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Année de parution :
2010
Dix ans après la mort de Fernand Doukhan, son oncle, l'auteure trouve sur Internet des informations le concernant. Elle commence alors une enquête sur sa vie. Né en 1913 en Algérie, d'une famille juive berbère, premier enfant de sa famille à être né français, il est enrôlé dans l'armée française lors de la Seconde Guerre mondiale et a des prises de position pendant la guerre d'Algérie.
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Année de parution :
2010
L'existence quotidienne des hommes et des femmes plongés dans la guerre, qu'ils soient combattants ou civils, français ou algériens. Chaque double page évoque un aspect particulier de cette guerre, avec des images d'archives, des communiqués, des journaux, etc., ainsi que des illustrations.
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Année de parution :
2010
L’un des événements les plus marquants de la guerre d’Algérie est celui du 20 août 1955. Ce jour-là, à midi très exactement, des soldats de l’Armée de libération nationale, branche armée du FLN, appuyés par la population, attaquent simultanément les agglomérations situées dans le quadrilatère délimité par Collo, Philippeville, Guelma, Constantine. Des centaines d’hommes, parfois accompagnés de femmes et d’enfants, investissent les villes. Certains brandissent des couteaux, des serpes, des haches, plus souvent des gourdins et des bâtons. Encadrés par les militaires de l’ALN, ils assaillent les centres du pouvoir colonial, les gendarmeries et les casernes, les mairies, les dépôts et les silos. Au cours des affrontements, 26 militaires français et 92 civils dont 71 Européens sont tués. La situation est rétablie le jour même. Les représailles accompagnent la répression, elle se poursuivent durant plusieurs semaines et se soldent par la mort de milliers de civils algériens. Faute d’archives aisément accessibles, les historiens n’avaient pas osé encore s’attaquer à cet événement, laissant à certains la possibilité d’imposer un seul récit, celui d’un massacre généralisé qui aurait été perpétué par les Algériens. Au terme d’un travail de fourmi, croisant diverses archives extrêmement importantes et incontestables avec le témoignage de survivants des deux bords au massacre d’El-Alia, Claire Mauss-Copeaux rétablit la vérité : contrairement à ce que l’on dit depuis 45 ans, à Philippeville les massacres ne furent pas le fait des Algériens (deux Européens « seulement » furent tués), mais des soldats français, lors des opérations de représailles. En revanche, Claire Mauss-Copeaux établit qu’il y eut bien un massacre à El-Alia. Un livre-choc sur un tragique exemple de désinformation et de rumeur.
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