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Cette tragédie de 1669 raconte l'histoire d'un monstre "naissant" : Néron, vertueux souverain, va devenir par le biais des passions politiques et amoureuses, exécrable, cruel, tyrannique et infiniment désirant... Une mise en scène élégante et intelligente, une interprétation magnifique des sept comédiens...

Parce que le matin de ses noces son cheval mange un chapeau de paille, celui de Madame Anaïs Beauperthuis en plein rendez-vous avec son amant militaire, Fadinard va devoir se lancer à la recherche d'un couvre-chef de substitution, rigoureusement identique au premier, car le mari de la dame qui s'est barricadée chez lui est violent et jaloux. Pour ne pas éveiller les soupçons de son futur beau-père, qui arrive avec toute la noce, il entraîne cette dernière dans sa quête folle, qui le mène chez une modiste, laquelle l'envoie chez une baronne, qui l'envoie... chez le mari de la dame volage. Une suite de quiproquos lui fait achever sa course devant chez lui, où la police finit par embarquer tout ce beau monde pour tapage nocturne...

A l'image de son décor circulaire, Ma chambre froide est un spectacle à multiples entrées. L'intrigue se concentre sur le destin d'une jeune femme énigmatique, Estelle qui parmi ses collègues employés de supermarché, paraît habitée par un rêve informulé. Lorsque leur patron malade leur lègue ses entreprises, Estelle y voit la possibilité de vivre ce rêve. Tous devront alors s'engager à rendre hommage à ce patron qu'ils détestent en créant chaque année une pièce de théâtre à sa mémoire.

Andréas vit sans adresse et habite chaque jour sous un autre pont. Un homme le croise un soir sur les quais de la Seine et décide de l'aider en lui offrant une somme d'argent. Andréas refuse d'abord puis accepte la somme, mais en homme d'honneur, il promet de rembourser cette dette. Y parviendra-t-il ? C'est le mystère et l'énigme qui nous tiennent jusqu'au bout de la pièce.