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En mouvement perpétuel, Keanu Reeves n’a de cesse de se réinventer. Au fil d’une carrière iconoclaste, l’acteur canadien s’est imposé comme une figure incontestée de la pop culture.
Après avoir été révélé à la fin des années 1980 par L’excellente aventure de Bill et Ted, et avant de crever l’écran dans My Own Private Idaho de Gus Van Sant, dont il partageait l’affiche avec River Phoenix, Keanu Reeves a creusé son sillon dans le cinéma indépendant (Dracula de Coppola, Les liaisons dangereuses de Frears). Mettant à profit son physique affûté, il prend des risques en s’investissant dans des films d’action où ses prouesses font merveille. Des blockbusters qui, de Point Break à la franchise des "John Wick" en passant par Speed, viennent conforter sa stature de star internationale. Sous la direction des Wachowski, il se réinvente une nouvelle fois en héros du numérique triomphant cette fois, avec le personnage de Neo dans la saga des Matrix, quatre opus au succès planétaire sortis entre 1999 et 2021.
Développement personnel
Depuis plus de trois décennies, le Canadien Keanu Reeves, né à Beyrouth en 1964 d’une mère britannique et d’un père américain d’origine hawaiienne, rebat les cartes du succès au fil d’une carrière protéiforme. Devenu malgré lui – il aime cultiver la discrétion – une vedette des réseaux sociaux et un modèle pour les nouvelles générations, il a inspiré, par son parcours et ses choix, une pléthore de gifs, de mèmes mais aussi d’ouvrages de développement personnel. Au travers d’extraits de films, d’images de tournages et d’archives d’interviews, Julien Dupuy (Stephen King – Le mal nécessaire) brosse le portrait d’un comédien – musicien, auteur et réalisateur à ses heures –, qui a su surmonter les échecs commerciaux pour s’imposer, au-delà de Hollywood, comme une figure incontestée de la pop culture.
Une décennie plus tard vint Twiggy, la "brindille" du Swinging London, et il n'y eut plus que des stars. Dans un kaléidoscope d'archives et d'entretiens (Marisa Berenson, Inès de La Fressange, Carla Bruni-Sarkozy, Audrey Marnay, le photographe Peter Lindbergh…), d'extravagances textiles et de beautés renversantes, Olivier Nicklaus fait défiler soixante ans de mannequinat et de mode. Des premières revendications syndicales exprimées sous de Gaulle à la formule devenue fameuse de la "supermodel" Linda Evangelista ("Je ne mets pas un pied hors de mon lit à moins de 10 000 dollars par jour"), des facéties grunge de l'ado Kate Moss à sa renaissance en phénix mutique régnant sur les podiums, en passant par les ingénieux selfies postés par Cara Delevingne sur les réseaux sociaux, ce tableau chronologique mené tambour battant raconte en creux l'histoire d'une prise de pouvoir progressive des top-models…Jusqu'à ces dernières années, puisqu’aux fortes personnalités qui font le sel de ce documentaire, les grandes maisons préfèreraient désormais des silhouettes interchangeables, presque anonymes.
Un architecte désenchanté voit le centre commercial, qu’il avait construit 30 ans auparavant, remplacé par un projet réalisé par les jeunes architectes de son agence. Ne trouvant pas de réconfort auprès de son épouse, il erre dans les rues de Bangkok et fait la rencontre fortuite de Pop Aye, un éléphant qui fut jadis son ami d’enfance. Il se lance alors dans un long voyage à travers la Thaïlande pour raccompagner l’éléphant dans la ferme où ils ont grandi.