La mécanique d'une chasse aux sorcières Encore inconnu il y a peu en France, le terme de «woke» a récemment envahi les réseaux sociaux et les journaux. Né des luttes antiracistes des Afro-Américains dans les années 1950, il revêt alors un sens positif: celui d'être «éveillé», conscient politiquement. Mais il est aujourd'hui utilisé péjorativement pour attaquer toute forme d'engagement contre les discriminations. Pour ses détracteurs, la prétendue «idéologie woke» serait un nouvel avatar du «politiquement correct» ou de la «cancel culture» et infiltrerait les centres de pouvoir, des médias aux grandes entreprises, encourageant une déconstruction du monde par la bouche d'une génération radicalisée. Ainsi va la «panique woke». Et si cette panique cachait simplement une forme, classique mais violente, de réaction? C'est cette offensive réactionnaire et sa mécanique idéologique qui sont ici décortiquées par Alex Mahoudeau, mieux connu sur les réseaux sociaux à travers le pseudonyme de «Pandov Strochnis».
Anne de Bretagne, Catherine de Médicis, Marie-Thérèse d'Autriche, toutes ont été mères et ont marqué l'histoire. Le poids de la maternité a façonné le destin de ces femmes dont la monarchie attendait qu'elles fournissent au royaume des héritiers. Et pourtant, que sait-on vraiment des relations que ces reines entretiennent avec leurs enfants ? Quels bénéfices tirent-elles de la naissance d'un prince ? Comment s'exerce l'autorité maternelle sur une progéniture élevée loin de la cour ?Au fil de ces portraits croisés, Fanny Cosandey retrace les étapes qui transforment ces princesses de maisons souveraines en mères. Alliances, naissances, décès, éducation et vie de cour tissent la trame d'une histoire où les conditions d'existence des parents avec leurs enfants suivent l'évolution de la monarchie, jusqu'à dessiner le tableau d'une famille royale marquée par les impératifs étatiques.
Une approche philosophique de la colère, distincte de la haine, qui invite à la réutiliser de manière constructive pour affirmer son identité et le droit au respect. L'auteure examine les enjeux de sa répression chez les enfants, les femmes ou les travailleurs, rappelant le ferment libérateur de cette émotion.
Ce n'est pas le grand amour entre Bruno Bonnell et François Ruffin. Et pourtant, c'est parti pour un « road movie parlementaire » à la rencontre des femmes qui s'occupent de nos enfants, nos malades, nos personnes âgées. Ensemble, ils vont traverser confinement et couvre-feu, partager rires et larmes, colère et espoir. Ensemble, ils vont se bagarrer pour que ces travailleuses soient reconnues, dans leur statut et leurs revenus. Et, s'il le faut, ils réinventeront l'Assemblée.