8152 résultat(s)
Le cadavre d’une jeune prostituée africaine est retrouvé au fond d’un marais perdu dans la campagne de Hillerød, au nord de Copenhague. Son corps est dans un état de décomposition avancée, sa mort remonte à plus de six mois. Pourtant, personne n’a signalé la disparition. Le bloc de pierre auquel le corps est attaché exclut l’hypothèse d’une mort accidentelle, mais l’absence de preuves complique considérablement les investigations de la police locale. Lorsque l’affaire est confiée à Konrad Simonsen et son équipe, ils sont encore loin de se douter que derrière cette mort tragique se cache un empire bâti sur la misère des femmes.
Le cynisme glacial et le mépris de la vie humaine sont au rendez-vous dans ce quatrième volet, tant attendu, des enquêtes de l’imperturbable inspecteur Konrad Simonsen.
"Cette nuit j’ai rêvé que je retournais au Cimetière des Livres Oubliés. J’avais de nouveau dix ans et je me réveillais dans mon ancienne chambre pour sentir que le souvenir du visage de ma mère m’avait abandonné. Et je savais, comme on sait les choses dans les rêves, que c’était ma faute, seulement la mienne, parce que je ne méritais pas de m’en souvenir et je n’avais pas été capable de la venger". Le dernier volume tant attendu de la saga aux 50 millions de lecteurs, commencée avec L'Ombre du vent. Magistral final du Cimetière des livres oubliés
Fleur et Harmonie : les prénoms des deux héroïnes du roman de Marie-Sabine Roger sont, disons… un peu trompeurs. Car Fleur, âgée de 76 ans, est une dame obèse et phobique sociale. Et Harmonie, 26 ans, est atteinte du syndrome de Gilles de la Tourette. En clair, son langage est ordurier et elle ne peut retenir des gestes amples et violents. Bientôt rejointes par une bande de « bras cassés » émouvants et drôles, elles vont nous entraîner dans une série d'aventures. Ce roman profondément humaniste donne une vision positive de la différence, refusant le regard excluant et prônant la chaleur du collectif. Un « feel good book » réjouissant.
« Un des meilleurs thrillers que j’aie lus depuis longtemps : Apollo 13 puissance dix ! » - Douglas Preston
« Impossible à lâcher ! Un mélange rare de bonne histoire, de personnages réalistes et de précision technique fascinante. » - Chris Hadfield, commandant de la Station spatiale internationale.
« Robinson Crusoé sur Mars, au XXIe siècle : fort, résistant et du cran à revendre. » - Steve Berry, auteur de L’Héritage des Templiers
« La science à la portée de tous, pour un suspense fascinant. » - Publishers Weekly
Mark Watney est l’un des premiers humains à poser le pied sur Mars. Il pourrait bien être le premier à y mourir.
Lorsqu’une tempête de sable mortelle force ses coéquipiers à évacuer la planète, Mark se retrouve seul et sans ressources, irrémédiablement coupé de toute communication avec la Terre.
Pourtant Mark n’est pas prêt à baisser les bras. Ingénieux, habile de ses mains et terriblement têtu, il affronte un par un des problèmes en apparence insurmontables. Isolé et aux abois, parviendra-t-il à défier le sort ? Le compte à rebours a déjà commencé...
1995.
Dix ans auparavant, la mère d’Izzy Stone a tué son mari d’un coup de fusil, alors qu’il dormait. Dévastée par la folie de sa mère, Izzy, qui a maintenant 17 ans, refuse de lui rendre visite en prison. Elle a depuis été accueillie par une famille d’accueil. Ses « parents » travaillent pour le musée local et décident d’inscrire la jeune fille dans leur groupe.
Sa mission : les aider à cataloguer les objets trouvés dans un asile abandonné depuis des années. Et au milieu de monceaux d’affaires, Izzy va découvrir des lettres jamais ouvertes, un vieux journal intime... et une fenêtre vers son propre passé.
1929.
Clara Cartwright a 18 ans. La jeune femme est prise en étau entre ses parents autoritaires et son amour pour un jeune immigrant italien. Furieux qu’elle ait rejeté un mariage arrangé, son père l’envoie dans une chic résidence pour « malades nerveux ».
Mais les Cartwright perdent leur fortune lors du krach boursier qui va suivre. Ne pouvant plus payer les soins de Clara, la jeune femme est transférée à l’asile public...
Même si Izzy fait face aux défis d’un nouveau départ, l’histoire ne cesse de l’entraîner dans le passé. Reconstituer le destin de Clara va obliger à réexaminer ses propres choix, avec des résultats... inattendus.
Une magnifique saga québécoise au temps
de Maria Chapdelaine.
Janvier 1916. Dans le village de Val-Jalbert sur les bords du lac Saint-Jean au cœur de la forêt québécoise, la stupéfaction est à son comble; Une religieuse a découvert un bébé abandonné dans un ballot de fourrures sur le perron enneigé du couvent-école.
D'où vient ce poupon aux yeux si bleus, qui porte le nom de Marie-Hermine, comme en témoigne une courte lettre cachée dans ses vêtements ?
L'enfant sera élevée et instruite par les sœurs du Bon-Conseil et souvent confiée à une jeune mère des environs, Elisabeth Marois, désespérée de ne pas avoir de fille. Dotée d'une voix exceptionnelle, au fil des années, l'orpheline gagnera le surnom de "rossignol des neiges"...
Dans la lignée du roman Maria Chapdelaine, de Louis Hémon, Marie-Bernadette Dupuy nous offre ici une très belle histoire d’amour documentée et puissante, empreinte du souffle glacé des longs hivers québécois, qui se déroule dans une région où rien ne doit mourir, rien ne doit changer…
Suite à son licenciement, Jessy part s'installer en Savoie, dans un village qui a servi de refuge au peintre Steffen Witzberg pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce petit coin de paradis est pourtant menacé par un projet de construction qui en ferait une station touristique. Seule solution : un projet de financement solidaire pour déplacer le lieu des travaux... Elle-même artiste, Jessy se voit contrainte de prendre les pinceaux et d'imiter le style de Witzberg afin de vendre un tableau pour une somme conséquente et de sauver son village. Cet acte, pourtant plein de bonnes intentions, aura des conséquences graves et inattendues pour la jeune femme. Entre grandeur des paysages et intimité du quotidien, ce roman aux accents historiques présente une humanité où se mêlent espoir et drame.
Professeure d’histoire et de géographie à la retraite, Jeanne-Marie Sauvage-Avit a vécu ses vingt premières années à Saint-Étienne. Installée désormais dans la région de Martigues, elle partage ses loisirs entre l’écriture, le jardin et les randonnées.
Elle est l'autrice de La Cueilleuse de thé, prix du livre romantique 2017 (vendu à plus de 30 000 ex.), et de Perline, Clémence, Lucille et les autres, paru aux éditions des Monts d'Auvergne (Prix Claude Fauriel, en deux tomes) et aux éditions Les Nouveaux Auteurs (Prix du Jury Femme Actuelle).
« Aujourd’hui, le 10 juillet 1674, par ordre du bailli et des échevins de Limbricht, vous êtes arrêtée pour suspicion de sorcellerie ou magie noire. » Enfermée sans plus d’explications, Entgen Luijten ne peut compter que sur elle même : elle n’a plus de famille et sait que personne ne se lamente sur son sort. Parce qu’elle préfère se rendre au bois qu’à l’église, parce qu’elle connaît le pouvoir des plantes qui soignent, parce qu’elle est un peu trop libre, elle a toujours fait jaser dans son village reculé de la campagne néerlandaise.
Dans l’attente de son procès, la voilà réduite à compter les jours dans l’étroit et glacial cachot du baron Van Breyll qui semble prêt à tout pour obtenir des aveux spectaculaires. Mais malgré les fenêtres étriquées de sa cellule, Entgen se souvient des premières lueurs de l’aube qui embrasent l’horizon et de la lande qu’elle parcourait en compagnie des siens.
Et si elle respecte la puissance de la nature, elle ne se soumettra pas à l’autorité du châtelain et compte bien faire entendre sa voix, même si cela doit être la dernière fois.
Susan Smit est une écrivaine et journaliste néerlandaise. Passionnée par l'histoire de la sorcellerie, elle a fait de nombreuses recherches sur ce qu'elle appréhende aujourd'hui comme une pratique spirituelle et une ancienne religion de la nature. La Sorcière de Limbricht est son premier roman traduit en français. Traduit du néerlandais par Marie Hooghe (traductrice, entre autres, de Hugo Claus, de Louis Paul Boon et d'Erwin Mortier).
Un soir d’été de 1931, Lilly Blackwood remarque les lumières d’un cirque depuis la fenêtre de sa mansarde. La petite fille a interdiction d’explorer les alentours de Blackwood Manor... Elle n’est même jamais sortie de sa petite chambre. C’est pour sa sécurité, lui répète sa mère, car Lilly fait peur.
Mais cette nuit-là, elle est emmenée en dehors de la propriété, pour la première fois. Et elle est vendue au cirque.
Deux décennies plus tard, Julia Blackwood hérite du manoir de ses parents et de leur élevage de chevaux. Elle espère que revenir sur le lieu de son enfance pourra effacer de douloureux souvenirs. Mais elle va découvrir une mansarde jamais ouverte, et les photos d’un cirque mettant en avant une étonnante jeune femme...
Au début, le cirque des Frères Barlow n’est qu’une nouvelle prison pour Lilly. Mais au sein de ce monde violent et hétéroclite, Lilly va découvrir la force, l’amitié, et un lien incroyable avec les animaux.
Rapidement, grâce aux éléphants Pepper et JoJo, et à leur dresseur, Cole, Lilly n’est plus seulement une petite attraction, mais le clou du spectacle... jusqu’à la tragédie.
Deuxième volume des « Voyageurs », série lauréate du prestigieux prix Hugo, Libration confirme Becky Chambers à l’avant-garde d’un renouveau de la science-fiction, intimiste et pleine d’espoir.
Lovelace, intelligence artificielle née à bord du Voyageur à la fin de L’Espace d’un an, accepte de se transférer à bord d’un corps synthétique. Devenir humaine, une chance ? Pas pour elle : les limitations de la chair l’étouffent. Champ de vision ridiculement restreint, pas d’accès au réseau, réactions physiologiques incontrôlables...
À ses côtés, Poivre, mécano, l’aide de son mieux. Ancienne enfant esclave libérée par miracle, grandie seule sur une planète ravagée, elle aussi a dû lutter pour accéder pleinement à l’humanité et se construire une vie, sinon ordinaire, du moins normale.
Libration – nom d’un point de l’espace en équilibre entre deux astres, zone de stabilité mouvante qui accompagne les planètes dans leur danse – raconte l’histoire de ces deux femmes. Chacune à sa façon s’arrache à une vie liminale pour se tailler une identité, conquérir l’indispensable : la dignité.
« Avec une approche résolument optimiste, Becky Chambers véhicule un message futuriste de bienveillance. Cette trilogie est précieuse. » Numerama
Bienvenue à Gora ! Bienvenue à l’Auberge des Cinq-Sauts !
Faites halte dans le tout dernier roman des « Voyageurs » et l’Union Galactique explorée dans L’Espace d’un an.
« On s’était donné du mal pour aménager cette auberge, quitte à remplacer par l’amour l’argent qui manquait parfois. Le dôme abritait une série de bâtiments sortis d’une imprimante 3D, tous en forme de bulles mais de tailles variées, peints en gris et blanc ; une palette évidemment choisie pour ménager la sensibilité aéluonne, qui aurait perçu comme des beuglements une architecture multicolore.
Les sentiers, pavés à la main, convenaient aux chariots harmagiens. L’air purifié était chaud, sans doute trop pour les poils épais des Laru, mais très confortable pour lui : un compromis bien pensé entre la préférence quéline pour une délicieuse touffeur et le penchant aandrisk pour la chaleur sèche. Ce n’était pas parfait, mais ça conviendrait à beaucoup de monde. Roveg aurait parié que c’était la règle qui présidait à toutes les décisions. »
Troisième volume des « Voyageurs », série lauréate du prestigieux prix Hugo, Archives de l’exode confirme Becky Chambers à l’avant-garde d’un renouveau de la science-fiction, intimiste et pleine d’espoir.
La Flotte d’exode est un trésor vieillissant, témoin de la volonté humaine de disséminer ses enfants et sa culture à travers les étoiles. Singulière au sein de la communauté galactique, peu la rejoignent et beaucoup la quittent. Dans les couloirs de ces vaisseaux naissent, vivent et meurent les spatiaux.
Une ethnologue à tentacules, un homme rêvant d’intégrer la Flotte, un adolescent de s’en aller, une archiviste qui a connu l’époque où les Humains étaient des parias, une soignante affectée aux soins des morts, et Tessa, sœur d’Ashby, le capitaine humaniste de L’Espace d’un an.
Autant de voix qui, humaines ou non, nous racontent le sentiment d’appartenance à un groupe, le besoin central de trouver une place, dans la galaxie ou dans les cœurs. Des gens ordinaires ; des vies ordinaires : uniques et précieuses.
« Un space opera intimiste, tout en humanisme et en empathie. Il n’est pas nécessaire d’avoir lu les précédents pour apprécier ce roman, mais on aurait bien tort de s’en priver. » - Bifrost
Quand la vie prend un virage aussi terrible qu'inattendu, comment se réinventer et garder espoir dans l'avenir ?
Léa a 16 ans, un talent immense et un rêve à réaliser. Entraînée par son père, qui est à la fois son modèle, son meilleur ami et son confident, elle avance avec confiance vers cet avenir tout tracé.
À 17 ans, Anthony, obligé de faire face à l'absence de son père et aux gardes à vue de son frère, ne rêve plus depuis longtemps.
Ils se sont croisés une fois par hasard ; ils n'auraient jamais dû se revoir.
Pourtant, lorsque la vie de Léa s'écroule, Anthony est le seul à pouvoir l'aider à se relever.
Leurs destinées s'en trouvent à jamais bouleversées.