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Suite aux formations dédiées aux fondamentaux et à la modélisation, vous maîtrisez déjà toutes les bases nécessaires pour modéliser vos projets sur la dernière version du logiciel phare de Maxon : Cinema 4D R17. Mais de simple objets modélisés ne sont qu’un aperçu des possibilités offertes par ce logiciel de modélisation : il est maintenant temps de leur donner plus de vie et de réalisme grâce à la configuration des lumières et des textures de matériaux.
Dans cette dernière formation consacrée à Cinema 4D R17, Philippe Pappaert, formateur certifié sur Cinema 4D et administrateur du forum cinema4d-fr, vous livre ses dernières astuces pour jouer avec les textures.
Il débute cette formation par la configuration des lumières : des notions fondamentales à la découverte de chaque type de lumières disponibles sur Cinema 4D. Découvrez et maîtrisez l’ajout de lumières omni, de visée, surfacique, IES et infinie. Profitez-en ensuite pour jouer avec les ombres douces et franches, ainsi que les effets volumétriques. Mettez enfin en pratique ces nouvelles connaissances à travers un exercice concret : la création et le placement de lumières sur un objet.
Partez ensuite à la découverte des matériaux et textures proposées sur Cinema 4D : prenez en main le gestionnaire et laissez vous guider à travers les différents canaux : couleur, diffusion, luminescence, transparence, réflexion, relief… Maîtrisez la méthodologie pour appliquer des matériaux, les canaux de matières procédurales, les effets et les surfaces. Pour terminer, votre Elephormateur vous propose à nouveau de mettre en application vos connaissances grâce à la texturisation d’un objet et la finalisation de son rendu.
Dans cette formation vidéo consacrée aux lumières dans CINEMA 4D R19 vous abordez les outils indispensables pour mettre en valeurs vos objets modélisés en 3D.
Vous apprenez à créer un studio photo et à éclairer de manière réaliste vos créations 3D. Vous poursuivez le travail effectué sur la lampe Wangenfeld dans les formations vidéos précédentes.
Vous êtes accompagné pendant toute la durée de cette formation vidéo par Philippe Pappaert, infographiste 3D certifié CINEMA 4D et beta testeur pour Maxon.
Stéphane, 20 ans, débarque chez sa grand-mère à Paris. Pour lui faire plaisir, il accepte une place de commis dans un restaurant de luxe. Entre son histoire familiale et les tensions au travail, il va devoir faire des choix. Prix du public au CoLCoA et Prix de la Meilleure actrice pour Liliane Rovère au Festival International les Saisons Parisiennes à Saint-Pétersbourg en 2013.
Dieu, mécontent des hommes, décide de faire une apparition sur la Terre. Il choisit un moyen moderne pour s'adresser à l'humanité et décide de faire un film. C'est ainsi qu'il part à la recherche d'un metteur en scène digne de filmer son œuvre. Son premier rendez-vous en Californie tourne mal. C'est alors qu'il se souvient d'une vieille histoire d'amour et pense à la France.
Cette performance théâtrale, qui tient de l'oratorio parlé et chanté, emprunte l'essentiel de sa matière à La Guerre des Juifs, où l'historien Flavius Josèphe retrace la destruction de la souveraineté juive par l'Empire romain au premier siècle de notre ère.
Lucie a 13 ans. Dans ses rêves, elle se voit aspirée par le vide, attirée par une étoile à la luminosité aveuglante. Éveillée, des lumières traversent son champ visuel et altèrent sa conscience. Tandis que ses parents s'inquiètent, les médecins tentent de trouver une explication et un remède…
En s'appuyant sur quatre magnifiques plans dessinés entre les XVIe et XVIIIe siècles, le Dessous des Cartes étudie le Paris de l'époque de la Renaissance, montrant l’influence du pouvoir monarchique sur l’esthétique de la ville ; puis présente les évolutions urbaines qui ont transformé la capitale jusqu'à la Révolution française.
Comment la lumière urbaine a peu à peu transformé nos vies. Décryptage avec ce remarquable documentaire qui tire les fils d’une histoire inédite.
Au fil des siècles, l’éclairage urbain a façonné notre rapport à la nuit et à la vie nocturne. Au Moyen Âge, chaque soir, les portes de Paris se ferment, comme un peu partout dans les grandes villes d’Europe. Chacun regagne son foyer à l’appel du couvre-feu. Les conduites changent sous le règne de Louis XIV, auquel on doit l’invention de l’éclairage public, qui naît en même temps que la police. La lumière devient alors le symbole de la puissance royale et la présence policière rassure les Parisiens. À la lanterne succède l’éclairage au gaz. Lié à la révolution industrielle, il permet le travail de nuit en usine et démocratise la vie nocturne, jusque-là réservée à une élite. Il faut attendre la fin du XIXe siècle pour que le gaz soit remplacé par la fée électricité. L’Exposition universelle de 1900, consacrée à cette innovation, vaut d’ailleurs à Paris son surnom de "Ville lumière". Dernière étape importante : grâce à Thomas Edison, qui développe la production industrielle des lampes et des ampoules, tout un chacun peut enfin profiter de la lumière électrique chez soi.
Paris, Ville lumière
À l’heure où les LED remplacent peu à peu les néons et ampoules au sodium, les villes consacrent 40 % de leur budget électrique à l’éclairage public. Mais pourquoi tant d’illuminations ? Agnès Bovet-Pavy choisit un angle original et peu abordé pour évoquer la vie nocturne et cerner les enjeux de la lumière urbaine hier et aujourd’hui. Entre ombre et lumière, l’histoire de l’éclairage public se situe au carrefour de l’ordre, celui mis en place par les autorités politiques au cours des siècles, et du désordre, puisqu’en ouvrant un espace de déambulation nocturne elle invite la population dans la rue. À travers l’exemple parisien, le film propose un passionnant voyage à travers le temps au gré d’images d’archives et d’extraits de films, illustrant une histoire aussi captivante qu'inédite.
Le titre français fait référence aux frères Auguste et Louis Lumière, précurseurs de la cinématographie.
"Les Lumière de Berlin", réalisé avec les étudiants de l'Académie du film de Munich est une combinaison de docudrame, de reconstitution fictionnelle et de photographie expérimentale afin de montrer la naissance du cinéma à Berlin, où les frères Max et Emil Skladanowsky ont construit un projecteur qu'ils ont appelé le bioscope.