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Chaque mythe à sa manière en dit long sur la psyché occidentale. D'Orphée à Faust, du cycle du Graal à don Juan, de Roméo et Juliette à l'Italie, mère des rêves et des arts, les significations sont décryptées. Le présent recueil est extrait d'un cycle de conférences prononcées à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris.

Mis en miroir, des tableaux de maîtres et de splendides photographies font redécouvrir, intacts ou presque inchangés, des monuments, des ambiances et des paysages vénitiens... Télescopant le passé et le présent, ce livre invite à un voyage dans l'art pour retrouver la place Saint-Marc à la Renaissance ou lors des grandes fêtes du XVIIIe siècle. Il donne aussi à voir les lieux plus secrets d'une cité qui n'a cessé, au fil des siècles, de chercher à s'embellir. Des rives du Grand Canal aux îles de Murano, de la Giudecca ou du Lido, Venise se pare de séductions intemporelles

Les saints, leurs miracles, leurs martyres, ont très tôt fasciné les artistes. Source d'inspiration diverse et féconde, leurs vies ont donné naissance à quantité de chefs-d'œuvre, dont cet ouvrage reflète la beauté. Jamais les œuvres d'art n'ont été mises en valeur avec plus de soin que dans nos musées. Jamais les expositions n'ont suscité un tel engouement de la part du public. Jamais non plus les églises et les cathédrales n'ont été autant visitées. Mais jamais sans doute la signification du fabuleux patrimoine artistique religieux n'a été aussi méconnue. Nous avons voulu rendre leur sens aux tableaux, en racontant les histoires qu'ils représentent. Et aussi, partant du foisonnement de l'expression artistique, revenir aux sources religieuses, historiques, culturelles de leur inspiration. Ce livre permet à chacun de se plonger dans les merveilles de La Vie des saints à travers cent chef-d'œuvre de la peinture pour y découvrir ou redécouvrir la force et la beauté d'un message éternel et populaire à la fois.

Synthèse inédite dans l’œuvre de Jacques Le Goff, fruit de plus de quarante années de fréquentation quotidienne de l’art médiéval et de ses images, cet ouvrage se propose de restituer le monde visuel du Moyen Âge. Représentations de la féodalité (seigneurs et paysans), de la violence guerrière, de la mort : ces phénomènes sont bien connus mais n’expriment pas autant, selon lui, le Moyen Âge essentiel, profond, que ne le font les gestes, la société humaine face à la société divine, les images de l’au-delà. Ce Moyen Âge en images lui paraît d’autant plus vrai que l’image inclut dans la représentation le côté imaginaire, symbolique de la réalité aussi « vrai » que son côté matériel, réaliste (surtout dans une société qui, comme la société médiévale, vit sur le double registre naturel/surnaturel). Ces deux lectures s’imposent parmi celles que le lecteur-spectateur de ce livre peut légitimement mettre en œuvre. Pour Le Goff, le Moyen Âge a été un univers de combattants, de travailleurs, de rêveurs.

Mères... Des plus belles aux plus douces, les mères éternelles Vues par les plus grands peintres.

S'interroge sur la place de la littérature pour la jeunesse dans l'horizon littéraire, et notamment sur l'image renvoyée à l'adolescent de lui-même par l'intermédiaire des lectures qui lui sont destinées.

Ce n'est pas un livre comme les autres. Ce sont les histoires qu'on peut lire une par une en prenant le temps de regarder les images, les dessins et les photographies qui racontent aussi leurs histoires, et en prenant le temps de réfléchir, de poser des questions et de rêver. Ce sont des histoires pour les enfants et pour les parents, ni pour les enfants tout seuls, ni pour les parents tout seuls, elles doivent se lire et se raconter entre les deux. De quoi s'agit-il ? Des légendes et des secrets cachés dans les œuvres d'art, de ce qu'elles sont prêtes à nous apprendre si l'on écoute bien ce qui se dit encre la nuit et le jour.

Des détails de peintures d'artistes célèbres (Raphaël, Rembrandt, La Tour, Van Dyck, Maurice Denis, etc.) représentant des tout-petits, pour imaginer ce qu'ils pensent, décrire ce qu'ils font et leur prêter la parole.

Une initiation à l'art sur le thème des bêtes merveilleuses à travers 11 tableaux commentés, accompagnés de maximes et de jeux. Avec les peintres Kandinsky, Giotto, Ettore, sont racontées les légendes et les mythes qui entourent centaures, Minotaure, monstres des mers, etc.

Contaminée est en effet Lydie Salvayre, toute au plaisir de sa bouleversante rencontre. D'égale à égal, on la sent tour à tour, séduite, amoureuse, fascinée, moins par le maître que par l'homme. Peut-être en raison de leurs origines communes, elle nous le présente comme son frère en révolte à travers leurs exaspérations partagées. C'est le peintre par la voix de l'écrivain, et c'est aussi la femme et l'homme qui s'indignent ensemble contre le "monde suicidé", contre le labeur, contre la mort. Mais si Lydie Salvayre aime Picasso, on comprend que c'est bien plus encore parce qu'il est pour toutes les provocations, pour toutes les jouissances, pour tous les plaisirs, pour toutes les forces de vie. Femme, elle sait l'accueillir, malgré sa légendaire vulgarité de ruffian parce qu'il a su peindre les femmes "plus vivantes, plus fiévreuses et plus folles que jamais", écrivain, elle l'admire d'avoir pris "le seul risque vers lequel il vaut la peine d'aller, celui de vivre et de créer." S. R Lydie Salvayre n'écrit ici, ni un essai, ni un roman, ni un récit. Ce texte qu'elle ne veut définir a surgi en elle avec violence, avec bonheur, à la seule vision des carnets de Picasso datés de 1964.

A l'occasion d'une exposition au musée d'Art brut à Lausanne, présente à la suite de Bobine d'art brut, un bestiaire composé de coquillages, de bois recyclé, de papier d'emballage ou d'éclats de verre et de miroir issu de la collection du musée.