"Tombeaux" évoque de très nombreuses chansons qui ont scandé l'histoire de ma famille. Des "tubes" des années trente comme "C'est pour mon papa" (Georges Milton), des chansons yiddish chantées dans les ateliers de tailleurs, ou encore les chants révolutionnaires, les chansons de la guerre d'Espagne, sans oublier celles des films de l'occupation comme "Le premier rendez-vous". Que disent ces répertoires familiaux de l'histoire ? C'est à cette interrogation que je tente de répondre. Annette Wieviorka