Souvent qualifié comme le «Buena Vista» du Reggae, le fameux collectif jamaïcain délivre un nouvel album au sommet de son art, déjà acclamé par le journaliste anglais David Katz comme «leur meilleur opus». En plus des légendes du collectif, on y découvre les voix splendides de l’icône des années 70 Johnny Osbourne ainsi que le duo 60’s Keith & Tex. Feeling, musicalité extrême et authenticité sont les caractéristiques de cet album, qui s’annonce mythique pour les mélomanes et le public reggae.
Après plus de 3000 passages en radios nationales (France Inter, Radio Nova, RFI) et internationales (WDR Cosmo, BBC 6, RFI), des éloges dans la presse (Télérama, Le Monde) et un E.P. éponyme sorti en octobre 2022, le chanteur Lass revient avec son tout premier album: "Bumayé". Entre electro, musiques traditionnelles sénégalaises et rythmique afro-cubaines, ce disque s'écoute comme un brassage musical des inspirations de Lass. Réalisé par Raphaël d'Hervez (Pongo, Minitel Rose), "Bumayé" est un leitmotiv qui rappelle toutes les épreuves traversées par Lass pour en arriver là, et une référence au combat mythique de Mohamed Ali à Kinshasa en 1974. Sa voix aussi puissante que sensible, est accompagnée par celle de l'artiste éclectique Flavia Coelho sur le titre "Metina" et par le chanteur reggae/soul Patrice sur le morceau "Dolima". Lass a forgé sa voix singulière en chantant tous les matins pendant des heures face à la mer. "J'essayais de chanter plus fort que les vagues. Devant cette immensité d'eau, il n'y a aucun écho, il faut pousser dans le ventre pour se faire entendre de l'océan." Un artiste à suivre, sur le chant des vagues.
3 artistes exceptionnels pour un album concept incroyable : les deux rappeurs Leeroy et Lateef the Truthspeaker rejopignent le claviériste de General Elektriks pour un voyage dans le temps. Rendez-vous en 2222, où les voyages sont obligatoires et la peur de l’inconnu est abolie. Mixant anglais et français dans des textes aussi poétiques que ludiques, une belle découverte pour tous les fans de hip- hop.
General Elektriks parle plus d’une langue. Depuis ses claviers, il pratique un syncrétisme de haut vol entre funk, pop et électro, avec en tête l’idée d’un melting-pot musical alchimique et l’envie de le partager avec les foules. La tournée du précédent album, To Be A Stranger, en a fait l’éclatante démonstration. Cette série de dates pléthoriques (Saint-Pétersbourg, New York, l’Olympia, Rio) aura aussi permis à Hervé Salters, l’homme derrière GE, de poser le cadre de son cinquième opus, Carry No Ghosts. Dès janvier 2018, General Elektriks arpentera les routes de France pour sa nouvelle tournée, avec notamment deux dates parisiennes à La Cigale les 12 et 13 avril prochains.
« Et si vous étiez passés à côté de l’une des plus grandes pépites électro-pop françaises ? » Rolling Stone
La voix Soul de la Jamaïque est de retour avec son premier album en 25 ans. Fort d'une carrière internationale et de collaborations d'exception (Tiken Jah Fakoly, Ms Dynamite). Ken Boothe réinterprète ici ses plus belles chansons, enregistrées Inna de Yard, en plein air sur les hauteurs de Kingston entre juin 2016 et janvier 2017.
Produit d'une collaboration aiguisée par un long compagnonnage avec Thibault Frisoni, artisan de la montée en puissance des synthétiseurs analogiques et autres beat machines dans les récents album de Bertrand Belin, "Tambour vision" s'est donné pour objectif de pousser plus loin ce qui s'annonçait, s'affirmait de plus en plus, à savoir, un goût pour la danse, perçu comme un exutoire. Une danse mécanique minimaliste et burlesque rappelant la sophistication joyeuse des Talking Heads ou peut-être plus encore de David Byrne, à ranger entre la jubilation transe d'Alan Vega et le scary monsters de Bowie, une nouvelle new wave en français, marqué par l'économie de mots caractéristique aux esprits hésitant entre la chaire et le verbe.