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Vainqueur du célèbre concours du MA Festival de Bruges (qui a honoré les plus grands dont Scott Ross, Christophe Rousset, Pierre Hantaï, Benjamin Alard ou plus récemment Jean Rondeau), le claveciniste Justin Taylor, lauréat 2015, enregistre pour Alpha Classics un programme autour de la famille Forqueray : Antoine, Michel, Jean-Baptiste, Nicolas-Gilles... Voici quelques prénoms d'une grande famille de compositeurs, violistes et organistes français. Antoine Forqueray, né en 1672, obtient la place très convoitée de Musicien de la Chambre du roi. Il va entretenir avec son fils Jean-Baptiste, qui naît en 1699, des rapports pour le moins compliqués... En effet, jaloux de son talent pour la viole, Antoine l'enferme alors que celui-ci n'est âgé que de 16 ans ! Le récital, qui dresse un portrait musical de cette famille unique, est également le lieu d'une réflexion sur la transcription. Les suites interprétées au clavecin sont en effet originellement écrites pour viole de gambe. Pour passer d'un instrument à l'autre - d'un monde sonore à un autre, le chemin emprunté par Justin Taylor éclaire la partition sous un angle nouveau et permet d'en saisir pleinement toute l'originalité.
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Quatrième album de Baptiste Herbin, "Vista chinese" est le fruit de plusieurs voyages effectués au Brésil entre 2015 et 2019. Il y témoigne de ses rencontres musicales et humaines, de son étude des musiques et de la langue brésiliennes, de sa découverte de ce pays immense aux cultures multiples au long de ces quatre années. Empreinte de samba, de frevo, de bossa, mais aussi de soul, la musique de ce disque reflète avant tout le jazz et l'humanité de Baptiste Herbin, ses coups de coeur, et les fraternités qui se sont tissées autour de ses voyages. On y retrouve tout le souffle de ses compositions, auxquelles il a ajouté des morceaux d'Idriss Boudrioua et de Xavier Felgeyrolles, deux amis dont la présence a été essentielle à la naissance de ce disque. Autre intégration notable, son arrangement personnel de "Swing valse", composé par l'accordéoniste Gus Viseur, qui lui rappelle les sonorités du choro brésilien.
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La pièce tourne essentiellement autour d'Argan, qui est le « malade imaginaire » qui a donné son titre à la pièce. Veuf, il s'est remarié avec Béline qui simule des soins attentifs, mais n'attend en réalité que la mort de son mari pour hériter. Il se fait faire des saignées, des purges et prend toutes sortes de remèdes, dispensés par des médecins pédants et soucieux davantage de complaire à leur patient que de la santé de celui-ci. Toinette, sa servante, se déguise en médecin et lui dispense des conseils pleins d'ironie où elle se moque du ridicule des médecins. Angélique, sa fille, aime Cléante au grand dépit d'Argan. Il préférerait voir sa fille mariée à Thomas Diafoirus lui-même médecin. Pour les tirer d'affaire, Toinette recommande à Argan de faire le mort. Sa femme est appelée par Toinette, et manifeste sa joie d'être débarrassée de son mari devant celui-ci, qu'elle croit mort. Toinette appelle ensuite Angélique, qui manifeste un chagrin sincère de la mort de son père : celui-ci arrête aussitôt son jeu et accepte l'union de sa fille avec Cléante, à la condition que ce dernier devienne médecin. Son frère, Béralde, lui conseille de devenir médecin lui-même, ce qu'il accepte. La pièce se termine par une cérémonie bouffonne d'intronisation d'Argan à la médecine.
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Poésie de Omar Khayam, 12e siècle.
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Sur la planète Musique, alors que les familles d'instruments se chamaillent, le bois Piccolo et le cuivre Saxo partent ensemble à la recherche des clés Sol, Fa et Ut... Un joli conte divertissant et pédagogique offrant une initiation musicale...
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Tome :
1
David nous plonge dans le XIXe siècle, au moment de la création d’un petit village aux bords de la rivière Nicolet. On y trouve Baptiste Beauchemin, un travailleur acharné qui souhaite la reconnaissance, après plus de 25 ans d’efforts. Dans un patelin dépourvu de maire et de curé, il se plaît à jouer le rôle de l’homme important du village. De l’autre côté, on retrouve la famille Ellis, d’origine irlandaise, ayant à sa tête Samuel. Entre les deux hommes, la rivalité est forte. Chacun occupera à tour des fonctions décisives dans l’établissement d’un vrai village.
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Les années 80 : une boutade racoleuse ? Louis XIV et Jean-Baptiste Lully (1632-1687) : une histoire bien connue de deux destins liés par la danse et l'opéra, de deux amitiés de jeunesse (2). Le second contribue à la gloire du premier, au développement et au rayonnement - sans égal - de la danse et de l'opéra. Les principales créations ont lieu à Paris (Palais Royal) et à Saint-Germain-en-Laye ; plus rarement à Versailles, à Fontainebleau, à l'Orangerie de Sceaux et au château d'Anet en cette fin du 17e siècle... des années 1680. Le jukebox ? Pourquoi cette étrange machine de la seconde moitié du 20e siècle, destinée à diffuser des pièces à succès, ou "tubes", est-elle convoquée dans un tel projet ? Anachronisme absolu lorsque tout semble séparer ces deux univers... Pourtant, l'apparition du concept de pièces à succès, deux siècles avant l'invention du gramophone des années 1870, ne date évidemment pas des années 1980 : époque liée à la diffusion musicale de masse via l'industrie numérique, radiophonique ou discographique. La période 1680/87 donne naissance aux derniers grands ouvrages de Lully. Déjà une décennie auparavant, son oeuvre connait un large écho auprès du public de la ville et de la Cour. Le succès de ses productions confère un essor inédit de l'édition musicale : par ce moyen, le public s'approprie ses grandes tragédies en musique en partition générale d'orchestre ou en version réduite pour basse continue accompagnant un, voire deux solistes. En marge de l'édition musicale, quelques auteurs anonymes arrangent pour le clavier seul un certain nombre de pièces célèbres issues de ses opéras (3). Ce répertoire manuscrit, à une exception près, est diffusé dans des sources internationales, françaises, anglaises, allemandes, autrichiennes, belges (Pays-Bas du sud), danoises, italiennes et espagnoles. Seul Jean Henry d'Anglebert, l'ami de Lully, publie quinze arrangements - exemplaires - dans ses Pièces de Clavecin en 1689 ; Ces pièces d'orchestre adaptées à l'orgue sont pour la plupart des " tubes " issus de diverses sources manuscrites historiques, à une exception près. Les pièces lyriques en vogue, quant à elles, sont des arrangements actuels, soit en basse continue, soit en réalisation des cinq parties de l'orchestre de Lully. Les mélanges sonores de l'orgue français du Grand Siècle décrits dans les préfaces des Livres d'orgue publiés sous le règne de Louis XIV, Nivers (1665) (5), Lebègue (1676) (6), Raison (1688) (7), Boyvin (1689) (8) ont été utilisés. Enfin, trois motets du secrétaire particulier de Lully, Jean- François Lallouette (1651-1728) ponctuent le programme sans la moindre discontinuité esthétique, bien au contraire. Ils s'inscrivent dans la lignée de ceux de Nicolas Lebègue, merveilleuse illustration de l'art du petit motet français sous le règne de Louis XIV.
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Mélange vibrant de world, musiques de films, jazz minimalisme, exotica, funk et surf rock aux couleurs de The Gift, un de ses albums les plus easy listening. Toutes les fines gachettes de l'Electric Masada sont de la fête et concourent à faire de ce dreamers l'un des disques les plus emballants.
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