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« Là, sur la route de la mer, après le portail blanc, dissimulées derrière les haies de troènes, les tilleuls et les hortensias, se trouvaient les vacances en Bretagne. Août était le mois qui ressemblait le plus à la vie. » Après de longues années d'absence, un jeune homme retourne dans la grande maison familiale. Dans ce décor de toujours, au contact d'un petit cousin qui lui ressemble, entre les après-midi à la plage et les fêtes sur le port, il mesure avec mélancolie le temps qui a passé. Chronique d'un été en pente douce qui commence dans la belle lumière d'août pour finir dans l'obscurité, ce roman évoque avec beaucoup de délicatesse la bascule de l'enfance à l'âge adulte.
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Depuis cinquante ans, frère Pierre est le curé de la vallée d'Aspe. Il connaît ses habitants, les baptise, les écoute, les met en terre, qu'ils soient ou non croyants. Ce roman fait le récit de son quotidien et d'une vie guidée par la foi, excursion dans des vies minuscules, dans leurs espoirs et dans leurs doutes universels. Prix Roger Nimier 2017. Prix Spiritualités d'aujourd'hui du roman 2017. ©Electre 2023
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Ils sont de " bons garçons ", de bonne famille, des beaux quartiers. Au volant de leur rutilant cabriolet, lunettes de soleil sur le nez, ils traînent dans les rues de Rome une dolce vita à peine désabusée. Sur leur Mobylette, Maria Grazia et Raffaella n'ont de richesses que leur jeunesse, leur soif d'ailleurs, leur peau bronzée. Filles des faubourgs et fils à papa encanaillés n'auraient jamais dû se croiser. Mais dans la torpeur de l'été, l'Italie des années 1970 se rêve sans lutte des classes : à la faveur d'une fête improvisée, tout va déraper. Là-haut, dans la villa balnéaire du mont Circeo, les pulsions transpirent et les masques tombent. Tarentelle pour un massacre..
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Nouveauté
« Je pardonne à tous et à tous je demande pardon. Ça va ? Pas trop de bavardages. » Le 27 août 1950, Cesare Pavese se donne la mort dans la chambre 49 de l'Hotel Roma, à Turin. Il laisse un mot d'excuse, des poèmes et un journal intime, Le Métier de vivre. Pierre Adrian a retracé le dernier été d'un écrivain hanté par le suicide. Il a cherché dans sa vie et dans ses livres de quoi nous apprendre, malgré tout, le douloureux métier de vivre. Pavese apparaît au fil des pages comme un compagnon de route taciturne, drôle, sincère. Au cours de ces errances en ville et dans les collines, on croise Monica Vitti et Antonioni, Calvino, des actrices américaines… Mais aussi « la fille à la peau mate », qui déambule aux côtés du narrateur sur les traces d'une ombre, dans ce Piémont devenu le lieu éblouissant des retrouvailles avec l'être aimé. Avec ce nouveau récit au charme furieux, Pierre Adrian nous donne à contempler une Italie d'après-guerre en noir et blanc, où la littérature et la politique sont une question de vie ou de mort, où rien n'est jamais grave mais où le tragique finit par s'inviter.
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Après plusieurs années d'absence, un jeune homme séjourne dans la grande maison familiale, le temps d'un été en Bretagne. Flanqué d'un petit cousin qui lui ressemble, il occupe son temps entre les après-midi à la plage et les fêtes sur le port. Il prend conscience du temps qui a passé et bascule vers l'âge adulte. Prix Jean-René Huguenin 2022. ©Electre 2023
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