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Andreas Egger est amené de la ville dans les montagnes, où personne ne lui explique le monde. Il est recueilli par une brute qui lui impose sa propre éthique. Lorsqu'il se soustrait à sa tyrannie, il est décidé à marcher la tête haute et est envoyé sur le front de l'Est en 1942.
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Envoûtée, comme enivrée, Marjorie l'était à nouveau en regardant l'homme et la femme onduler sous ses yeux. Leurs bras chantaient en canon. Leurs mains se croisaient à intervalles réguliers. Le mouvement était répété plusieurs fois, puis la musique s'emballait, et leur pas de deux se terminait par un porté de haute volée. Pour Marjorie, qui parlait la danse mieux que personne, la signification était très claire.
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En prenant pour matière la mémoire de sa famille, l'auteure raconte la vie de son ancêtre Joseph Davrichewy, né vers la fin du XIXe siècle à Gori, en Géorgie. Le roman dépeint le temps de son enfance, au sein d'une communauté archaïque où il se lie d'une amitié profonde avec Joseph Djougachvili, dit Staline, et surnommé Sosso, qui l'accompagne jusqu'à l'âge adulte.
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La silhouette libre et rebelle de Marion du Faouët, « Robin des bois » bretonne qui, dans les premières années du XVIIIe siècle, prenait aux riches pour redistribuer aux pauvres, a toujours fasciné Michèle Lesbre. Parce qu'une femme aux cheveux roux prénommée Marion, qui avait élu domicile dans une boutique désaffectée en bas de chez elle, a soudain disparu, les traits de l'autre Marion, la « chère brigande », se superposent à ceux de la SDF parisienne. L'écrivain décide alors de partir sur les traces de l'insoumise bretonne, qui mourut sur le gibet à trente-huit ans, lui adressant, pour conjurer l'injustice du monde et sa propre impuissance, une longue lettre. À la faveur du trajet en train vers Quimper, les souvenirs d'une autre époque de sa vie resurgissent, quand, jeune militante, elle manifestait contre la guerre d'Algérie ou, institutrice, elle apprenait à lire aux enfants. La vie de Marion agit comme un miroir tendu à ses utopies et à ses révoltes passées : à dix-huit ans, Marion, elle, créait une bande de brigands. Avec des comparses recrutés parmi ses proches, elle allait écumer les bois et redresser les torts. Le Faouët, les monts d'Arrée, Quimper : tous ces lieux, où Marion a vécu et que l'enquêteuse arpente, ravivent la vaillance et l'impétueuse générosité de son héroïne. Michèle Lesbre, dans ce texte lumineux, laisse sonner le rire frondeur d'une gamine formée à l'école de la vie, d'une grande amoureuse et d'une femme qui a lutté à sa façon contre une misère choquante. Une belle manière de nous parler d'elle, de nous, du monde dans lequel nous vivons. Sa lettre s'achève ainsi : Dors tranquille, chère brigande, tu m'as sauvée pendant quelques jours de notre démocratie malade, des grands voleurs qui, eux, ne sont presque jamais punis parce qu'ils sont puissants, de ce monde en péril. Tu n'étais pas un ange, mais les anges n'existent pas.
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« Fignolé, pourquoi nous obliger à respirer à des hauteurs si difficiles ? Fignolé récalcitrant. Fignolé rebelle, habité de poésie, fou de musique. Fignolé n'a pas sa place dans cette île où la débâcle a défait les âmes. Fignolé, m'entends-tu ? Traverse indemne la foudre et le feu de cette ville si tu veux mais reviens-nous… Reviens-nous vite. Sans mal et sans blessure. Plus vivant qu'aucun chrétien vivant ne l'a jamais été sur cette terre. Fignolé, m'entends-tu ? » Poignante description de l'angoisse des deux sœurs de Fignolé, jeune militant du parti des Démunis disparu dans une ville en proie au chaos, La Couleur de l'aube a, lors de sa parution en 2008, imposé Yanick Lahens comme une des grandes voix de la littérature haïtienne. Se faisant l'écho du désespoir des deux jeunes femmes qui, un jour durant, poursuivent leur enquête, l'écrivain dessine la géographie de la ville – Port-au-Prince – et du pays où elle vit et qu'elle connaît intimement. Toute son œuvre – jusqu'à Bain de lune, qui en 2014 a obtenu le prix Femina – s'ancre dans ce territoire où la monstruosité voudrait se faire loi, mais où ne cessent de rejaillir la révolte et la volonté de vivre.
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En cette nuit du 18 juin, sur le mont Valérien, l'Ifon 11 du jeune François-Joseph de la Fistinière est fin prêt à filmer son propriétaire dans une position attentatoire à l'honneur de sa famille de militaires. Afin d'enrayer la propagation virale de la vidéo, le patriarche appelle au secours son fils illégitime, patron de la firme Opié, elle-même conceptrice de l'Ifon et numéro un européen de l'énergie. À La Défense, la tour Opié s'éveille : Samia, l'hôtesse d'accueil, prend son poste au rez-de-chaussée ; au trente-sixième étage, le technocadre Kevin Klein convoque toute son habileté informatique pour maquiller la baisse dangereuse des stocks de tantale nécessaires au grand dessein de l'entreprise. À l'autre bout de la planète, en Iamalie, d'étranges aurores boréales plongent dans l'inquiétude une tribu de Kètes. Plutôt que de se lamenter sur ce monde qui va à sa perte, sur fond de course effrénée au profit, d'inégalités sociales vertigineuses et de désastres écologiques, le romancier s'invente démiurge. Décidant, lui aussi, d'inverser le processus, il embarque son lecteur éberlué dans une ébouriffante utopie. Les victimes d'hier se réapproprient leur destin : tandis que, dans les Andes, les terres minières reverdissent, deux licenciés d'Opié (dont notre Franjo), ayant rejoint la ZAD de Cadarache, trouvent le moyen de faire imploser la toute-puissance capitaliste ; la vie de Samia, elle, a changé depuis sa rencontre, lors de la Gay Pride, avec Yaqut, dont la défense d'un islam de paix et de lumière l'a convaincue de s'engager à ses côtés dans un djihad... de l'amour ; quant à Tyapsa, la seule survivante de la tribu de Kètes, on la retrouvera, après bien des tribulations, figure centrale d'un final libertaire, burlesque et transgressif. C'est un vibrant éloge au u pouvoir de la fiction que cet éblouissant roman-monde, mené tambour battant par un écrivain qui jamais ne doute de la capacité de ses personnages d'aller au bout de leurs désirs.
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Suite à la redécouverte du roman de Murger Scènes de la vie de bohème, qui a marqué son enfance puisque ce livre trônait sur le bureau de son père, la narratrice embarque pour un lent voyage en quête de la figure paternelle. Rythmée par des rencontres et des étapes, sa flânerie la porte vers le passé de son père : un jeune homme insouciant qui rêvait de la vie de bohème.
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L'annonce de la mort brutale, dans la force de l'âge, du peintre Ivor Woodall sème la consternation parmi ceux qui fréquentaient son cours de dessin. Françoise, une jeune Rwandaise réfugiée au Cap, était modèle pour arrondir ses fins de mois. Elle découvre avec inquiétude la nécrologie – accompagnée d'une invitation à une exposition posthume où figure son propre portrait par Ivor – dans un bus la ramenant de Lubumbashi. Elle y était partie en catastrophe sur les traces de sa jeune sœur, la plantureuse et imprévisible Doudou, dix-sept ans, qui tentait de vendre au Congo la voiture volée quelques mois auparavant… à Ivor Woodall. La sage Françoise, l'aînée, essaie tant bien que mal de préserver le fragile équilibre que les deux jeunes filles ont retrouvé en arrivant en Afrique du Sud, après des mois d'errance. De mère tutsie, elles avaient fui le Rwanda au moment du génocide, après le remariage de leur père avec une Hutue. Stella, elle, était élève du cours de dessin depuis peu de temps. La perte d'Ivor la plonge pourtant dans un profond désarroi, elle qui était tombée par hasard sur l'atelier du peintre parce que s'en échappaient les paroles d'une chanson de Miriam Makeba. L'amour a le goût des fraises, elle ne cessait de l'écouter avec sa mère, dont elle ne parvient pas à surmonter la mort récente. Rosamund Haden, explorant le passé de ses deux protagonistes et de leur entourage – la jeunesse du Cap –, livre de magnifiques portraits de femmes, mais tient aussi son lecteur en haleine. Semant les indices au fil d'une narration diaboliquement construite, elle le conduit à un dénouement qui lève le voile de manière plutôt inattendue sur une bien soudaine disparition.
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Devenue une journaliste reconnue à l'Irish Times, Nuala O'Faolain nous livre son parcours " en accident ", ses doutes, ses enthousiasmes, ses excès, ses souffrances et ses passions
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Une histoire qui suit la vie d'Abraham Mendelssohn, un banquier oublié de l'histoire, et de sa descendance.
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Au cimetière de Paulstadt, les morts prennent la parole tour à tour pour partager leurs souvenirs. A travers le destin de la fleuriste, populaire mais décédée seule chez elle, du maire, qui a construit un centre de loisirs responsable du décès de trois personnes, ou du père Hoberg, tué dans l'incendie de son église, l'auteur dresse le portrait de cette ville et de sa communauté. ©Electre 2020
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Quand Laure, la narratrice, se décide à ouvrir les cartons que lui a légués son ami Léo, devenu homme de théâtre, elle y découvre, parmi les textes qu'ils avaient travaillés ensemble pour la troupe du lycée, un exemplaire de "La chartreuse de Parme". Elle se rappelle alors que, sur une plage de Normandie, un homme l'avait enjointe d'aller à Parme et d'y lire ce roman de Stendhal. ©Electre 2019
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Trois ans après le décès de son père, Félix de Récondo, un artiste dont la jeunesse fut marquée par la guerre civile espagnole et l'exil, l'auteure évoque sa mémoire dans ce roman autobiographique composé de deux narrations entrelacées. Son père se souvient de son enfance à Guernica, de son amitié avec E. Hemingway et de ses activités politiques tandis que sa fille témoigne de ses derniers jours.©Electre 2019
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Dans le grand-duché d'Eponne, un micro-Etat au coeur de l'Europe, le journaliste Jean-Marc Féron décide d'accueillir un migrant soigneusement sélectionné pour son prochain livre. Dans un autre quartier de la ville, un groupe d'amis écrit un pamphlet contre le capitalisme. ©Electre 2020
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Rien ne destinait Gabriel Byrne, né dans une famille modeste des faubourgs de Dublin en 1950, à l'éblouissante carrière de comédien qui est la sienne. Enfant introverti, il a tôt trouvé refuge dans l'imaginaire. À onze ans, il répond à l'appel de la prêtrise. Mais il ne tardera pas à déchanter : renvoyé du séminaire, il se retrouve quatre ans plus tard dans sa ville natale, collectionnant les petits boulots, et les échecs. « Je me sentais un raté, comme plombier et comme prêtre », écrit-il. Sa passion pour le cinéma et le théâtre l'encourage à surmonter sa timidité et à s'engager dans une troupe d'amateurs, décision qui change sa vie. Bientôt devenu une célébrité dans son pays, grâce à un feuilleton télévisé extrêmement populaire, il est également repéré par John Boorman, qui lui propose un rôle dans "Excalibur". Pourtant, son livre n'a rien de ces mémoires de star où s'enchaînent les anecdotes avantageuses. Bien au contraire : hanté par son enfance, Gabriel Byrne y revient sans cesse, notamment avec les portraits drôles et tendres des figures excentriques de son quartier, avouant qu'elles ont été les premières à lui donner l'amour de la scène. Quand il en arrive aux faits marquants de sa vie de comédien, c'est toujours avec distance qu'il les évoque, comme surpris de se retrouver dans un monde si étranger au sien. En atteste sa leçon d'équitation à Hyde Park avec une Américaine jurant comme un charretier, qui se révélera être Ava Gardner. Mal à l'aise avec la notoriété, au point de s'enfuir de Cannes, en 1995, quand tous les objectifs sont braqués sur lui pour sa prestation dans "Usual Suspects", Gabriel Byrne ne cache rien non plus, malgré une profonde pudeur, de ses dérives, de ses angoisses ni de son addiction à l'alcool. [...] « La merveille de ces mémoires est leur vérité sans fioritures. Ils sont écrits par un homme dont l'histoire étonnante constitue l'essence de la littérature. » C'est Edna O'Brien qui l'affirme.
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Ce 29 juillet ressemble à une journée ordinaire dans la vie de Cathal. À peine le sent-on troublé, dans son bureau de Dublin baigné de soleil, alors qu'il s'acquitte distraitement de ses tâches de fonctionnaire, puis dans le bus qui le ramène chez lui, où son attention est fugitivement attirée par un parfum familier. Dans sa maison du comté de Wicklow, l'immobilité et le silence lui paraissent singuliers ce soir-là. S'affalant dans son canapé, il se laisse happer par un documentaire sur Lady Diana, fasciné par les images de son mariage, alors qu'il ne s'était jamais intéressé à la famille royale. Au gré de dissonances subtilement notées par Claire Keegan dans le comportement de son personnage, le lecteur comprend peu à peu que cette journée va se révéler tout sauf ordinaire. Parallèlement à la soirée de Cathal, le récit narre sa rencontre avec Sabine, deux ans auparavant, et l'importance que cette jeune femme franco-britannique, travaillant elle aussi à Dublin, a peu à peu prise dans son existence. Misogynie est un véritable tour de force : voici une nouvelle parvenant à suggérer ce qui n'arrive pas à l'homme dont elle brosse le portrait avec une précision quasi entomologique.
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Dans les années 1980, tous les étés, la scène se rejoue à l'aéroport de Moscou, escale obligatoire au retour des vacances en Géorgie : les douanières fouillent les valises, terrorisent les filles et menacent leur mère, Daredjane, de ne pas la laisser repartir à Paris, lui rappelant qu'ici, elle est toujours soviétique. Mais Daredjane tient à ce que Kessané et sa sœur gardent un lien avec leurs grands-parents et avec son pays natal, qu'elle a quitté pour s'installer en France. Son mari, Tamaz, finissait par les retrouver et la famille reprenait le cours limpide des jours, dans leur pavillon du Vésinet. Bien longtemps après, Daredjane contemple tristement le portrait de Tamaz, mort depuis dix ans déjà. Elle se sent étrangère dans la belle maison de Kessané, devenue journaliste, à qui elle reproche sa dureté. La mort du père a fait voler en éclats l'harmonie passée, les sœurs, si proches, se sont éloignées l'une de l'autre. Tout était si simple avant, et si romanesque : le coup de foudre de Tamaz pour Daredjane, venue se produire au Théâtre des Champs-Élysées avec le ballet de Géorgie ; la détermination de la belle danseuse à le rejoindre à Paris ; le premier flirt de Kessané, son aînée, avec ce jeune voisin d'Abkhasie… Élucidant les raisons de ce désamour à la clarté des souvenirs heureux, la subtile romancière excelle à suggérer les failles, à scruter les dissonances et surtout les silences : si on ne parlait pas de politique, c'est pourtant sur fond d'exil et de guerre que s'est écrite l'histoire de cette famille apparemment si ordinaire. Comme autant d'ondes de choc, les drames de leur pays d'origine viennent se mêler au drame intime que vivent ces trois femmes désormais confrontées à leur solitude. Nous nous aimions est un très beau roman sur l'empreinte ineffaçable de l'enfance.
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Quand elle n'est pas en mission, Anna, une espionne, retourne régulièrement à Amsterdam visiter l'annexe secrète où la famille d'Anne Frank s'était cachée pour échapper aux nazis. Lors d'un de ces pèlerinages, elle s'aperçoit qu'elle est suivie. Son organisation l'exfiltre alors dans une maison de protection sans lui révéler sa localisation, mais elle découvre qu'il s'agit de Montréal. ©Electre 2020
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C'est en octobre 1955 que commence le procès d'Albert Black : ce jeune Irlandais de vingt ans, arrivé à Wellington deux ans auparavant, est accusé du meurtre d'un garçon lui aussi tout juste immigré, à l'occasion d'une rixe dans un bar. Fiona Kidman ne se contente pas ici d'ouvrir à nouveau l'enquête sur les circonstances du drame – crime passionnel ? légitime défense ? – et sur la personnalité de ce gentil gamin de Sandy Row que la pauvreté a chassé de Belfast dans l'espoir d'une vie meilleure. Elle met également en lumière le contexte de l'époque : la peine de mort venant d'être rétablie en Nouvelle-Zélande, et le Premier ministre de publier un rapport accusant les immigrés de fraîche date de répandre le vice. Ce passionnant roman donne bien le sentiment, poignant, et ce dès les premiers chapitres, que le sort de l'inculpé est déjà scellé : le procureur général, comme la plupart des jurés, semble l'avoir condamné avant même que tombe le verdict, rendant impossible toute tentative de défense. Sa propre mère, qui avait pourtant désespérément entrepris de réunir l'argent du voyage, s'étant fait signifier que ce serait vain. Même si le directeur de la prison lui montre un peu de compassion, Albert comprend au fil des jours l'étendue de sa solitude, dans ce pays où il s'était rêvé un avenir. Sa bonté, son calme et son humour face à l'adversité n'y font rien. Mais le puissant plaidoyer de Fiona Kidman, déjouant implacablement les mécanismes à l'œuvre dans le rejet de l'autre, a déjà ébranlé plus d'un lecteur : une équipe de juristes est en passe d'obtenir la révision de la condamnation.
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