On croise parfois de bien étranges créatures sans penser forcément que ce n'est pas si facile d'être différent.
- "Des éléphants pas comme les autres" (Przygoda w paski) de Alina Maliszewska (Pologne, 1960, 11', sans parole) : un éléphant rayé se sent bien seul dans la jungle au milieu d’éléphants de même couleur.
- "Dip Dap" (Scary Things) de Steven Roberts (Royaume-Uni, 2011, 3', sans parole) : Dip Dap trouve un nouvel ami, un fantôme qui a peur de tout. Comment faire pour l'aider ?
- "L'éléphante qui ne voulait plus ressembler à un éléphant" (Elephant Maid) de Milena Klebanov (Israël, 2006, 6', sans parole) : Madame éléphant est affublée d’un long nez, de grandes oreilles et d’un crâne chauve. Elle opte pour une solution radicale, mais est-ce bien la bonne ?
- "L'octogone qui n'était ni rond, ni carré" de Taylor Annisette (Canada, 2011, 3', sans parole) : un petit octogone va à l’école où il n’y a que des cercles et des carrés. Comment s’intégrer ?
- "Le chien qui était aussi un chat" (The Dog Who Was A Cat Inside) de Siri Melchior (Royaume-Uni, 2002, 3', sans parole) : un chien a un chat en lui-même. Les deux n’arrivent pas à s’entendre, ils veulent toujours aller dans des directions différentes. Le conflit ne peut plus durer.
-"Le petit squelette" d'Anton Dyakov. (Russie, 2012, 6', sans parole): Kostya est un gentil petit squelette. Il se dirige vers un avenir inconnu qu’il espère brillant. Nous sommes les témoins de ses aventures dans une ville moderne.
- "Le chien qui était copain avec sa queue" (My Happy End) de Milen Vitanov (Allemagne/Bulgarie, 2007, 5') : tous les chiens courent après leur propre queue. Un jour, un chien réussit à attraper la sienne. Sa vie en est changée puisqu’il trouve là son meilleur ami.