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D'un concert à St Nazaire jusqu'au tumulte originel du Caire en passant par Londres, le film compose en plusieurs fragments, le portrait musical et intimiste de la grande crooneuse des sables, Natacha Atlas. D'une migration à l'autre, un seul voyage, une seule rêverie mélancolique entre Orient et Occident. Sur les traces d'une rose pop... Que ce soit musicalement ou géographiquement, Natacha Atlas a toujours été une nomade dans l'âme. La chanteuse angloégyptienne vient de passer plus d'une décennie à mélanger les beats électroniques avec les musiques nord-africaines et arabes, découvrant des parentés entre des genres musicaux éloignés, explorant des mondes sonores nouveaux et différents, tout en travaillant avec une pléthore de collaborateurs ayant les mêmes affinités et venus des cinq coins de la planète. Le résultat est un ensemble brillant, multiculturel, et en même temps un vibrant témoignage de la richesse et de l'ouverture de la culture arabe. Il s'agit là d'une oeuvre à nulle autre pareille. Et par-dessus tout, il y a bien sûr la voix extraordinaire d'Atlas. Sensuelle et passionnée, délicate et nuancée, elle opère la jonction entre les sonorités du Moyen-Orient et celles de l'Occident avec une aisance et un naturel instinctifs. (résumé de l'éditeur)

Filmé au musée de la Musique, le Paris Percussion Group interprète, sur des instruments du musée, "Ionisation" de Varèse

Une conversation de quatre heures avec Gennadi Rojdestvensky, le dernier représentant vivant d'une lignée prestigieuse de grands interprètes de l'ère soviétique dont les noms incluent ceux de Richter, Oistrakh, Rostropovich, Gilels, Kogan et Mravinsky. Comme chef d'orchestre, Rojdestvensky était en une certaine façon, impliqué dans une organisation administrative, connaissant davantage les mystères de l'Union soviétique que nul autre. Profondément engagé dans la musique contemporaine, il a été aussi un ami proche de grands compositeurs comme Chostakovitch et Schnittke, Prokofiev. Rojdestvensky est un personnage haut en couleurs, un conteur né et profondément russe que Bruno Monsaingeon nous dévoile avec passion (résumé de l'éditeur)

Présentation du piano Gebauhr et de sa restauration appartenant aux collections du musée de la Musique (E.2005.4.1)

Présentation d'un des fleurons des collections du Musée de la musique, le violon "Davidoff" d'Antonio Stradivari (numéro d'invenaire E.1111) et suivi de sa remise de son état de jeu. David Grimal interprète un extrait de la Partita n°2 pour violon seul en ré mineur BWV 1004 (Sarabande) de Johann Sebastian Bach