« J'aime profondément mon métier, une profession méconnue qui fait de moi le dépositaire de l'ultime adieu. À quel moment décide-t-on d'être maître de cérémonie funéraire ? Que serait la mort sans nous ? Elle fait partie du chemin, elle nous concerne tous. Et pourtant, du porteur de cercueil au marbrier, nous sommes condamnés à rester dans l'ombre. Je ne peux pas changer le cours des choses, mais je peux contribuer à changer vos regards.