Vacances de printemps : retrouvez les horaires d'ouverture et de fermeture de vos médiathèques.
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À l'occasion d'un match de football France-Italie de la squadra azzura, un groupe d'italiens débarque à Paris. Leurs chemins se séparent à la descente du train, et tous vont vivre des moments surprenants dans la capital. Disponible en version restaurée.
Un portrait de la ville de Nice sous la forme d'une balade, portant un regard satirique sur le monde fortuné des estivants et les inégalités sociales. Première fulgurance de Jean Vigo, en collaboration avec Boris Kaufman, le frère de Dziga Vertov. Première pierre d'une filmographie aussi brève que novatrice et intense.
À New York, un pianiste ne parvient pas à trouver de concerts pour lui et son groupe. Sa situation financière est si difficile que deux hommes commissionnés par un huissier viennent confisquer son piano. Il réussit finalement à le conserver grâce à l'intervention de sa femme , une danseuse connaissant un certain succès, qui propose aux deux hommes de l'argent, qu'ils refusent, puis une bouteille de gin, denrée rare en période de prohibition, qu'ils acceptent. En échange, ils partent sans le piano et promettent de dire à l'huissier que personne n'était présent lors de leur passage.
La danseuse annonce ensuite au pianiste qu'elle a obtenu un emploi au célèbre Cotton Club et qu'elle peut faire venir le groupe de son compagnon, à condition qu'elle reste au centre du spectacle afin d'honorer le contrat passé avec le patron de l'établissement.
Visant à lutter contre toute synchronisation entre l’image et le son, ce film présente une succession d’images banales et de found footage, auxquelles viennent s’ajouter des poèmes lettristes, issus d’un courant littéraire privilégiant la valeur poétique et sonore des mots à leur signification.
Note : scandale au Festival de Cannes de 1951, ce film reçut le prix des Spectateurs d’Avant-Garde.