Evocation du monde des lettres au Japon, pendant l'ère Meiji au début du XXe siècle, à travers le destin de Takuboku, jeune homme en conflit avec lui-même, pour qui la poésie est le seul refuge.
Après avoir évoqué les écrivains et les poètes de l'ère Meiji, Sekikawa et Taniguchi s'attachent dans ce quatrième volume au versant politique de cette période cruciale de l'histoire japonaise à travers le militant anarchiste Shusui Kotoku.
À la fin du xixe siècle, le Japon s’ouvre au monde et s’occidentalise à marche forcée. Mais le pays reste un vrai mystère pour la plupart des Européens, ce qui en fait une destination de choix pour la célèbre exploratrice anglaise Isabella Bird ! Malgré son jeune âge, elle est déjà connue pour ses écrits sur les terres les plus sauvages. Isabella ne choisit jamais les chemins les plus faciles et, cette fois encore, elle étonne son entourage par son objectif incongru : Ezo, le territoire des Aïnous, une terre encore quasi inexplorée aux confins de l’archipel… Le voyage s’annonce long et difficile, mais rien n’arrête la pétillante jeune femme !
Accompagnée de son guide-interprète, le stoïque M. Ito, la jeune femme parcourt un pays en plein bouleversement. Dans ses lettres quotidiennes à sa sœur, elle narre avec sincérité et force détails la suite de chocs culturels qu’elle expérimente. Elle veut tout voir, tout essayer, quitte à endurer chaleur, fatigue, maladie ainsi que les sarcasmes de ses pairs !
L'histoire de Natsume Soseki, l'auteur de Botchan. Cet album est le premier d'une série offrant un panorama de la littérature japonaise de l'ère Meiji au début du XXe siècle.
Savourer le présent jusqu'à la dernière goutte :c'est ce que propose le café des au revoir. « Je voulais que tu saches que mon bonheur, c'est à toi que je le dois. » Ce sont les paroles de Monji, décidé à tout dire à sa femme plongée dans le coma. Comme lui, ceux qui fréquentent le café Funiculi Funicula espèrent y réparer le passé. Une tasse de café leur permettra de voyager dans le temps et d'adresser à l'absent le message d'amour qu'ils n'ont pas su formuler à l'époque. Ainsi, Hikari qui se sent coupable de n'avoir pas répondu à la demande en mariage de son petit ami, disparu depuis ; Michiko, hantée par le souvenir de son père qu'elle a rejeté ; Sunao, qui pleure son chien adoré ... Sauront-il dire au revoir à leurs aimés et, ce faisant, se réconcilier avec eux-mêmes ? Car pour honorer la mémoire des absents, il faut d'abord trouver la paix en soi.