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« J'ai conçu Canoës comme un roman en pièces détachées : une novella centrale, “Mustang”, et autour, tels des satellites, sept récits. Tous sont connectés, tous se parlent entre eux, et partent d'un même désir : sonder la nature de la voix humaine, sa matérialité, ses pouvoirs, et composer une sorte de monde vocal, empli d'échos, de vibrations, de traces rémanentes. Chaque voix est saisie dans un moment de trouble, quand son timbre s'use ou mue, se distingue ou se confond, parfois se détraque ou se brise, quand une messagerie ou un micro vient filtrer leur parole, les enregistrer ou les effacer. J'ai voulu intercepter une fréquence, capter un souffle, tenir une note tout au long d'un livre qui fait la part belle à une tribu de femmes — des femmes de tout âge, solitaires, rêveuses, volubiles, hantées ou marginales. Elles occupent tout l'espace. Surtout, j'ai eu envie d'aller chercher ma voix parmi les leurs, de la faire entendre au plus juste, de trouver un “je”, au plus proche. » (M. de K.)
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J'ai voulu raconter l'amour tel qu'il est vécu la plupart du temps par la plupart des gens : sans crise ni événement. Au gré de la vie qui passe, des printemps qui reviennent et repartent. Dans la mélancolie des choses. Il est nulle part et partout, il est dans le temps même. Les Moreau vont vivre cinquante ans côte à côte, en compagnie l'un de l'autre. C'est le bon mot : elle est sa compagne, il est son compagnon. Seule la mort les séparera, et encore ce n'est pas sûr. F. B.
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Le récit du destin de Paula Karst commence avec son apprentissage de la technique du trompe-l'oeil. Etudiante à l'Institut supérieur de peinture de Bruxelles, elle rencontre Jonas, peintre en décor surdoué, et Kate, une Ecossaise débrouillarde et impulsive. En 2015, après avoir travaillé à Paris, Moscou et en Italie, elle se voit proposer un projet de reconstitution de la grotte de Lascaux.
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Le narrateur revient sur l'été 1986. Agé de 15 ans, il décide de trouver une fille, échafaude des stratégies, joue de malchance, puis entame une romance imprévue. Des détours accidentels et des contretemps malheureux compliquent son douloureux apprentissage. Au bal du 14 Juillet, tout s'accélère et tourne au cauchemar. L'ironie rétrospective révèle une plaie encore à vif vingt-cinq ans plus tard.
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Une jeune femme est confrontée à la perte, à l'hostilité du monde extérieur et à son vide intérieur. Au cours de ce récit initiatique et labyrinthique, en cinq parties, la narratrice s'invente des moyens pour survivre.
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Dans les années 2000, John Johnson, dit le boa, maire de Coca en Californie, lance un concours international pour la construction d'un pont monumental, dans l'espoir de faire de sa ville une mégalopole. Le pont devient l'affaire de tous les habitants de la ville, des hommes d'affaires et de Georges Diderot, chef du chantier.
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A bord du Transsibérien, Aliocha, 20 ans, doit être conduit vers sa caserne d'affectation en Sibérie pour faire son service militaire. Alors qu'il tente d'échafauder un plan pour y échapper, il croise Hélène, une Française de 35 ans qui vient tout juste de quitter son amant Anton. Malgré les barrières de la langue, ils vont se comprendre et poursuivre ensemble le voyage. Prix Landerneau 2012.
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Nouveauté
« Finalement, il vous dit quelque chose, notre homme ? Nous arrivions à hauteur de Gonfreville-l'Orcher, la raffinerie sortait de terre, indéchiffrable et nébuleuse, façon Gotham City, une autre ville derrière la ville, j'ai baissé ma vitre et inhalé longuement, le nez orienté vers les tours de distillation, vers ce Meccano démentiel. L'étrange puanteur s'engouffrait dans la voiture, mélange d'hydrocarbures, de sel et de poudre. Il m'a intimé de refermer, avant de m'interroger de nouveau, pourquoi avais-je finalement demandé à voir le corps ? C'est que vous y avez repensé, c'est que quelque chose a dû vous revenir. Oui, j'y avais repensé. Qu'est-ce qu'il s'imaginait. Je n'avais pratiquement fait que penser à ça depuis ce matin, mais y penser avait fini par prendre la forme d'une ville, d'un premier amour, la forme d'un porte-conteneurs. »
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