Aller au contenu principal

3 résultat(s)

ImpriméDisponible
Année de parution :
2022
" Jamais nous n'avons été à ce point testés sur la difficulté de juger des faits sans faillir face à l'émotion de se venger. " " Jamais nous n'avons été à ce point testés sur la difficulté de juger des faits sans faillir face à l'émotion de se venger. " V13 est le nom du procès historique des attentats du 13 novembre 2015, qui ont tué 130 personnes et blessé des centaines d'autres à Saint-Denis et à Paris. Une charge émotionnelle hors normes. Une salle d'audience construite pour l'occasion, un budget de 10 millions d'euros.1 800 parties civiles, 1 300 blessés, 330 avocats, 20 accusés dont le plus connu, Salah Abdeslam. Azzeddine Ahmed-Chaouch, journaliste à Quotidien et Valentin Pasquier, dessinateur judiciaire pour France Inter, Le Parisien et Ouest France, ont couvert les 9 mois de ce procès. Ils ont assisté aux audiences, rencontré les victimes, les avocats, les parties civiles, les policiers et rapporté les propos de Salah Abdeslam. Ils ont tout vu, tout entendu, tout noté. De la salle d'audience aux couloirs du Palais, en passant par les lieux privés réservés aux témoins. Ce qu'il faut savoir sur la plus grande audience criminelle jamais organisée en France est dans cet ouvrage. Au nom de notre histoire, de notre démocratie, de notre combat contre le terrorisme.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
Année de parution :
2022
Charlotte Piret, journaliste, se demande comment aborder le procès des attentats du 13 novembre 2015, quand elle a l'idée de proposer à Xavier Nogueras, avocat de la défense, et à Arthur Dénouveaux, partie civile, survivant du Bataclan, de se joindre à elle. Le projet: échanger leurs impressions à vif tout au long de l'audience via des notes vocales. S'ensuivent alors presque dix mois d'échanges chargés d'émotions et de questionnements qui en disent beaucoup sur l'importance de ce procès, pour chacun d'entre eux évidemment, pour ce qu'ils sont et font, et, ­au-delà, pour l'ensemble de la société. C'est parce qu'ils vont bientôt constater que cet étrange journal de bord permet d'éclairer sous un jour nouveau les enjeux politiques et humains de ce moment d'histoire contemporaine que la décision est prise de le partager publiquement. C'est ce livre que vous avez aujourd'hui entre les mains. Arthur Dénouveaux est survivant du Bataclan et président de l'association de victimes du 13 novembre 2015 Life for Paris. Xavier Nogueras est avocat au barreau de Paris. Charlotte Piret est journaliste à France Inter.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver
ImpriméDisponible
Année de parution :
2024
Fracassée comme tant d'autres après le massacre perpétré par le Hamas le 7 octobre 2023 en Israël, l'auteur voit son monde s'effondrer. Elle dont la mission consiste à porter la souffrance des autres sur ses épaules et à la soulager par ses mots, se trouve soudain en état de sidération, impuissante et aphasique.Dans la fièvre, elle écrit alors ce petit traité de survie, comme une tranche d'auto-analyse qui la fait revenir sur ses fondements existentiels.Le texte est composé de dix conversations réelles ou imaginaires  : conversation avec ma douleur, conversation avec mes grands-parents, conversation avec la paranoïa juive, conversation avec Claude François, conversation avec les antiracistes, conversation avec Rose, conversation avec mes enfants, conversation avec ceux qui me font du bien, conversation avec Israël, conversation avec le Messie.Ce livre entre en résonnance avec Vivre avec nos morts (puisqu'il s'agit ici, a contrario,   de l'angoisse de mourir avec les vivants), avec Réflexions sur la question antisémite (puisque c'est le pendant personnel, intime et douloureux à l'essai plus intellectuel et réflexif) et à Il n'y a pas de Ajar (puisque la musique, le ton, la manière des dialogues oraux font écho à ceux du monologue théâtral).Comme toujours avec l'auteur, le va et vient entre l'intime et l'universel, entre l'exégèse des textes sacrés et l'analyse de la société actuelle, entre la gravité du propos et l'humour comme politesse du désespoir, parvient à transformer le déchirement en réparation, l'inconfort en force, l'inquiétude en réassurance et le doute en savoir.
Disponible
Veuillez vous connecter pour réserver