Portail des médiathèques du réseau Paris-Saclay

Afin de s'emparer de l'essence magique des Schtroumpfs, Gargamel a inventé de minuscules créatures. ne lui manque que la formule secrète détenue par la Schtroumpfette pour parfaire son plan... Le Schtroumpfs se lancent donc au secours de la Belle....

Le héros des cours de récré revient dans de nouvelles aventures marines. Las de se faire rembarrer par tous ses voisins, Bob prend la décision extrême de quitter Bikini Bottom pour toujours. Son ballotin sur le dos, Bob quitte ses amis.Pas pour longtemps !

Reggie, une dinde, tente de faire comprendre à ses congénères que s'ils sont engraissés, c'est pour finir dans une assiette à l'occasion de la fête de Thanksgiving. Mais, surprise, Reggie est gracié par le président des Etats-Unis. Habitant dans une demeure confortable, il est alors enlevé par Jake, un dindon rebelle. Il l'oblige à voyager avec lui, dans le passé, grâce à une machine à remonter le temps afin de retourner aux origines de cette tradition, pour y mettre fin.

Venez découvrir l'univers fantastique de Gianini et Luzzati. Ce programme de quatre courts métrages emmène les enfants dans un monde haut en couleurs où se mêlent magie des contes et aventures merveilleuses. Du courage et de l'audace sont au rendez-vous avec Polichinelle et ses amis ! Contient "Les trois frères" (1979, 9', papier découpé), "Le ballon d'or" (1981, 8', papier découpé), "Polichinelle et le poisson magique" (1981, 8', papier découpé) et "L'oiseau de feu" (1981, 9', papier découpé). "Riche idée d’avoir compilé ces quatre courts métrages, réalisés entre 1979 et 1981 par Ema­nuele Luzzati avec, pour trois d’entre eux, Giulio Gianini. Après leur rencontre en 1957, ces maîtres italiens du papier découpé ont travaillé ensemble près de quarante ans : le premier élaborait les personnages et les décors, le second se consacrait à l’animation image par image. Tous ces petits films sont des adaptations de contes, aux couleurs flamboyantes, aux influences psychédéliques (les animaux imaginaires), aux élans cubistes (les villes et les châteaux). Polichinelle et le poisson magique, le plus réussi, est une parabole sur l’insatiable soif de luxe et de pouvoir : voir le palais du héros voler en éclats (de papier) est un éblouissement.”

Trois films d'animation, deux réalisés avec des marionnettes et le 3e en éléments découpés... Contes philosophiques et poétiques, à méditer...

Beaucoup d'infographie, une pincée d'expérimental et un gros zeste de fantaisie et de musique pour tous, à partir de 5 ans ! 12 courts réalisés entre 2005 et 2008

Trois courts métrages : "Joyeux Noël Shrek" (28') : C'est bientôt Noël. L'Ane, Fiona et la bande sont tous fin prêts à l'idée de fêter le gros bonhomne en rouge et s'attendent à ce que Shrek prépare une merveilleuse fête. Seulement, ce dernier n'a rien préparé. Car Shrek, comme tous les autres ogres, n'a jamais fêté Noël. "Joyeux Noël Madagascar" (22') : la joyeuse ménagerie de "Madagascar" doit sauver Noël suite à l'amnésie du Père Noël... "Kung Fu Panda Bonnes Fêtes" (25') : Po se charge d'organiser les fêtes de Noël, et il a invité tous ses amis.

Différente des autres élèves, passionnée de mystères et de monstres, Dixie, treize ans, n'a pas beaucoup d'amis. Une nuit de forte tempête, elle est victime d'un accident. Elle se réveille au milieu d'un cimetière et constate qu'elle est devenue... un zombie. Comment retrouver son état normal ? Pour Dixie, c'est le début d'une incroyable aventure au cours de laquelle elle va rencontrer sorcières, fantômes, momies, zombies et autres créatures incroyables.

- Discours de bienvenue Film à truquages avec animation d'objets et animation d'un acteur (McLaren lui-même). - Points Effets visuels et sonores abstraits dessinés à l'encre de chine sur pellicule 35 mm. - La Poulette grise Dessins colorés au pastel illustrant une vieille berceuse française et transformés par la suite de fondus enchaînés. Berceuse interprétée par la chanteuse Anna Malenfant. - Hen Hop Images tracées directement sur pellicule. La couleur (Warnercolor) est ajoutée par la suite. Interprétation visuelle d'une musique de danses carrées canadiennes. Publicité pour les bons de la victoire. - Canon Représentation visuelle et musicale du chant en canon. Diverses techniques d'animation sont utilisées, dont l'anima- tion image par image d'objets tridimensionnels et de découpages peints mats ainsi que de nombreux effets optiques. - Le Merle Animation image par image et superposition optique de découpages de papier blanc sur simples fonds de couleur. Un oiseau stylisé danse au son d'une chanson folklorique du Canada français. - Mosaïque En réunissant les copies de Lignes verticales et Lignes horizontales (lignes blanches sur fond noir), seules les intersections sont visibles et les petits carrés produisent des "mosaïques". les arrières-plans sont colorés à travers les filtres. - Blinkity Blank Utilisation d'animation intermittente et d'images spasmodiques jouant sur la persistance de la vision et l'après- image dans la rétine de l'œil. Les images sont gravées et colorisées sur une pellicule noire opaque. - Il était une chaise Allégorie avec action en direct, utilisant des techniques de pixillation, différentes vitesses de caméra et beaucoup de manipulation de la chaise à l'aide de fils invisibles. - Rythmetic Film d'animation sur les règles d'arithmétique les plus simples avec chiffres blancs découpés, évoluant sur fond noir. Le son est gravé directement sur la pellicule. - Caprice en couleur Interprétation de 3 pièces de jazz très différentes jouées par le trio d'Oscar Peterson et composées par ce dernier. Les éléments visuels sont peints, dessinés et notamment dans la partie du milieu qui est la plus lente, gravés sur la pellicule. - Voisins Animation d'acteurs, Jean-Paul Ladouceur et Grant Munro, par des techniques généralement utilisées pour des dessins et des marionnettes. "(...) Les courts métrages réunis dans Norman McLaren, Jeux d'images sont un exemple éblouissant de la variété de ses talents. (...) L'admirable, chez ce chercheur inventeur de monde (et passionné de danse), c'est qu'il n'a jamais ennuyé son public. Ses exercices les plus austères jaillissent sur l'écran dans l'allégresse, accompagnés de la musique folklorique d'un violoneux canadien, ou par ces bruitages bizarres qu'il tirait de la bande optique. Comment mieux lui rendre hommage qu'en citant la lettre que François Truffaut lui adressa en 1973 : "Ce que vous faites est unique au monde, unique dans l'histoire du cinéma, j'avais les larmes aux yeux en regardant vos films et je me sentais bien lourd en voyant vos danseurs en slow motion but in strong emotion."

À seize ans, la future reine du cancan est blanchisseuse. Mais le soir, Louise Weber « emprunte » les robes des clientes pour courir à l'Élysée Montmartre. Celle que l'on va surnommer La Goulue se fait rapidement remarquer par sa gouaille et son appétit de vivre. Au Moulin Rouge, elle bouscule les codes en arrivant avec un bouc en laisse, détournant ainsi l'interdiction faite aux femmes d'entrer dans un lieu public sans être accompagnées par un mâle ! Immortalisée par Toulouse-Lautrec et Renoir, elle va également s'imposer dans le milieu mondain et côtoyer les plus grandes personnalités de son temps - le prince de Galles, le shah de Perse, le baron de Rothschild, le marquis de Biron... - avant de tomber en disgrâce.Pour mener à bien cette biographie, Maryline Martin s'est plongée dans le journal intime de la danseuse, conservé au Moulin Rouge. Elle a également consulté les archives de la société des amis du Vieux Montmartre, le service de la mémoire et des affaires culturelles de la préfecture de Police et les divers documents des bibliothèques spécialisées de la Ville de Paris. À partir de ses recherches, elle a pu dessiner le portrait tendre et intimiste d'une figure incontournable de la Butte Montmartre : une femme libre, fantasque, généreuse et attachante.Journaliste littéraire, Maryline Martin a écrit des nouvelles et des romans dans lesquels elle s'interroge sur la place et le rôle des femmes dans l'histoire.

Inspiré de recueils de contes orientaux, entre féerie et humour... Shéhérazade et son inséparable ami Till l'éfrit parcourent le monde en quête d'aventures...

Le Renard est toujours prêt aux plus grandes facéties, même devant la cour de Lion. A tel point que celui-ci n'hésite pas à le jeter en prison. Mais Goupil, lors d'une audience, lui fait miroiter l'existence d'un fabuleux trésor. Il est aussitôt libéré. S'apercevant de la supercherie, Noble le Lion ordonne le siège de Malpertuis, le château de Renard. Une fois de plus, ce dernier l'emporte et le roi, comprenant que Goupil est le plus astucieux sujet de son royaume, le couronne et en fait son ministre.

Une compilation de quatre épisodes délirants sur la famille la plus disjonctée de l'histoire de la télévision... Si ça ne vous donne pas envie de voyager, je rends mon tablier...

Ce journal commence avec le récit des funérailles de Victor Hugo et s'achève en juillet 1886 quand la phtisie emporte leur auteur en pleine jeunesse. Née en 1859, dans la plus ancienne famille de la noblesse de Bigorre, Constance de Castelbajac a épousé, en 1878, Henri, 8e marquis de Breteuil (1848-1916), député monarchiste dans les Hautes-Pyrénées et l'une des personnalités les plus en vue du Tout-Paris à la Belle Époque. Retraçant une longue année de l'histoire de la Troisième République, cette chronique rédigée " à chaud " dépasse l'horizon des frontières nationales. Observateur privilégié de la cette haute société, dont les noms peuplent Le Côté de Guermantes, elle-même reçue dans le cercle étroit des familles royales, Constance de Castelbajac présente un tableau de l'Europe aristocratique du dernier tiers du XIXè siècle. La vivacité du style et l'acuité du regard confèrent au journal son intérêt historique, sociologique et littéraire. Publié pour la première fois, il prend place parmi les témoignages, rares et irremplaçables, qu'ont laissés les plumes féminines du XIXè siècle.

Emilie, la petite fille en rouge des albums de notre enfance imaginée par Domitille de Pressensé, prend vie en 3D ! Un retour à la douceur de l'enfance, très fidèle aux histoires originales créées dans les années 1970. On redécouvre le petit monde d'Emilie, à la fois épuré et coloré, tendre et plein d'humour qui sait parler aux tout-petits (de 3 à 5 ans). Petite fille de 4 ans, Emilie vit à la campagne entourée de toute sa famille et de ses copains d'école sans oublier Arthur le hérisson, son fidèle compagnon d'aventures.

Trois films réalisés entre 1920 et 1925 qui illustrent l'univers et les références cinématographiques de l'auteur. "Dans les griffes de l'araignée" (1920, 24'25) Couleurs au pochoir ; "Les Yeux du dragon" (1925, 25'30) Couleurs par virage et par teintage ; "Amour noir et blanc" (1923, 21'52) Couleurs par virage et par teintage.

Distr.ADAV / Alexandre Alexeïeff (1901-1982) porta le cinéma d'animation à son plus haut degré d'exigence artistique dans les années 30... Inventeur génial, perfectionniste, ce pionnier créa l'"écran d'épingles"... Une filmographie quasi intégrale à (re)découvrir d'urgence...

Au bout du monde, une famille paisible est installée dans une ferme coquette perchée en haut d'une colline. Mais au pied de cette colline, le monde des grenouilles est en émoi : toutes les prévisions coïncident, un nouveau déluge s'annonce. C'est alors le début d'une grande aventure où animaux et humains vont devoir apprendre à vivre ensemble.