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Année de parution :
2023
Ces quinze dernières années, plus de 2 000 femmes ont été tuées par leur (ex-)conjoint en France. En 2020, 35 % des victimes de féminicide conjugal avaient subi des violences antérieures. Une défunte sur cinq avait porté plainte. Entre 2015 et 2016, 82 % des plaintes et mains courantes déposées par des victimes de féminicide ont été classées sans suite. (Source : ministère de la Justice.) Laurène Daycard a été l'une des toutes premières journalistes à écrire sur les féminicides conjugaux pour les faire sortir des rubriques "faits-divers" et les réinscrire dans le récit social et politique des violences sexistes. Dans cette enquête à la première personne, l'autrice nous emmène à la rencontre de survivantes et de familles endeuillées, mais aussi auprès des auteurs de ces actes. En observant et en échangeant avec ces derniers, Laurène Daycard tente d'aller à l'origine des féminicides et propose une réflexion personnelle sur la notion de réparation. Laurène Daycard est membre du collectif de journalistes indépendantes Les Journalopes. Elle collabore notamment avec Mediapart, L'Obs et Libération.
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2023
125 personnalités racontent 125 victimes de féminicidesSalomé avait 21 ans, était étudiante en sociologie et anthropologie, et voulait devenir institutrice.Marie-Alice, 53 ans, était chercheuse en biotechnologie et féministe convaincue.Myriam, 37 ans, était championne d'équitation, diplômée de Saint-Cyr et mère d'un bébé de 14 mois.Gülcin, 34 ans, mère de quatre enfants, avait déposé plainte et écrit au procureur de la République.Et pourtant…  En France, une femme est assassinée par son compagnon ou ex-compagnon tous les deux jours et demi, soit en moyenne 125 femmes par an.Qui sont-elles ? Quelle est leur histoire  ? Comment en sont-elles arrivées là  ?Pour une fois, les victimes ont un visage. 125 personnalités de la littérature, des mondes politiques et artistiques, prennent la plume pour raconter ces vies détruites et ce que les chiffres ne disent pas.À travers l'analyse de son parcours de femme touchée par la violence et ses entretiens avec des policiers, psychiatres, avocats, associations, philosophes…, Sarah Barukh cherche à comprendre l'emprise, les schémas communs aux féminicides et le rôle de la société dans ces assassinats.  Un livre hommage pour se souvenir et faire réfléchir à notre implication à tous, collectivement. 125 voix et des milliers se lèvent pour que ces meurtres cessent.  À propos de l'autriceSarah Barukh  a été salariée, entrepreneure, réalisatrice et romancière. Elle a mené une enquête de deux ans pour identifier et retrouver les 125 familles qui témoignent dans ce texte. 
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2023
Ce premier livre français sur le contrôle coercitif présente le concept qui pourrait révolutionner la vision de la violence conjugale et sa traduction juridique en France. Le contrôle coercitif, concept central d'une approche globale de la violence conjugale et intrafamiliale comme atteinte aux droits humains, désigne un répertoire de comportements oppressifs basés sur le privilège donné par le sexe. Il révèle la violence conjugale comme forme de la violence sociale, loin de sa représentation courante comme forme houleuse de conflit conjugal/parental. Comment les agresseurs familiaux attaquent-ils, avant et après la séparation, les droits, la liberté, la santé des victimes ? Pourquoi les effets du contrôle coercitif sont-ils durablement dévastateurs  ? Comment appréhender ce précurseur majeur de la quasi-totalité des féminicides qui est aussi le contexte prévalent des violences envers les enfants  ?Ce livre a un triple objectif  :1. fournir les connaissances académiquement rigoureuses et socialement pertinentes pour décrypter ces comportements avant que les agresseurs n'utilisent la coercition et la violence pour contrôler les personnes victimes  ;2. permettre la création d'une culture commune favorable au dialogue interdisciplinaire, interprofessionnel et sociétal pour mieux assurer la sécurité des personnes victimes et réduire l'impunité des agresseurs  ;3. expliquer aux professionnels  les éléments-clés de cette approche fondée par des données probantes issues de la recherche scientifique face aux difficultés de la justice pénale, civile, et de la protection de l'enfance.
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2023
« “Et vous, quelle violence trouvez-vous juste ?”, c'est ce que j'aurais  aimé leur dire. Mais là encore je n'ai pas trouvé le courage. Ce n'est  pas constant, le courage. »  Au début, elles étaient quatre. Il y avait cette annonce d'un hameau à vendre dans le Tarn, loin de tout. Alors un projet est né, le rêve d'un lieu construit par et pour les femmes. Elles l'ont fait. Claude, Harriet, Élie, Anna. Jeunes, vieilles, toutes forgées par les tentatives d'autres avant elles, guerrières jusque-là tenues au silence.Mais voilà : aujourd'hui, Claude doit répondre du meurtre d'un homme. Deux gendarmes lui font face, attendant que cette mère de famille au prénom épicène reprenne tout depuis le début. De l'utopie à la riposte. Ce jour où Claude et ses sœurs ont pris les armes.  Que sait-on de la violence des femmes ? De l'arrière-pays toulousain aux terres des amazones de l'Oregon, Femme portant un fusil est le récit d'une quête pour se réinventer, une ode à l'amitié et à la liberté.À propos de l'autriceSophie Pointurier est enseignante-chercheuse et directrice de la section Interprétation en langue des signes à l'ESIT (École supérieure d'interprètes et de traducteurs) – université Sorbonne-Nouvelle. Elle est l'autrice d'un premier roman remarqué : La Femme périphérique (HarperCollins « Traversée », 2022 ; HarperCollins Poche, 2023).  À propos de La Femme périphérique«  Une réussite.  » Claire Julliard, L'Obs«  Parfaitement construit, très drôle et étayé de références historiques, ce premier roman se dévore.  » Adélaïde de Clermont-Tonnerre, Point de vueMona Chollet  : «  Un délice !  » et le cite dans son livre D'images et d'eau fraîche (Flammarion) pour saluer «  l'ironie ravageuse  » de son «  beau roman  ».
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