Portail des médiathèques du réseau Paris-Saclay

Trois amis vivant dans la banlieue de Melun laissent s'écouler le temps, sans ambition, ni motivation... Jusqu'au jour où une petite annonce attire leur attention...

Un film collectif. 11 réalisateurs d'origine et de culture différents. 11 regards sur les événements tragiques survenus à New York le 11 septembre 2001. 11 points de vue engageant leur conscience individuelle...

Stan Laurel et Oliver Hardy ont beaucoup de mal à conserver un emploi et sont persuadés que c'est parce qu'ils n'ont pas fait suffisamment d'études. Ils réussissent à se faire embaucher comme domestiques dans une maison bourgeoise en se faisant passer pour un couple grâce à Laurel travesti en femme mais déclenchent vite une série de maladresses et de catastrophes qui les font mettre à la porte. Devenus balayeurs de rue, assis sur le perron d'une banque, ils contribuent accidentellement à l'arrestation d'un voleur. Le directeur reconnaissant en guise de récompense leur paie les meilleures études qui soient : Oxford…

Laurel et Hardy se retrouvent par hasard dans la même ville que leurs frères jumeaux, Alf et Bert, tous deux marins, qu'ils croyaient morts. C'est le début d'une série de quiproquos où femmes et petites amies s'intervertissent.

Un programme de 6 courts métrages documentaires jeune public, à partir de 8 ans. Quand je prends la parole, qu'est-ce que je révèle de moi-même ? La parole intime devient un moment de partage de ce que nous aspirons vivre, devenir ou accomplir. En questionnant la thématique du récit personnel, ce programme destiné au jeune public à partir de 8 ans explore les liens entre le cinéma et le récit de soi. Une invitation poétique à écouter les confidences d'un acrobate, d'une princesse, d'une magicienne, d'un cinéaste, et encore d'une habitante d'une maison-serpent. Les courts-métrages sont : "Discours de bienvenue de Norman McLaren" de Norman McLaren (1961, 7 min), "Princesses" de Valérie Mréjen (2013, 5 min), "L'effet de mes rides" de Claude Delafosse (2022, 12 min), "Ma maison, ce grand serpent" d'Audrey Espinasse & Sami Lorentz (2016, 4 min), "Sur les mains" d'Audrey Espinasse & Sami Lorentz (2018, 7 min) et "L'illusionniste" d'Alain Cavalier (1990, 13 min).

Fer de lance du Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand, la sélection Labo est un espace d'expérimentation... "Duck Children" (2001, Grande-Bretagne, 8'), "Délices" (2002, France, 10'), "The Raftman's Razor" (2004, Etats-Unis, 7'), "Wir sind dir Treu" (2005, Suisse/Allemagne, 9'), "I am (not) Van Gogh" (2005, Etats-Unis, 5'), "Sea Change" ( 2006, Grande-Bretagne, 6'), "Raymond" (2006, France/Grande-Bretagne, 5'), "The Tale of How" (2006, Afrique du sud, 4'), "Energie" (2007, Allemagne, 5'), "Lila" (2008, France, 12').

Ce qu’enregistre la caméra est-il automatiquement vrai ? Trucages, jeux avec les codes de représentation, travestissements ou tout simplement mise en scène du monde, les documentaires de ce second programme Le Vrai du faux interrogent les formes limites du cinéma du réel. Contient : "Les documents interdits / L'autre côté : le pique-nique" de Jean Teddy Filippe (1989, 4 min 27 s). Californie 1970. Au cours d'un pique-nique, un homme saute dans l'inconnu. "Martin pleure" de Jonathan Vinel (2015, 16 min) Tu te réveilles un jour et tous tes amis ont disparu. Alors tu cherches partout. Mais tu ne les trouves pas. "5 ans après la guerre" de Samuel Albaric, Ulysse Lefort, Martin Wiklund (2017, 16 min 39 s) Comment grandit-on avec un père irakien absent et une mère juive omniprésente ? "Native American" de Giulia Grossmann (2012, 26 min) Dans la forêt des Landes, un groupe de passionnés de culture du Far West se prête à des jeux de rôle. Un vrai natif raconte ensuite son histoire et son ressenti sur la situation.

Le cinéma saisit-il une vérité invisible ou recrée-t-il au contraire un monde fantasmé, des images qui n'existent pas ? 4 courts métrages pour réfléchir avec un public adolescent sur ce que les images révèlent ou inventent de notre monde. Contient : "Kacey Mottet-Klein, naissance d'un acteur" d'Ursula Meier (Suisse, 2015, 14 min) : 8 ans. 12 ans. 15 ans. Un corps qui grandit devant la caméra, s'imprègne de sensations, d'émotions, se confronte à ses limites. Un corps qui au fil des années s'abandonne au personnage, transformant ce qui pouvait paraître un simple jeu (d'enfant) en un véritable travail d'acteur. "Le rêve de Bailu" de Nicolas Boone (France, 2013, 12 min) : Bailu, village chinois situé dans la province du Sichuan, a été détruit en 2008 par un tremblement de terre. Le gouvernement local a décidé d'y reconstruire un village "à la française". "Neighborhood" d'Alain Della Negra et Kaori Kinoshita (France, 2005, 17 min) : Des adeptes du jeu "Les Sims" racontent la vie de leur avatar. Au travers de récits à la première personne, les joueurs sèment la confusion entre réel et virtuel, proposant une représentation originale d'une double vie. "Swatted" d'Ismael Joffroy Chandoutis (France, 2018, 21 min) : Des joueurs en ligne racontent leurs difficultés à échapper au "swatting", un phénomène de cyber-harcèlement qui menace leur vie à chaque partie. Les événements prennent forme à travers des vidéos youtube et des images vectorielles issues d'un jeu vidéo.

Une compilation de six courts métrages : "Boustifaille" de Pierre Mazingarbe (18 min), "Jusqu'à l'os" de Sébastien Betbeder (30 min), "Mal caduc" de Jules Follet (30 min), "Massacre" de Maïté Sonnet (26 min), "Mon Juke-box" de Florentine Grelier (15 min) et "Qu'importe si les bêtes meurent" de Sofia Alaoui (23 min). - Boustifaille : Hauts-de-France, 2018. Daphnée refuse de présenter ses parents à son petit ami Karim, ce dont il souffre. Alors qu’elle se rend chez sa famille, Karim force le destin en se cachant dans le coffre de sa voiture. - Jusqu’à l’os : Thomas, pigiste au Courrier Picard, doit faire le portrait d’Usé, musicien atypique et ancien candidat à l’élection municipale d’Amiens. Tandis que les deux hommes apprennent à mieux se connaître, ils décourent dans un terrain vague, le corps inanimé de Jojo. Lorsque ce dernier ressuscite sous leurs yeux, leurs existences se trouvent bouleversées. - Mal caduc : 1814. La rencontre de Mathurin Thouars, lieutenant de l’armée napoléonienne, et d’un jeune conscrit soupçonné de simuler l’épilepsie pour se dérober à son devoir militaire. Les deux hommes sont bretons mais l’un, déjà marqué par les batailles, repart pour le front tandis que l’autre, qui n’a jamais connu la guerre, pourrait y échapper pour toujours. - Massacre : Deux sœurs, de 10 et 12 ans, s’apprêtent à quitter leur île adorée, devenue trop chère pour leur famille. Leur tristesse se transforme en rage pointée vers ceux qui les poussent à partir : les touristes. Ce dernier été sera noir, mortel, aussi toxique que les algues qui pullulent sur les plages. Prix du public, Festival international Cinema Jove, Valence, Espagne, 2020 Prix de la meilleure musique originale, Festival international du court métrage, Clermont-Ferrand, 2020. - Mon Juke-box (documentaire) : J’ai entendu une musique par hasard, l’autre jour. Un vieux titre de rock’n’roll. Ça me dit quelque chose. C’est sûrement un morceau qui passait sur une des appareils mécaniques de mon père, l’aventurier, l’homme aux mille vies, le roi du juke-box. Prix André-Martin, Festival international du film d’animation, Annecy, 2019 - Qu’importe si les bêtes meurent : Dans les hautes montagnes de l’Atlas, Abdellah, un jeune berger et son père, sont bloqués par la neige dans leur bergerie. Leurs bêtes dépérissant, Abdellah doit s’approvisionner en nourriture dans un village commerçant à plus d’un jour de marche. Avec son mulet, il arrive au village et découvre que celui-ci est déserté à cause d’un curieux événement qui a bouleversé tous les croyants. “(…) Oubliez les décors habituels, c’est-à-dire occidentaux, à de rares exceptions près (Stargate, La porte des étoiles ; District 9…), de la science-fiction ! Sofia Alaoui, scénariste et réalisatrice de Qu’importe si les bêtes meurent, a eu l’heureuse idée de planter son histoire au Maroc. On croit d’abord partir sur le sentier archi-balisé de la chronique socio-familiale, puis le court métrage bifurque vers une question vertigineuse : à quoi se raccrocher quand ce que l’on tenait pour certain – sa place dans l’Univers, sous la protection de Dieu – se voit soudain remis en question ?”

Selon les dernières volontés d'un ami, Laurel et Hardy sont chargés de remettre à sa fille, Mary Roberts, le titre de propriété d'une mine d'or. Celle-ci travaille comme domestique dans le saloon de Mickey Finn, à Brushwood Gulch, petite ville de l'Ouest américain. Ne la connaissant pas, ils remettent le titre de propriété à Lola Marcel, l'épouse du patron de la jeune fille, qui a substitué sa propre femme à l'héritière pour s'emparer du titre. S'apercevant de leur méprise, Laurel et Hardy vont tout faire pour récupérer le document malgré l'opposition farouche de Lola et de Mickey.

Un chômeur tombe amoureux d'une fleuriste aveugle... Prêt à tout pour elle, il s'engage comme balayeur puis comme boxeur... Les adieux de Chaplin au cinéma muet. Chef-d'oeuvre...
Les lumières de la ville, les compléments

Elle a pris des avions, longé des fleuves, filmé des lieux méconnus comme les Watt Towers à Los Angeles, une friche artistique sur une terrasse à Saint-Pétersbourg. Son projet est de filmer la vie et l'art contemporain là où l'on peut le voir... Elle donne la parole à des artistes connus tels Soulages, Boltanski, Messager, et moins connus.

Quatre histoires illustrées et animées, inspirées de mythes traditionnels, écrites, racontées et illustrées par Gisèle Larraillet. "Quand les dracs ont mis le feu au Cantal (The day the devils set the Cantal on fire)" (24 min 31 s) ; "Maui le farceur apporte le feu (Maui the trickster brings the fire)" (16 min 01 s) ; "Une course relais pour le feu (A relay race for the fire)" (15 min 12 s) ; "En quête du feu (The Fire Quest)" (16 min 08 s)

La route zigzague devant vous, le monteur ronfle, le contrôleur siffle sur le quai, le vent caresse votre joue, la mer est huileuse, le tumulte se fait sentir, nul doute, vous prenez la clé des champs... En voiture Simone, le voyage ne fait que commencer ! Contient 6 courts métrage d'animation : "Voyage avec Monsieur Monsieur" de Céline Brengou (France, 2019, 3 min) ; "Cycle" de Sophie Olga de Jong et Sytske Kok (Pays-Bas, 2018, 2 min) ; "La Famille Tramway" de Svetlana Andrianova (Russie, 2016, 10 min) ; "Fairies in the Buda Hills" d'Eszter Molnár (Hongrie, 2018, 1 min) ; "Twin Trees" d'Emmanuel Ollivier (France, 2020, 4 min) ; "Le Pingouin" de Pascale Hecquet (France, Belgique, 2016, 5 min).

Lors d'un repas de famille, un enfant refuse catégoriquement de manger son poulet. Son chien, aussi sentimental que serial killer, profite de la situation pour s'emparer du poulet, mais sa faim est sans limite... Sous la forme de 19 petits clips animés oscillant entre dialogues et chansons, "Quand les poules auront des dents" est une farce aussi drôle que cruelle autour d'une question que seuls les êtres humains se posentÊ: doit-on manger les animaux ? À partir de 5 ans.

Un programme de courts métrages pour les jeunes enfants passionnés de sport. Plongez dans des aventures sportives captivantes et vibrantes d'émotions. Suivez nos héros courageux alors qu'ils affrontent les défis et célèbrent les valeurs du sport. "Prêts, Feu, Partez !" : un DVD incontournable pour les petits athlètes en herbe ! Un programme de 6 courts métrages d'animation jeune public autour du sport à l'approche des jeux olympiques. "5 mètres 80" de Nicolas Deveaux (2012, 5 min), "Dans la danse" de Katya Mikheeva (2022, 5 min), "Le Jour du marathon" d'Hanne Berkaak (2015, 8 min), "Le Dernier Jour d'automne" de Marjolaine Perreten (2019, 7 min), "Messages dans l'air" d'Isabelle Favez (2014, 6 min), "Pool" de Benoît Michelet et Islena Neira (2019, 5 min).

Ces dernières années, le monde étrange et fascinant de l'animation indépendante japonaise a été florissant... Premier volume d'une collection étonnante, mystérieuse, excentrique et sensuelle qui regroupe 15 courts métrages d'animation réalisés entre 2006 et 2012 : "Beluga", "Ougiya to Inu", "663114", "Columbos", "Modern n¡2", "Tatamp", "Futon", "Kappo", "Hand Soap", "Dreams", "Red Colored Bridge", "Pika Pika", "Maze", "Gureto Rabitto", "Haru no Shikumi".