Vacances de printemps : retrouvez les horaires d'ouverture et de fermeture de vos médiathèques.
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Après une longue cure de désintoxication, Frankie Machine revient à Chicago, où il devient croupier dans une salle de jeu clandestine. Formidable joueur de cartes, Frankie a malheureusement mis le doigt dans l'engrenage infernal de la drogue. Harcelé par sa femme Zosh, paralysée des deux jambes depuis un accident qu'a provoqué Frankie sous l'emprise de stupéfiants, il ne trouve la paix intérieure qu'en abusant des paradis artificiels. Il est pourtant bouleversé lorsqu'il rencontre la jeune Molly, sa voisine, une entraîneuse qui lui redonne peu à peu le goût de vivre... On doit le générique du film à Saul Bass, et la musique originale à Elmer Bernstein. Pour la première fois au cinéma, le jazz est utilisé pour l'intégralité de la bande originale.
Court métrage expérimental explorant les possibilités de l'animation par intermittence et des images spasmodiques. Norman McLaren joue avec les lois de la persistance rétinienne dans une œuvre de pure imagination faisant penser tantôt à un feu d'artifice très nourri, puis ensuite à un dessin lent à se former et dont on ne perçoit que des touches rapides et éphémères.
Récompensé par la Palme d’or du court-métrage au Festival de Cannes 1955, ce film est accompagné par les improvisations jazz de Maurice Blackburn.
Manhatta documente l'allure de Manhattan au début du XXe siècle. Ayant la ville pour sujet, le film se compose de 65 séquences dans une structure non narrative, débutant par un ferry approchant Manhattan et se terminant par un coucher de soleil sur un gratte-ciel. L'objectif du film est d'explorer la relation entre la photographie et le cinéma ; le mouvement de la caméra est maintenue au minimum, comme un mouvement dans chacune des séquences. Chaque cadre fournit une vue de la ville qui a été soigneusement arrangé dans des compositions abstraites.
Le film tente de montrer l'amour du cinéaste pour la ville de New York. Manhatta était une collaboration entre le peintre Charles Sheeler et le photographe Paul Strand. Les intertitres sont extraits des écrits de Walt Whitman.
Edna, une riche bourgeoise, descend d’un train et s’aperçoit que son ivrogne de mari n’est pas là pour l’accueillir. Au même moment, Charlot, un vagabond rêveur ressemblant trait pour trait au mari se trouve quelques wagons plus loin. Edna et Charlot se retrouvent par hasard sur un terrain de golf et la jeune femme tombe sous le charme de celui qu’elle prend pour son mari, soudain sobre et gentleman. Le soir, tous trois se retrouvent à une soirée déguisée où les invités prennent Charlot pour l’époux d’Edna tandis que le véritable conjoint a la tête coincée dans un masque de fer.
À partir de 6 ans
Retrouvez dans 6 courts-métrages, le comique, le sens du délire, les gags absurdes et audacieux de l'un des plus grands artistes du burlesque, Buster Keaton.
Dès 6 ans
Six courts-métrages réalisés par Henri Diamant-Berger entre 1917 et 1923 avec Maurice Chevalier, dont "Une soirée mondaine", son premier rôle au cinéma. Accompagné de "Par habitude" (26'), Le Mauvais garçon (27'), L'Affaire de la rue Lourcine (23'), Jim Bougne boxeur (34'), Gonzague (47').
"Même un paysage tranquille ; même une prairie avec des vols de corbeaux, des moissons et des feux d'herbe ; même une route où passent des voitures, des paysans, des couples ; même un village pour vacances, avec une foire et un clocher, peuvent conduire tout simplement à un camp de concentration. Le Struthof, Oranienburg, Auschwitz, Neuengamme, Belsen, Ravensbrück, Dachau, Mauthausen furent des noms comme les autres sur des cartes et des guides..." C'est sur ces paroles que débute Nuit et brouillard. Le texte dit en voix off a été écrit il y a cinquante ans par Jean Cayrol, écrivain et ancien déporté, à qui Alain Resnais, lui-même sollicité par le producteur Anatole Dauman, demanda sa collaboration pour réaliser un film sur les camps de concentration nazis.
Chef-d'oeuvre à tous égards, Nuit et brouillard a été vu et revu par des générations de spectateurs à qui, savants ou ignorants, il a ouvert les yeux sur l'univers concentrationnaire. Car il reste, dans sa brièveté et sa sobriété extrêmes, l'un des films les plus justes et les plus implacables jamais réalisés sur les camps. Jean Cayrol écrivait aussi dans les Lettres françaises : "D'une expérience insaisissable, intransmissible, déraisonnable, nous avons choisi les images majeures qui permettraient, dans la mesure des moyens d'un court métrage, de faire participer à cette énorme tuerie les vivants d'aujourd'hui, ceux aussi qui n'ont jamais essayé (ou n'ont pas eu l'âge) de comprendre jusqu'où pouvaient aller certains hommes qui ont la haine de la liberté et le mépris d'autrui."
Après une longue cure de désintoxication, Frankie Machine revient à Chicago, où il devient croupier dans une salle de jeu clandestine. Formidable joueur de cartes, Frankie a malheureusement mis le doigt dans l'engrenage infernal de la drogue. Harcelé par sa femme Zosh, paralysée des deux jambes depuis un accident qu'a provoqué Frankie sous l'emprise de stupéfiants, il ne trouve la paix intérieure qu'en abusant des paradis artificiels. Il est pourtant bouleversé lorsqu'il rencontre la jeune Molly, sa voisine, une entraîneuse qui lui redonne peu à peu le goût de vivre... On doit le générique du film à Saul Bass, et la musique originale à Elmer Bernstein. Pour la première fois au cinéma, le jazz est utilisé pour l'intégralité de la bande originale.