Imelda gardait un trésor que beaucoup ignorait, des objets fabuleux, la mission d'une vie. Et ce matin, en son échoppe, quelque chose dérangeait son regard. Elle ne savait pas quoi, elle ne savait pas où, elle ne savait pas bien… Quand soudain, elle réalisa que tout était à sa place et c'était cela qui navrait Imelda ! Les objets sur ses étagères venaient du fond des pages, de folles fantaisies, de forêts, de châteaux ou d'amours, tous à la fois terribles, superbes et merveilleux. Mais s'ils étaient tous là, c'est que plus personne ne lisait ces mots magiques : « Il était une fois… », qui seuls leur permettaient de rejoindre leurs histoires intrépides. Si tous les objets étaient agencés là, c'est que leurs histoires ne vivaient pas…
C. Baratoux revisite le célèbre conte en transformant le personnage en vrai héros de théâtre qui fait l'expérience du rite de passage entre l'enfance et l'âge adulte.
A l'arrivée de sa belle-mère et de la fille de celle-ci, la jeune fille est chassée de la maison. Dans la forêt, elle rencontre le prince. Un surprenant carrefour où Cendrillon croise Peau d'Ane.
Pouce-Pouce, minuscule enfant abandonné par ses parents trop pauvres, et Petite Peau, princesse qui fuit le roi son père qui veut l'épouser, marchent dans la Forêt défendue. Ils arpentent ensemble le monde inhospitalier.
Marie raconte à son petit frère François des histoires pour l'endormir lorsque sa mère part le soir travailler au café. C'est un moment propice à l'explosion des peurs et des fantasmes. Une visite à la fête foraine ne fait qu'accroître l'imagination des deux enfants.
Le texte, une variation sur le thème de l'histoire du Petit Chaperon rouge est présenté dans son intégralité accompagné d'un appareil pédagogique adapté aux élèves de 6e. Comporte une interview de l'auteur.
Pièce pour 8 acteurs et un pantin d'après le conte de Collodi. Un homme pauvre fabrique le pantin de bois Pinocchio, mais ce dernier s'enfuit. Son amour pour l'argent facile et l'oisiveté lui jouent des tours, son nez s'allonge à chacun de ses mensonges, et le pantin finit dans le ventre d'une baleine.
Quinze et quinze font trente, si je ne me trompe, murmura le Petit Poucet en enfonçant les cailloux dans ses poches. Alors pourquoi trente et un pas à faire ? Parce que voilà trente invitations, initiations, incitations... Mais il n’empêche ! Le pas qui compte le plus est celui que l’on accomplit par soi-même, au risque de se perdre. Au bonheur de trouver ?
Contient deux épisodes : "L'hiver de Léon" : Léon, l'ourson, délivre la princesse Mélie Pain d'épice... "Le printemps de Mélie" : la princesse joue les détectives et sauve le village... Jolie animation en pâte à modeler produite par Folimage...