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Cet ouvrage explicite le sens de cette notion depuis les travaux de Durkheim, présente une typologie des liens sociaux et de leurs possibles fragilités et propose une synthèse des nouveaux espaces pour appréhender les formes contemporaines de la solidarité dans nos sociétés.

Un conte indien extrait de Marouf le cordonnier (Paroles de conteurs, 1996). Un petit mendiant de 5 ans se montre plus malin que trois voleurs cupides. Raconté avec verve par Catherine Zarcate, ce conte tient en haleine tout en multipliant les digressions et les détails inattendus.

Deux enfants et la mascotte Konétu livrent des informations sur les règles de vie en groupe grâce à un jeu de questions-réponses. Des thèmes sont présentés par doubles pages et la mascotte répond aux différentes questions posées : respecter les différences, apprendre la politesse, savoir écouter. Un poster final donne des renseignements supplémentaires sur le sujet.

Faire reculer la mort, voire même dépasser les limites assignées à l'existence humaine, tels sont les objectifs poursuivis sans relâche par les autorités scientifiques et politiques, au point que la santé est devenue l'une des préoccupations majeures de nos sociétés. Repoussée dans la sphère intime, la mort se désocialise

Ce recueil de contes merveilleux de l'Inde contient aussi : Histoire du hiraman, Le garçon au front marqué du sceau de la lune, Le collier de la Reine ; Le tisserand devenu roi ; Le roi vengeur ; Les branches de l'épineux Natiya se dessèchent.

Une chien, une vache, un âne et un coq, chassés par leur maître, deviennent compagnons d'infortune et décident de s'installer dans la forêt. Ils trouvent une hutte occupée par une bande de brigands. Piètres musiciens, ils arrivent en s'unissant à faire de leurs faiblesses une force : par le plus furieux des concerts, ils font fuir les voleurs. Une version indienne des Musiciens de Brême.

Avarice, colère, envie, gourmandise, luxure, orgueil, paresse ! S'il est un lieu où les sept péchés capitaux trouvent toute leur place, c'est bien dans le monde de l'entreprise. Un monde dont la dynamique repose en très grande partie sur l'intelligence comportementale de ses acteurs. Car au quotidien, les hommes restent des hommes, avec leurs qualités et leurs médiocrités, leur besoin de repères et de convivialité. Et la vie au travail demeure, qu'on le veuille ou non, le cadre principal de l'épanouissement personnel, celui aussi où s'exerce le plus intensément l'art de la critique, de la remise en cause et de la dérision. Dans un esprit ludique, ce petit ouvrage conjugue références, histoires vécues et testes pratiques, pour rappeler que le respect des autres comme de soi-même est le meilleur gage d'efficacité et de développement dans le monde du travail.