Essai sociologique sur l'entretien des habitations. La spécialiste étudie cette tâche domestique en tant que révélateur de la distribution des rôles entre hommes et femmes, manifestation de l'évolution des mentalités et des habitudes quotidiennes, et indice de nouvelles préoccupations concernant la santé, le bien-être et l'environnement.
L'historien souligne la nécessité de définir une morale du masculin pour toutes les sphères de la vie sociale : la famille, l'entreprise, la religion, la politique, la ville, la sexualité et le langage. Pour rompre avec le patriarcat dominant, il importe selon lui d'inventer de nouvelles masculinités afin de construire une société égalitaire et respectueuse.
Le premier livre d'éducation non-sexiste à l'usage des garçons ! Depuis des décennies, on ne cesse de réfléchir sur le sens de la féminité, sur l'éducation de nos filles, que l'on veut voir fières et émancipées; on lutte à l'école, dans la rue, dans les familles, pour leur donner les mêmes chances qu'aux garçons. Mais on continue d'élever nos fils dans le même moule qu'avant, comme si on pouvait déconstruire le sexisme sans s'interroger sur la masculinité ! Grâce à des analyses d'experts, des témoignages et des informations pratiques, Aurélia Blanc décortique les stéréotypes et rassemble tous les outils pour aider les parents à élever leur garçon dans une société qui promeut l'égalité ! Toutes les astuces pour : Se déconditionner soi-même du « sexisme bienveillant » véhiculé par l'entourage et notre propre éducation En finir avec les injonctions : Un homme ça ne pleure pas , ça ne fait pas de sentiment , ça collectionne les conquêtes , ça fait passer son travail avant ses enfants .. L'armer face aux pressions sociétales : « c'est un truc de fille »... Lui apprendre le respect de soi et des autres : la question du consentement
Avec la fin du patriarcat occidental classique, la position du père au sein de la famille a radicalement changé, sa manière d'exercer la paternité aussi. Le nombre de familles monoparentales a explosé et, désormais, un spermatozoïde suffit pour qu'une femme donne naissance à un enfant : elle n'a plus besoin d'un homme.Quels seront les effets de ces bouleversements sur la filiation et les générations à venir ? Les hommes, mais aussi les enfants et les femmes pourront-ils s'y retrouver ? Le psychanalyste Jean-Pierre Winter invite à réfléchir à ces questions dans un monde caractérisé par l'effacement dupère. En rappelant que sa place n'est pas simplement celle d'une figure éducative masculine, l'auteur de Transmettre (ou pas) dessine les contours d'une fonction à réinventer.