" Je n'arrive pas à me déplacer en voiture blindée. Un évêque, c'est un berger, c'est un père. J'ai dit dès le départ que je ne voyagerais que si on me laissait être en permanence au contact des gens. " François. Partout où il voyage, François est attendu avec ferveur par des milliers de catholiques. Andrea Tornielli l'a accompagné dans tous ses déplacements hors de Rome, depuis le premier, symbolique, à Lampedusa en juillet 2013. Il en a rapporté ce journal de voyages dans lequel il nous révèle un portrait inédit et intime du pape, pèlerin de la paix. De l'Italie au Brésil, de Cuba au Sri Lanka, dénonçant la corruption, le narcotrafic et la vente des armes à feu, appelant les gouvernements à agir contre le réchauffement climatique, s'indignant de l'indifférence générale face aux grandes tragédies humanitaires, invitant toutes les confessions à prier ensemble, serrant dans ses bras des enfants des rues ou des familles endeuillées, le pape François donne un sens fort à chacun de ses voyages. Entre messages d'amour et cris d'indignation, il veut remuer les consciences contre la " mondialisation de l'indifférence ".
En 1907, Raymond Rallier du Baty s’embarque sur un ketch de vingt mètres avec cinq hommes d’équipage pour une expédition dans une région du monde alors pratiquement inconnue : les îles Kerguelen. Il affronte de terribles tempêtes, explore une région glacée et inhospitalière, chasse le phoque et le canard, éprouve la solitude et la peur, mais aussi la fraternité et l’émerveillement devant la beauté des paysages. Le récit qu’il fit à son retour est un témoignage passionnant sur l’aventure de ces hommes qui risquèrent leur vie pour découvrir de nouveaux horizons.
Pourquoi les princes ont-ils depuis toujours choisi d'êtresoignés par des médecins étrangers ? Anne Marie Moulin montre comment le médecin du prince jouait de multiples rôles, à l'intersection du pouvoir et du savoir.
Tourisme, exil, aventures lointaines, explorations du quotidien, immigration... émaillent ce livre pour voyager avec les artistes qui font découvrir un ailleurs réel ou imaginaire.
Des centaines d'idées de voyage en fonction de l'âge et des envies de ses enfants : en camping-car en Nouvelle-Zélande, à dos d'éléphant en Thaïlande ou sur les traces des Romains en Italie. 80 destinations familiales avec des sites ludiques à visiter, des activités adaptées, des encadrés sur la nourriture locale, des données pratiques indispensables et des conseils.
Les meilleures idées de voyage du Routard, de la plus classique à la plus décalée, réunies dans un unique volume : voir les baleines à bosse mettre bas sur l'île de Sainte-Marie, à Madagascar ; prendre un cours de tango dans la plus vieille école de danse, à Buenos Aires ; descendre le Mekong en pirogue traditionnelle...
Avant de disparaître mystérieusement en 1925, Percy Harrison Fawcett, le dernier explorateur victorien qui inspira le personnage d'Indiana Jones, envoya un message faisant part d'une découverte au fond de la forêt amazonienne, d'une cité étrangement baptisée "Z". R. Grann relate sa quête personnelle qui le pousse à suivre les traces de Fawcett.
Le Journal d'Aran s'ouvre sur une balade le long des falaises d'îles irlandaises, saoules de vent et hantées par la solitude minérale, sur les traces de quelques moines fondateurs d'abbayes, de bâtisseurs acharnés.
En 1934, Paul-Emile Victor, embarqué sur le Pourquoi-Pas ?, découvre le Groenland et les Esquimaux d'Ammassadik. Quatorze mois durant il partage le quotidien de la famille esquimaude qui l'adopte. En 1936, il traverse à pied le désert de glace du Groenland. Ces journaux sont autant d'observations et de notes précises. Paul-Emile Victor nous montre que ce peuple est parmi les plus " adaptés " du monde. Ce sont aussi des pages émouvantes : la rencontre avec l'ours, la chasse au narval, les récits des magiciens, et la joie de vivre avec cinquante chiens, vingt-cinq Esquimaux, et Doumidia, sa compagne esquimaude.
Dans ma famille, on n'était pas des voyageurs. On avait plutôt tendance à s'ancrer au port : les seuls voyages jamais entrepris s'appelaient exil ou déménagement, et partir n'était qu'une source d'ennuis. A l'étroit dans une culture familiale sédentaire, j'ai ressenti l'urgence du départ à l'adolescence. Tout à coup, à quatorze ans, je me suis mis à bouillonner. Alors que rien ne m'y prédisposait, je voulais partir.