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ImpriméDisponible
Année de parution :
2016
Un vétéran d'Irak au visage mutilé tombe en panne au milieu de nulle part et se dirige droit vers le premier bar. Peu après, un homme entre avec une femme, puis la passe à tabac. L'ancien soldat défiguré s'interpose, et ils repartent ensemble, elle et lui. C'était son idée, à elle. Comme de confier ensuite au vétéran le montant de l'assurance-vie de son mari qui la bat. Ce qu'elle n'avait pas réalisé, c'était qu'à partir de là, elle était déjà morte.
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Année de parution :
2020
L'expression " lanceur d'alertes " a été forgée en janvier 1996 par Francis Chateauraynaud lui-même. A l'origine, elle était destinée à dépasser des notions trop réductrices : la prophétie, entachée d'irrationalité ; l'alerte technique, résultant de protocoles ; la dénonciation ou la révélation du scandale, dépendant de la légalité ou de la légitimité d'une situation. Or, comment désigner les personnes ou les groupes qui, rompant le silence, passent à l'action pour signaler l'imminence, ou la simple possibilité, d'un enchaînement catastrophique ? Depuis, la formule a fait florès. Venant remplir un vide conceptuel, elle est aujourd'hui utilisée plus ou moins précisément dans de multiples contextes, souvent comme traduction du terme anglo-saxon whistleblower. Francis Chateauraynaud saisit ici l'occasion d'en repréciser les contours. Un lanceur d'alerte ne devrait-il pas être celui dont l'alerte s'oriente vers un intérêt collectif, un bien commun, une valeur universalisable ?
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