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La méthode de Klaus Bernhardt n’a pas grand-chose à voir avec le type de traitement qui attend généralement les patients anxieux. Avec lui, il n’y a pas d’exercices de respiration ni de recherche d’antécédents dans l’enfance. Aussi, à quelques exceptions près, il est strictement opposé à la prise d’antidépresseurs et de tranquillisants. Sa thérapie, radicalement différente, s’appuie sur les nombreuses découvertes récentes au sujet du cerveau et de son fonctionnement.