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Année de parution :
2010
Après plus de trente ans de bons et loyaux services au sein de la grande muette, dont quatorze au GIGN, le chef d'escadron Cerdan remet les pendules à l'heure sur les circonstances du suicide de François de Grossouvre dont il était le garde du corps, et livre au lecteur, autrement dit au citoyen-contribuable, faits et chiffres édifiants à l'aube de la fusion police-gendarmerie ! De sa passion, le chef d'escadron Daniel Cerdan a fait son métier. Tout a commencé aux funérailles du général de Gaulle. Il n'entrevoyait pas d'autre carrière que celle qui lui permettrait de servir son pays. « J'étais persuadé que quelque part, quelqu'un avait besoin de moi ! » Chevalier des temps modernes au mental d'acier et à la forme physique digne des plus grands champions, Daniel Cerdan peut s'enorgueillir d'un parcours palpitant et de la satisfaction du devoir accompli. En relatant le quotidien des membres du GIGN, unité d'élite par excellence, l'auteur partage ici ses souvenirs d'entraînements parfois éprouvants, d'opérations souvent périlleuses comme la neutralisation d'Eloi Machoro en Nouvelle-Calédonie ou de prises d'otages mémorables ; il souhaite surtout révéler ce qui s'est réellement passé le jour où il a constaté le décès de son autorité, François de Grossouvre, dans son bureau de l'Élysée. Si il envisage une retraite riche de promesses et d'aventures, Daniel Cerdan ne part pas sans se retourner ! Au contraire. Celui que ses copains ont surnommé Marcel ; comment y échapper ? Il ne dissimule ni sa colère ni son inquiétude. C'est pour ceux qui restent qu'il se bat et sort de son silence. Climat d'injustice et de mépris, comparatifs de salaires ahurissants... Un « deux poids deux mesures » qu'il juge inacceptable à l'annonce de la fusion police-gendarmerie qui fait couler beaucoup d'encre et provoque des grincements de dents. Dans ce témoignage alerte et informatif, truffé d'anecdotes, se mêlent émotion et action. Non seulement Daniel Cerdan nous ouvre les coulisses de sa mémoire mais il nous invite à le suivre sous les dorures de la République, là où se sont joués quelques pans de l'Histoire.
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Année de parution :
2010
"Zeina est née dans une banlieue française. Elle a été élevée au sein d'une famille musulmane traditionnelle. Elle ne voulait pas porter le voile. Pourtant, elle a dissimulé ses cheveux, son corps, puis son visage, jusqu'à ses yeux. Elle a revêtu le hijab, puis le jilbab et enfin le niqab. Son mari l'y a contrainte, à force de reproches, de blâmes, puis de coups. Sa propre famille l'y a encouragée : pour tous, elle était devenue "la fierté de l'islam". Zeina, elle, se sentait devenir une ombre, " un spectre" : peu à peu, elle a abdiqué sa volonté, sa dignité, son identité. Pendant des années, elle s'est soumise. Sous son niqab, elle avait peur de se révolter. Hantise des coups, angoisse du déshonneur, terreur de l'Enfer dont la menaçaient les "soeurs" de la mosquée depuis qu'elle était enfant. Jusqu'au jour où, aidée par une voisine, elle a trouvé le courage de s'enfuir. Elle a alors connu la rue, la misère, la traque impitoyable des siens. Elle a réussi, seule, à s'évader de la prison qui s'était refermée sur elle : aujourd'hui, Zeina a retrouvé un travail, sa liberté et elle se reconstruit. En butte au mépris des siens, au rejet, à la haine, aux menaces physiques, elle a décidé de raconter l'enfer qu'elle a vécu et son combat pour en sortir. L'histoire de Zeina s'est déroulée en France, au XXIe siècle, à quelques centaines de mètres chez nous."
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