Non content de nous faire partager les déboires de quelque savant fou aux prises avec une machine à remonter le temps, l'auteur se casse la tête pour en faire un palindrome de 30 pages...
Recueil de plusieurs récits autobiographiques accompagnés d'une histoire inédite et complète dans laquelle l'auteur retrace son voyage en Italie au côté de son père.
Chef-d’œuvre mythique enfin réédité, ce recueil de 149 strips parus en 1971 dans France-Soir sous forme de feuilleton improvisé et débridé, est la première apparition d’Hypocrite, personnage féminin au moins aussi sensuel que Barbarella. (source éditeur)
Réunit l'intégralité des histoires du Mont-Vérité, cet univers dont les principaux personnages sont sept moines isolés dans un monastère et dont la principale activité est la prophétie. Contient un récit de 14 planches inédites.
Dans ce numéro spécial, on retrouve des habitués de la revue ainsi que des auteurs invités : Laurent André, François Ayroles, Edmond Baudoin, Frédérique Bertrand, Matthieu Blanchin, Blanquet, Paquito Bolino, Florence Cestac, Guy Delisle, Olivier Douzou, Jean-Pierre Duffour, Sophie Dutertre, Fabio, Jochen Gerner, Dominique Goblet, Emmanuel Guibert...
Les deux chats psychédéliques Frank et Fran se brouillent suite à la découverte d'un étrange casque qui projette le passé de celui qui le porte. Fran refuse de le mettre et s'enfuit. Frank, éploré, part à sa recherche. Intrus fantasques et inquiétants, saillies du bizarre surgissent alors et brèches ouvrant sur des dimensions parallèles s'enchâssent dans le chassé-croisé des amoureux.
Afin d'impressionner Camille, l'ex-bibliothécaire désormais reconvertie en éditrice d'Un peu d'amour, Lapinot se toque d'enrichir son vocabulaire de mots rares et désuets. Le ciel de leur amour serait sans nuages, si l'ironie caustique de Richard ne venait pas s'en mêler… il n'est décidément pas toujours aisé de conjuguer amour et amitié ! Présentation à la belle-famille, art conceptuel, histoire familiale, assassinat politique, Midi à quatorze heures tisse les histoires et les thèmes pour mieux nous plonger dans le quotidien – toujours aussi mouvementé – de notre héros à longues oreilles. Un septième tome à gobichonner sans modération.
Il est rare qu'un auteur de bandes dessinées ayant officiellement arrêté d'en faire vingt ans auparavant continue à avoir une influence considérable. Cela devient exceptionnel lorsqu'il s'agit d'une autrice. C'est pourtant bien le cas de la québécoise Julie Doucet, active entre 1987 et 1999, à une époque où les dessinatrices n'étaient pas légion, surtout à se situer sur un terrain briseur de tabous et féministe à la fois. Julie Doucet fait aujourd'hui figure de mythe. Les éditions Drawn & Quarterly à Montréal la rendront célèbre à partir de 1990 avec le comic-book Dirty Plotte, que Julie avait commencé seule en tant que fanzine. En France, c'est en majeure partie à L'Association que l'on doit la publication de son travail : elle est présente dès 1990 dans le tout premier collectif de la structure, Logique de Guerre Comix. Puis ce sera Ciboire de Criss ! en 1995, déjà un recueil de fragments, et quatre autres livres. La conception éditoriale et graphique de Maxiplotte a été réalisée par Jean-Christophe Menu, premier éditeur de Julie Doucet en France et co-fondateur de L'Association, en étroite collaboration avec l'autrice québécoise. Véritable panorama de l'évolution de son travail, Maxiplotte rassemble des travaux réalisés au cours de ses douze années d'activité d'autrice de bande dessinée. S'y déploie une œuvre à la fois subversive, féministe et fantaisiste. Julie Doucet évoque crûment et avec humour la vie du corps – des règles au désir sexuel en passant par les crottes de nez – les stéréotypes de genre, ses expériences de jeune femme, sans oublier sa vie onirique qu'elle relate abondamment. En noir et blanc, les récits s'épanouissent au fil de cases aux décors minutieusement élaborés, peuplées de personnages aussi insolites qu'attachants. Cette anthologie de 400 pages comporte, outre la totalité des histoires issues des recueils Ciboire de Criss ! (L'Association, 1996), Monkey and the Living Dead (L'Association, 1999), tous deux épuisés, et quelques récits ext
Dans un monde post-covid, Lapinot philosophe sur l'univers et l'hasardeuse destinée d'un caillou tandis que Richard est obsédé par le mystérieux affaissement du macadam… Dans Sous le trottoir, les répliques fusent et font mouche, comme si, face à un monde absurde, l'humour était plus que jamais nécessaire. Ces aventures de Lapinot au format Patte de mouche sont le fruit d'un jeu créé par Lewis Trondheim pendant le premier confinement : chaque jour, l'auteur postait sur son fil Twitter les trois premières cases d'un strip et laissait le soin à ses abonnés d'en dessiner la dernière case. Celui ou celle qui se rapprochait le plus de la fin imaginée par l'auteur recevait une carte postale !
Lapinot se fait kidnapper par un gros costaud en costard et lunettes noires. Et qui retrouve-t-il à l'intérieur de la camionnette ? Surprise, c'est Richard ! Les deux compères sont soupçonnés par le gouvernement de fomenter un sale coup. L'humour ravageur de Richard embrouille leurs ravisseurs et séduit le cœur d'une espionne… Bienvenue dans le monde clandestin du renseignement ! Ces aventures de Lapinot au format Patte de mouche sont le fruit d'un jeu créé par Lewis Trondheim pendant le premier confinement : chaque jour, l'auteur postait sur son fil Twitter les trois premières cases d'un strip et laissait le soin à ses abonnés d'en dessiner la dernière case. Celui ou celle qui se rapprochait le plus de la fin imaginée par l'auteur recevait une carte postale !
Quand Lapinot se réveille en pleine forêt, il n'en croit ni ses yeux ni ses oreilles… un gros bonhomme, vêtu de braies bleues et blanches et affublé d'un casque l'apostrophe : « Astérix ! ». Lapinot, incrédule, laisse ce curieux personnage en plan et poursuit son chemin. Une malencontreuse rencontre avec une patrouille romaine puis les soins donnés par Panoramix – qui évidemment, lui fait boire de la potion magique – achèvent de le convaincre : il semble bien qu'il ait été téléporté chez les irréductibles Gaulois. Et bizarrement, même Toutatis est de la partie !
Patrice Olivier vous propose de partager ses rencontres avec les enfants d'une famille vietnamienne de Thanh Thuan.
Ses photographies vous invitent à vivre leur quotidien. Vous y découvrirez leurs jeux, la vie dans le village, l'école, leurs contributions aux tâches quotidiennes, les traditions et l'environnement du village.
Aux pieds des montagnes, dans une vallée verdoyante à distance des pots d'échappement et du tumulte citadin, Lapinot se promène, croisant tantôt une église en ruine, tantôt un cimetière inquiétant, tantôt ce qui semble être un grizzly... Avec son format à l'italienne et son absence de texte, 31 juillet fait écho aux Herbes folles, paru en 2019. Un huitième tome bucolique au dessin luxuriant.
Commencé en 1995, ce travail autobiographique est le chef-d'oeuvre de Dominique Goblet, l'un des livres les plus essentiels du catalogue de L'Association et de la forme autobiographique. Il s'agit d'un travail où le temps joue un rôle complet : l'auteur a intégré son changement de style à la narration, ainsi que les événements survenus dans sa vie dans une structure élaborée aux recherches stylistiques et narratives rarement égalées dans la bande dessinée.