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"Papa a tué maman." Rouen, avril 1983. Ophélie a – presque – tout vu, du haut de ses sept ans. Mais son père n'est pas le seul coupable. Un autre homme aurait pu sauver sa mère. Dès lors, Ophélie n'aura plus qu'un but : retrouver les témoins, rassembler les pièces du puzzle qui la mèneront jusqu'à la vérité. Et, patiemment, accomplir sa vengeance... Enfant placée en foyer, collégienne rebelle, étudiante évoluant sous une fausse identité, chaque étape de la vie d'Ophélie sera marquée par sa quête obsessionnelle et bouleversante.
Dans une intrigue qui mêle roman d'amour et d'amitiés, récit initiatique et manipulations, Michel Bussi dessine aussi une fresque sociale inédite des années 1990 avec ce nouveau thriller.
Ce livre de Michel Bussi, figure de proue du thriller français, fait partie des nouveautés les plus attendues de 2024. Histoire d'une vengeance implacable qui est plus qu'un roman policier ou un thriller : ce nouveau roman de Michel Bussi est un grand roman.
N'hésitez plus, lisez
Mon cœur a déménagé.
Mon coeur a déménagé, un roman policier de Michel Bussi aux éditions Les Presses de la Cité.
2010, Rio de Janeiro. Lorsqu’une tante lui offre un voile de dentelle, la jeune Alice ne sait qu’en faire. Pour cette militante féministe, la relique familiale incarne le pire de la domination patriarcale. Elle ignore que cette véritable œuvre d’art raconte une histoire de violence et de lutte pour la liberté survenue cent ans plus tôt.
1918, dans le Nordeste. Eugênia, mariée contre son gré, invente un code – qu’elle dissimule dans les points de sa dentelle – pour communiquer avec sa meilleure amie. Et le message est clair : elle veut s’échapper…
Un siècle les sépare et, pourtant, les vies d’Alice et d’Eugênia sont unies par un fil invisible, une même volonté. Celle de choisir leur destin.
Traduit du portugais (Brésil) par Marine Duval
« Une intrigue puissante sur les femmes qui résistent par leur métier et leur mémoire. » Folha de S.Paulo
Angélica Lopes est écrivaine, journaliste, scénariste de télévision et de cinéma. Auteure primée en littérature jeunesse, elle publie avec La Malédiction des Flores son premier roman pour adultes.
Le nouveau roman très attendu de Karine Giebel.
Monter au front sans arme ni gilet pare-balles. Soigner les autres au péril de sa vie. Se sentir utile en ce monde.
De Sarajevo à Gaza, en passant par Grozny, la Colombie ou l'Afghanistan, Grégory se rend au chevet des sacrifiés sous l'égide de la Croix-Rouge internationale. Chaque victime sauvée est une victoire sur la folie des hommes. Chaque vie épargnée donne un sens à la sienne. Peu importe les cicatrices et les plaies invisibles que lui laisse chaque conflit.
Poussé par l'adrénaline, par un courage hors du commun et par l'envie de sauver ceux que le monde oublie, Grégory prend de plus en plus de risques.
Jusqu'au risque de trop. Jusqu'au drame...
Ne pas flancher, ne pas s'effondrer. Ne pas perdre la raison.
Choisir.
Sauver cette jeune fille, condamner cet adolescent. Soigner ce quadragénaire, laisser mourir cet enfant.
Choisir.
Endurer les suppliques d'une mère, d'un père.
Certains tombent à genoux devant lui, comme s'il était Dieu.
Choisir.
Tenter de sauver cette femme. Sacrifier sa petite fille qui n'a que peu de chances de survivre à ses blessures.
Choisir.
Et chaque fois, mourir un peu.
Karine Giebel, indétrônable créatrice d'émotions fortes et authentiques, donne vie dans ce treizième roman à Grégory, héros des temps modernes. Tous deux nous forcent à garder les yeux grands ouverts sur que ce l'homme est capable de faire subir à ses semblables et interrogent l'humain qui est en nous, dans ce texte magistral qui embrasse la violence du monde.
Karine Giebel est née en 1971. Elle est notamment l'auteure de:
Meurtres pour rédemption (2006),
Les Morsures de l'ombre (2007), prix Intramuros du festival de Cognac et prix SNCF du polar,
Jusqu'à ce que la mort nous unisse (2009), prix des Lecteurs à Cognac et adapté sur France Télévisions,
Juste une ombre (2012), prix Polar francophone du festival de Cognac et Prix marseillais du polar,
Purgatoire des innocents (2013), prix des lecteurs du Var,
Satan était un ange (2014) et
De force (2016).
Toutes blessent, la dernière tue (2018) a été récompensé par le prix de l'Évêché, le prix Plume d'or du thriller francophone, le prix Évasion et le Book d'or thriller du prix Bookenstock. Son dernier roman,
Glen Affric (2021), s'inscrit lui aussi dans la liste de ses succès. Les livres de Karine Giebel se sont vendus à plus de deux millions d'exemplaires à ce jour et sont traduits dans une douzaine de langues.
Ils peuvent tuer toutes les hirondelles, le printemps viendra quand même.
(Proverbe afghan)
Afghanistan, juillet 2021. Kaboul s'habille pour la guerre. Les troupes américaines ont déserté et les talibans sont aux portes de la ville. Marwa, chirurgienne et mère de trois adolescents, le sait :
les autrefois sont des lendemains.
Ses enfants connaîtront ce qu'elle a vu, vingt ans auparavant. Comment les protéger ? Comment empêcher
ceux qui viennent de tout détruire ?
Les femmes revêtent leur burqa bleue, les commerçants repeignent leur devanture, la musique cesse de retentir.
La peur est une enclume. Pire que la mort.
Même si les causes perdues ne le sont jamais, Marwa peine à entrevoir une issue heureuse. Elle est face à un choix impossible : fuir ou rester. Mais fuir où ? Pour quelle vie ?
D'une écriture fulgurante et poétique, et à travers le regard de Marwa, héroïne du quotidien se battant contre la fatalité de son destin et de celui de toutes les femmes afghanes, Nour Malowé décrit ces jours interminables, du 4 juillet au 15 août 2021, qui scelleront pour longtemps le futur des Afghans.
Première sélection prix André Malraux 2024
Sélection finale prix littéraire de la Grande Mosquée 2024
Sélection Prix Femina 2024
Sélection Prix Femina des lycéens 2024
Sélection Prix Renaudot catégorie "essai" 2024
Sélection Prix des Deux Magots 2024
Sélection Prix Décembre 2024
Sélection Prix Castel 2024
Sélection Prix Geneviève Moll de la biographie 2024
« Le roman de Christophe Bigot, croyez-moi, va être l’un des événements de cette rentrée littéraire. » Jérôme Garcin – Le Nouvel Obs
« Christophe Bigot s’est emparé de cette histoire avec une délicatesse et une fougue qui font de son livre un bijou. » Claude Arnaud – Le Point
« La "romance" se referme, on n'a qu'une hâte, la relire. » L’Express – Marianne Payot
« Christophe Bigot décrit avec grâce et loin de tout cliché [...] les émois d'une écrivaine qu'il connait à merveille. » Fabienne Pascaud – Télérama
« Un récit passionnant et terrible » Jean-Claude Perrier – Livres Hebdo
Le roman-vrai de la passion entre Marguerite Yourcenar, première femme à entrer à l’Académie française, et Jerry Wilson, jeune photographe de quarante-six ans son cadet. Captivant, subversif et follement romanesque.
Au tournant des années 1980, tous les yeux sont rivés sur Marguerite Yourcenar, l’autrice des Mémoires d’Hadrien. Pourtant, que sait-on d’elle ? Qu’elle vit aux États-Unis, qu’elle vient de perdre sa compagne, l’Américaine Grace Frick… À près de soixante-seize ans, Yourcenar semble ne plus rien avoir à attendre de la vie. La rencontre de Jerry Wilson va tout changer. Avec ce photographe américain homosexuel âgé de trente ans commence alors un roman d’amour aussi inattendu que destructeur – la dernière passion d’une grande dame des lettres et d’une grande amoureuse.
Né en 1976, Christophe Bigot enseigne la littérature en classes préparatoires. Son premier roman L'Archange et le procureur, paru chez Gallimard, a reçu cinq récompenses dont le Prix Mottart de l'Académie française. Son dernier roman, Le Château des trompe-l’œil, primé à La Nuit du Livre, est paru aux Éditions de La Martinière, et en poche chez Folio. L’œuvre de Marguerite Yourcenar a accompagné sa vie d’homme, d’écrivain et de professeur de Lettres depuis les tout premiers moments.