Un poème en douze strophes déclinant les jardins de Gerberoy, peints par Le Sidaner au début du XXe siècle. Il entraîne le lecteur dans une promenade à travers douze bosquets photographiés et peints. Le Sidaner, dès l'acquisition de sa maison, s'attacha à conserver et embellir le site de Gerberoy. Il recomposait le paysage avant de le fixer sur ses toiles.
Recense les quatre cents jardins de la capitale accessibles au grand public. Classés par arrondissement, pour un repérage facilité, les différents jardins font chacun l'objet d'un développement spécifique complété par un encadré donnant tous les renseignements utiles : localisation, accès par les transports en commun, commodités, activités ...