Guitariste, batteur, chanteur, Mino Cinelu excède les frontières du seul jazz, à l'image de sa panoplie de percussions empruntées à différentes cultures et découvertes au hasard de ses pérégrinations.
Franck Avitabile compte parmi les plus intéressants pianistes français qui, ancrés dans la tradition du jazz, inventent de nouvelles façons de cheminer sur des sentiers que l'on pensait balisés.
Issu du free jazz, Denis Colin a opéré depuis ses débuts un cheminement qui l'a amené à se rapprocher progressivement de la «áGreat Black Musicá» et des influences dont il avait tendu à s'écarter.
Elément essentiel d'orchestres de grande taille, Médéric Collignon s'est révélé également dans de petites formations où éclatent sa verve improvisée et ses expérimentations vocales et électroniques.
Alice Coltrane a d'abord prolongé le legs de son défunt mari à sa manière, puis pris une retraite pendante laquelle elle s'est consacrée à des activités spirituelles avant de revenir à la scène.
Acteur de l'émancipation du jazz européen, compositeur prolifique et homme de scène, Willem Breuker a dirigé pendant plus de trente ans un Kollektief emblématique au confluent des avants-gardes.
D'une grande sensibilité, le jeu économe d'Anouar Brahem sur le luth arabe al-cûd reste marqué d'une personnalité intense, où finesse et virtuosité demeurent au service de la musique.
Evoluant aux confins de la musique improvisée, de la création contemporaine et du jazz libre, Bruno Chevillon s'est imposé comme l'une des voix majeures de la contrebasse.
La carrière de contrebassiste de Jean-Paul Celea, enrichie d'une activité étoffée d'interprète, embrasse avec une même exigence l'univers de la musique contemporaine et de la musique improvisée.
Avec une désinvolture savante, sans l'ombre d'un pastiche, James Carter a décidé de mettre en mémoire tous les styles et de dévider tous les répertoires avec une impétuosité toute gourmande.
Excellent tromboniste de pupitre et soliste, Jacques Bolognesi est aussi l'un des artisans du retour en grâce de l'accordéon et de son acclimatation au jazz.
Après une carrière auprès des vedettes et sur les antennes de radios populaires, Marcel Azzola est devenu l'un des précurseurs de l'émancipation de l'accordéon vers les libertés du jazz.
Explorant la musique américaine sous bien des coutures, Carla Bley intègre un ensemble de références éclectiques, populaires et savantes, avec un réel sens du drame et de l'humour.
Batteur prolifique, Jim Black s'est distingué par un jeu constamment mobile et provocant dont la frénésie percussive a fourni son énergie à plusieurs groupes à l'influence capitale des années 1990.
Kenny Barron fait figure de légataire d'une certaine tradition du piano dans le jazz moderne. Il manifeste un style d'une parfaite cohérence aux échappées lyriques sans jamais se défaire de son swing.
Compositeur fécond, Claude Barthélemy travaille dans plusieurs directions : musique de scène, créations dans de nombreux festivals, enregistrements d'albums, tournées de concerts...
"L'exposition ""Europunk"" présente les créations visuelles de la vague punk, témoigne de l'énergie inédite de cette révolution sans cause et met en évidence les personnalités à l'origine du mouvement. "
"L'exposition ""Django Reinhardt, Swing de Paris"" célèbre le génie de cet artiste, Tsigane converti aux vertus du swing américain qui anima la capitale aux grandes heures de l'entre-deux-guerres."
"L'exposition ""Bob Dylan"" revient aux origines de la légende, notamment de 61 à 66 avec ses albums qui ont révolutionné l'histoire de la musique populaire et fait de Bob Dylan une star internationale."