Barnabé ne quitte jamais ses montagnes. Il déambule de forêts en glaciers, de pentes neigeuses en prairies fleuries, accompagné de son ami le lapin. Ils jonglent tour à tour avec le plein et le vide, le lourd et le léger, jouant avec l'apparence des choses. Et au fil des planches se constitue une logique implacable de l'absurde.