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S’inspirant d’un combat de 1975, entre Mohammed Ali et Chuck Wepner, un boxeur non professionnel, Sylvester Stallone a eu l’idée d’écrire, plus qu’un film de boxe, une leçon de vie sur la rage de vaincre et le dépassement de soi. Pour les besoins de ce documentaire hommage de Derek Wayne Johnson, la superstar américaine raconte les coulisses de son film iconique.

En 1976, Sylvester Stallone, un portier en galère qui, pour compléter son maigre salaire, enchaîne les petits rôles, y compris dans un film érotique oublié, rencontre un succès mondial avec un film considéré aujourd’hui comme un classique. Réalisé par John G. Avildsen, Rocky, malgré son petit budget, récolte 225 millions de dollars au box-office et remporte trois Oscars, dont celui du meilleur film. S’inspirant d’un combat de 1975, entre Mohammed Ali et Chuck Wepner, un boxeur non professionnel, Stallone a eu l’idée d’écrire, plus qu’un film de boxe, une leçon de vie sur la rage de vaincre et le dépassement de soi. Grâce à l’appui des producteurs Irwin Winkler et Robert Chartoff, il est parvenu à vendre son scénario au studio United Artists puis à s’imposer comme acteur principal.

Making-of
Pour les besoins de ce documentaire hommage de Derek Wayne Johnson, la superstar américaine raconte les coulisses de son film iconique. On apprend alors que le combat entre Rocky Balboa et Apollo Creed, interprété par l’ancien footballeur américain des Oakland Raiders Carl Weathers, a été pensé et répété coup par coup, puis tourné en deux jours au Grand Olympic Auditorium de Los Angeles. Que la scène de patinoire, dans laquelle Rocky emmène la belle et timide Adrian (Talia Shire qui n’est autre que la sœur de Francis Ford Coppola) en rendez-vous galant, a dû, faute de figurants, être réécrite le jour même afin que les deux tourtereaux soient seuls sur la glace. Ou encore que, grâce à la nouvelle technique de stabilisation dite Steadicam tout juste inventée par Garrett Brown en 1975, la caméra a pu accompagner sans tremblement la course du boxeur en haut des marches du Philadelphia Museum of Art. Délivrant les moindres détails qui ont rendu culte ce premier opus d’une saga devenue mythique, il insiste ainsi sur le mimétisme entre Stallone et son héros, qui ont partagé tous deux une gloire inattendue. 

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Quand Grégoire voit son corps couvert d'une carapace et pourvu de pattes qui ont poussé dans la nuit, il croit à un mauvais rêve et ne s'inquiète pas outre mesure. Mais la métamorphose est bien réelle. Grégoire accepte cette mutation avec la résignation qui caractérise cet employé modèle qui ne vit que pour assurer une existence décente à sa famille.
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