Vacances de printemps : retrouvez les horaires d'ouverture et de fermeture de vos médiathèques.
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Kriminal s'échappe derechef de prison, il décide de prendre la direction d'une maison de retraite pour dérober les primes d'assurance-vie de ses résidents. Il découvrira des parchemins cachés dans une statuette, qui le mèneront à des tableaux de grandes valeurs. L’opiniâtre inspecteur Milton tentera d’arrêter une nouvelle fois le génie du crime.
Godard veut réaliser un film expérimental sur le lien entre la création, incarnée par les Stones en studio, composant le génial "Sympathy for the devil", et la destruction, à travers la mise en scène de la contestation politique et de la violence. Ce qui l'intéresse, c'est l'acte de création lui-même. Aussi prendra-t-il très mal le remontage final du film qui, entre autres changements, remplace la musique enregistrée en répétition par le titre de l'album. L'affaire se finira par une droite du cinéaste dans la figure du producteur et par la scission du film en Sympathy for the devil (version tripatouillée) et en One + one (version godardienne).
Puzzle et agit-prop
'"Au final, un film puzzle et agit-prop à l'écriture cinématographique radicale (…). Une sorte de songe politico-psychédélique où l'on croise, outre les Rolling Stones et Marianne Faithfull, des militants noirs membres des Black Panthers, un libraire fasciste pornographe lisant Mein Kampf ou encore l'égérie Anne Wiazemsky…" (Henri Jimenez, La république des lettres)
Barton et Cutterfeet, deux cambrioleurs londoniens, enragent. Tous leurs mauvais coups échouent parce qu'un insaisissable «collègue» les devance à chaque fois. Non content de leur couper l'herbe sous le pied, l'importun les nargue en laissant sur le lieu de ses forfaits des cartes de visite ironiques signées «L'ange». Barton décide de voler une bague pour l'offrir à sa fiancée, Marina. Mais une fois encore, «L'ange» empoche le butin avant lui. Barton et Cutterfeet parviennent toutefois à le suivre jusqu'à sa cachette...
Un an après la révolution cubaine, Sergio, un intellectuel bourgeois aisé, décide de rester vivre dans son pays malgré l’exil de sa famille vers les États-Unis. Les bouleversements sociopolitiques viennent changer l’environnement et Sergio se trouve tiraillé entre un passé qu’il refuse et une situation nouvelle à laquelle il n’adhère pas. Il cherche alors à comprendre le contexte dans lequel son pays se trouve, ce qui lui est arrivé, passant en revue sa propre vie et ses relations avec ses maîtresses, Elena et Hanna. L'un des chefs d’œuvres du cinéma cubain d'une audace incroyable, à la croisée de multiples influences, de la Nouvelle Vague française au Free Cinema.