateurs renouent avec la vie mondaine, ses salons, ses bals, ses dîners diplomatiques. Avec leur flair pour dénicher des archives inédites et faire parler les témoins-clés, Antony Beevor et son épouse Artemis Cooper nous font vivre ces années compliquées et grisantes à l'aide d'un luxe d'anecdotes qui surprendront plus d'un lecteur français. Le tout avec un recul très « british » qui apporte une fraîcheur inédite à cet exceptionnel travail d'historien.
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Slalingrad est sans doute le tournant capital de la Seconde Guerre mondiale. Sa chute aurait livré à Hitler les pétroles du Caucase. Et quel symbole que de prendre la ville qui portait le nom du «petit père des peuples»... De ces enjeux résulte. un des plus gigantesques affrontements militaires de l'Histoire. La Wehrmacht en ressortit brisée ; l'Armée rouge y forgea la légende d'un comrnunisme libérateur. Pour conter cette épopée, l'historien britannique Antony Beevor a pu accéder aux archives soviétiques, tenues secrètes jusqu'à la chute du régime, qu'il a confrontées aux archives allemandes ainsi qu'à d'innombrables témoignages. Opérations militaires, relations entre les hauts gradés et le pouvoir politique, souffrances des combattants des deux bords et des civils : ce récit rigoureux et inspiré apporte des révélations et des éclairages nouveaux. Il nous fait revivre au jour le jour une bataille ou se joua le sort du monde.
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