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Le cor de Valère est un instrument fabuleux qui a le pouvoir de provoquer la résurrection des morts. Une épopée fantastique qui s'étend à travers l'espace et le temps, brassant peuplades mystérieuses, batailles mémorables, exploits extraordinaires.

Egwene est devenue une véritable Aes Sedai, et partage désormais avec ses compagnes la conviction qu'elles sont les seules aptes à gouverner secrètement le monde. Au Cairhien, Rand doit faire face à des complots visant à obtenir le trône du soleil que Rand destine à Elayne, fille de Morgase, héritière légitime. Sur quels alliés compter, à part Perrin, Mat et Egwene ?

Elayne, Aviendha et Mat cherchent le moyen d'enrayer la vague de chaleur envoyée par le Ténébreux et restaurer enfin le climat naturel de leur royaume. Le Dragon réincarné, Rand al'Thor, a échappé à un piège tendu par les Aes Sedai de la Tour Blanche et attend ses compagnons avec impatience.

A Tar Valon, Elaida, de l'Ajah Rouge, qui s'est emparée du trône d'Amyrlin, réunit le conseil des Aes Sedai afin de retrouver coûte que coûte Rand al'Thor, le dragon réincarné, afin qu'il affronte le Ténébreux pour éviter la fin du monde.

Roland le pistolero a assisté à la mort de Susan et les Grands Chasseurs de Cercueil qui l'ont tuée sont maintenant à sa poursuite. Accompagné d'Alain Johns et de Cuthbert Allgood, il est forcé de fuir dans le désert.

Un grand seigneur russe, libéral et tourmenté, une négresse de Bahia, un jeune juif polonais promis à un grand avenir, une vieille famille écossaise, un dictateur d'Amérique du Sud, une lectrice de français égarée à Saint Pétersbourg et l'auteur de Nabucco et de la Traviata figurent parmi les acteurs de cette histoire...

Mike, trentenaire, marié, père d'une adorable petite fille, mène la vie qu'il espérait. Un jour, sur le chantier de son lotissement vert, deux hommes viennent à sa rencontre et le menacent, insistant sur le secret de ses origines, insistant sur ses erreurs de jeunesse.

La cloche du soir à Dôjôji, la vague au large de Tanagawa, pruniers dans la nuit sans lune, promenade parmi les iris, pêcheuses d'abalones, prélude au désir, la belle Kisegawa chez Matsubaya..., l'art de l'ukiyo-e - image du " monde flottant " - qui s'épanouit dans le Japon des XVIIIe et XIXe siècles, reflète le style de vie et la culture de la nouvelle bourgeoisie aisée des cités urbaines, à l'ère d'Edo (Tokyo), la capitale shogunale. Théâtre kabuki et acteurs, maisons vertes et courtisanes, maisons de thé et hôtesses, érotisme, paysages, faune, flore et natures mortes inspirent les artistes et les poètes. Les premières estampes monochromes apparaissent dès la fin du XVIIe siècle et cet art connaît son apogée au XVIIIe siècle avec les estampes polychromes ou " images de brocart " aux couleurs subtiles, aux fonds micacés, moirés, animés de poudre d'or et d'argent, aux formats audacieux. Une esthétique du plaisir qui engendre un art d'un raffinement extrême, que l'on découvre ici à travers une centaine d'?uvres des plus grands maîtres parmi lesquels Harunobu, Hiroshige, Hokusai, Sharaku, Toyokuni, Utamaro...