Symbiose entre l'art du poète et celui du compositeur, la mélodie française est devenue le fleuron des salons de la Belle Époque. Regroupant quatuor à cordes et piano autour du chanteur, la "Chanson perpétuelle" de Chausson, le "Nocturne" de Lekeu et "La bonne chanson" de Fauré oscillent entre intimité chambriste et ambitions orchestrales.