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James apprend de la bouche d’un notaire qu’il est l’unique héritier d’une colossale fortune. L’héritage est cependant soumis à une condition impérative : il doit être marié avant son prochain anniversaire. Paniqué, le jeune homme a désormais en tout et pour tout un jour pour se marier. Il a bien une petite idée concernant l’heureuse élue, mais devant les raisons si peu flatteuses de sa demande en mariage, sa bien-aimée refuse de l’épouser…
Dans les montagnes suisses, Jean, un petit garçon, est en deuil. Il a perdu sa mère il y a quelques mois. Lorsque son père, le maire du village, se remarie avec une veuve sans l'en avertir, Jean développe une haine profonde pour cette nouvelle épouse et sa fille. Il commence à mener une vie infernale à sa demi-sœur.
Un vieil homme est arnaqué par sa domestique, qui lorgne sur sa fortune et veut s'en faire l'héritière. Le petit fils du vieillard décide de les emmener à la projection d'une adaptation du Tartuffe de Molière, dans l'espoir de démasquer l'employée cupide et hypocrite.
Un des tous premiers films fantastiques, ancêtre de "Jurassic Park", précurseur de "King-Kong" et autres "Godzilla".
Le Professeur Challenger affirme qu'une vie préhistorique subsiste quelque part au coeur du Brésil. Pour confirmer ses déclarations et mettre fin aux moqueries dont il fait l'objet, il organise une expédition.
Et en effet, des hommes-singes, des ptérodactyles, des brontosaures, sèment la terreur dans la région. Challenger tient enfin la preuve de l'existence des monstres préhistoriques.
Le film est mis en image par l'animateur de King Kong. Cette version restaurée comprend 30 minutes d'images invisibles depuis 1925 !
En janvier 1905, éclate la première révolution russe, suivie le 14 juin de la révolte des marins du "Potemkine". Ce qui au départ s'annonçait comme une petite protestation d'un équipage lassé et furieux de n'avoir à manger que de la viande pourrie a dégénéré en une véritable insurrection dans le port d'Odessa.
"Même un paysage tranquille ; même une prairie avec des vols de corbeaux, des moissons et des feux d'herbe ; même une route où passent des voitures, des paysans, des couples ; même un village pour vacances, avec une foire et un clocher, peuvent conduire tout simplement à un camp de concentration. Le Struthof, Oranienburg, Auschwitz, Neuengamme, Belsen, Ravensbrück, Dachau, Mauthausen furent des noms comme les autres sur des cartes et des guides..." C'est sur ces paroles que débute Nuit et brouillard. Le texte dit en voix off a été écrit il y a cinquante ans par Jean Cayrol, écrivain et ancien déporté, à qui Alain Resnais, lui-même sollicité par le producteur Anatole Dauman, demanda sa collaboration pour réaliser un film sur les camps de concentration nazis.
Chef-d'oeuvre à tous égards, Nuit et brouillard a été vu et revu par des générations de spectateurs à qui, savants ou ignorants, il a ouvert les yeux sur l'univers concentrationnaire. Car il reste, dans sa brièveté et sa sobriété extrêmes, l'un des films les plus justes et les plus implacables jamais réalisés sur les camps. Jean Cayrol écrivait aussi dans les Lettres françaises : "D'une expérience insaisissable, intransmissible, déraisonnable, nous avons choisi les images majeures qui permettraient, dans la mesure des moyens d'un court métrage, de faire participer à cette énorme tuerie les vivants d'aujourd'hui, ceux aussi qui n'ont jamais essayé (ou n'ont pas eu l'âge) de comprendre jusqu'où pouvaient aller certains hommes qui ont la haine de la liberté et le mépris d'autrui."
Après une longue cure de désintoxication, Frankie Machine revient à Chicago, où il devient croupier dans une salle de jeu clandestine. Formidable joueur de cartes, Frankie a malheureusement mis le doigt dans l'engrenage infernal de la drogue. Harcelé par sa femme Zosh, paralysée des deux jambes depuis un accident qu'a provoqué Frankie sous l'emprise de stupéfiants, il ne trouve la paix intérieure qu'en abusant des paradis artificiels. Il est pourtant bouleversé lorsqu'il rencontre la jeune Molly, sa voisine, une entraîneuse qui lui redonne peu à peu le goût de vivre... On doit le générique du film à Saul Bass, et la musique originale à Elmer Bernstein. Pour la première fois au cinéma, le jazz est utilisé pour l'intégralité de la bande originale.