Dans un village du Japon, Teiji, un peintre aimé de tous, décide de suivre de grands oiseaux blancs, symboles pour lui de la beauté aboslue. Ce sont des cygnes.
Un immense incendie dévaste la forêt. Tous les animaux terrifiés assistent au désastre sans réagir. Seul le petit colibri s'active pour aller chercher quelques gouttes d'eau dans son bec et les verser sur le feu. Au tatou qui raille la vanité de son action, il répond que lui fait sa part de travail. Adaptation d'un conte amérindien.
Un conte populaire aborigène, une version racontée et mise en musique sur le CD audio, une présentation des instruments de musique traditionnels employés dans les plages musicales.
Un empereur de Chine découvre dans sa forêt un rossignol au chant merveilleux et décide de se l'approprier. Mais un rossignol mécanique incrusté d'or et de pierres précieuses prend sa place et fait perdre la tête à la cour.
Un empereur découvre dans son jardin un rossignol qui chante si bien qu'il fait mettre celui-ci en cage pour pouvoir le garder près de lui. Cette nouvelle vie n'est pas du goût du bel oiseau qui aime la liberté. Heureusement, un oiseau mécanique est offert à l'empereur.
Les arbres de la canopé sont menacés par des insectes qui grignotent leurs troncs. Le dieu de la forêt «Tane Mahuta» fait appel aux oiseaux pour l'aider et demande qui voudra bien descendre de la cime des arbres pour sauver ses enfants ? Mais Tui est trop effrayé par le noir, Pukeko ne veut pas se mouiller les pieds, et Pipiwharauroa est trop occupé à construire son nid. Kiwi acceptera-t-il de descendre du ciel et de ne plus jamais revoir la lumière du soleil ? Cette légende maori nous parle de différence, de courage et de choix. Mais c'est aussi l'occasion d'évoquer une forêt en danger, et ce à quoi on est prêt à renoncer pour la protéger.
Tous les oiseaux du Royaume sont exterminés parce que Maharadja a perdu son oiseau bien aimé. Rahi part avec ses deux oiseaux : il espère les amener à la frontière du royaume pour leur rendre leur liberté.
Un perroquet se noie après s'être montré trop curieux, et sa mort rend tout le monde triste : l'orange, la petite fille, le vent, le feu, etc. Le ciel, touché par tant de malheurs, décide d'intervenir. Une légende brésilienne sur la mort et la résurrection. Electre 2014
Un conte très écologique servi par de superbes illustrations. Le courage et la détermination d'un petit colibri de cette légende amérindienne suffiront-ils à sauver la forêt ? Ce petit oiseau, voyant son habitat partir en fumée, décide de tenter d'éteindre le feu en faisant des allers-retours, le bec chargé de gouttes d'eau. Bien évidemment, les autres habitants de la forêt, l'anaconda, le quetzal, le jaguar ou encore le ara rouge se moquent de lui mais, peu importe, " il fait sa part ", et finira par convaincre les autres de l'aider. Le message écologique de ce conte est un plaidoyer pour que chaque citoyen prenne son destin en main et contribue, comme il le peut, à sauver la planète. Les illustrations de Delphine Jacquot, entre réalisme et ironie subliment cet ouvrage.
Les animaux assistent désemparés à l'incendie de leur forêt. Seul le colibri porte dans son bec, goutte après goutte, de l'eau pour éteindre le feu. Sur l'entraide et la protection de l'environnement.
Un oiseau qui a trouvé une pièce d'or chante aux oreilles du roi qu'il est devenu plus riche que lui. Jaloux, prétentieux et cruel, le roi met tout en oeuvre pour récupérer la pièce. Un conte tunisien contre l'oppression où la ruse et la ténacité l'emportent.
Un buffle vivait dans l'eau. Un petit oiseau jaune chantait, perché sur sa corne gauche. Un jour, un homme vint au bord de l'eau et invita le buffle à venir travailler avec lui. Au temps de la récolte, l'oiseau se mit à picorer les grains. Alors l'homme intervint. Mais le buffle l'arrêta en lui disant que si l'oiseau n'avait pas chanté, il n'aurait pas aussi bien travaillé...
Dans ce magnifique conte, une grue blessée, secourue par un paysan, se transforme en femme. Pour soulager son sauveur de la misère, elle lui tisse dans le plus grand secret de magnifiques étoffes. Mais l'avidité de l'homme l'incite à lui demander toujours plus ...A partir de 6 ans.