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Frmesk pousse son premier cri au Kurdistan en 1986, où elle a eu le malheur de naître fille. Sa mère va tout faire pour la protéger d'un père violent qui menace de la tuer précisément parce que ce n'est pas un garçon. Heureusement, les grands-parents maternels de Frmesk sont prêts à la recueillir et à l'élever avec amour. Mais pourront-ils la préserver des menaces psychologiques et physiques qui pèsent de tous côtés dans ce Kurdistan ravagé par la guerre, le génocide et la haine ? Un roman fort sur la vulnérabilité et le danger que constitue le simple fait de naître femme.

Deux fois par an, un père qui est aussi grand-père rentre en Suède. Officiellement pour retrouver son fils qui est aussi un père et sa fille qui n'est plus une mère. En réalité pour ne pas perdre son titre de séjour et pour que son fils s'occupe de toute sa paperasse. Mais cette fois, la coupe est pleine et ce dernier estime qu'il est grand temps de remettre en cause la clause paternelle qui stipule qu'un fils doit s'occuper de son père. Mais cette clause est-elle négociable?

Depuis la noyade de ses parents dans un étang de la Somme, le petit Edvard Hirifjell vit avec son grand-père en Norvège. Après le décès de ce dernier, le jeune homme veut comprendre son passé et éclaircir les circonstances mystérieuses autour de la mort de ses parents. Il découvre que son histoire familiale complexe est notamment liée aux deux guerre mondiales et à la bataille de la Somme. ©Electre 2018

C'est à Sunne, petite ville suédoise, que se déroule l'histoire du Livre d'or. Stellan Jonsson, l'épicier, raconte son village. Cet homme simple et bon raconte les échanges, les sourires, le souvenir d'une promenade en barque. La folie, la douleur de Harald, le peintre, l'artiste maudit par sa mère, le si mal aimé. Mais aussi tous les petits bonheurs sous le regard, toujours, des étoiles

Il était une fois, au fin fond d'une vallée montagnarde norvégienne, un petit village du nom de Butangen. La femme du propriétaire de la grande ferme Hekne meurt en couches après avoir donné naissance à des sœurs siamoises. Les filles, joyeuses et vives d'esprit, font le bonheur de la ferme. Elles apprennent à tisser à quatre mains des œuvres somptueuses et d'autant plus convoitées qu'elles sont, dit-on, annonciatrices d'événements majeurs. À leur mort prématurée, leur père fait fondre tout l'argent de la ferme pour fabriquer des cloches dont il fait don à la magnifique église en bois debout du village. Depuis des siècles, leur chant mélancolique et singulier résonne dans la vallée pour annoncer le début de la messe et, parfois, un danger imminent. C'est d'ailleurs peut-être le cas avec l'arrivée d'un nouveau prêtre, bien décidé à laisser une empreinte de modernité…